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sur 271 notes
Lionella, d'origine italienne, vit avec ses parents et son frère, à Seraing dans la Province de Liège. Ses aïeux immigrés italiens comme beaucoup sont venus travailler en Belgique. Lionella à 17 ans est déjà une violoncelliste de talent, elle se prépare pour un prestigieux concours international qui se déroulera à Bruxelles. Dans sa famille, la musique est une passion, son père joue du piano et son frère du violon mais c'est elle la surdouée. Lionella ne sait pas quel morceau elle interprètera au concours Arpèges jusqu'au jour où Kevin, son ami d'enfance, lui offre un coffret métallique déniché dans une brocante. Surprise, dans le coffret elle découvre le journal intime de Ada, jeune orpheline vénitienne, élève violoncelliste de Vivaldi, une médaille ainsi qu'une vieille partition, pour violoncelle, dont tout laisse à penser qu'elle serait du Maestro Antonio Vivaldi. Son choix est fait, c'est cette sonate qu'elle interprètera, il ne reste plus qu'à convaincre son professeur. Plongée dans la lecture du journal d'Ada, elle découvre la vie de ces orphelines musiciennes de l'époque baroque du XVIIIe siècle enfermées dans l'anonymat.
Très beau premier roman de Christiana Moreau, artiste peintre et sculptrice.

Challenge Petits plaisirs 2017 – 248 pages
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Voici un joli premier roman écrit par une artiste belge sculptrice et peintre qui vit à Saraing , dans la province de Liège .

Se fondant sur des personnages historiques, tout en restant une oeuvre romanesque , vibrante, charmante..., il est fidèle à une époque et aux faits qui s'y sont déroulés .

A l'aide d'archives documentées, l'auteur récrée la personnalité d'Ada, jeune fille infortunée, abandonnée par sa mére, en 1705, confiée "à l'Ospedale Della Pietà, "un hospice de Venise pour filles placées qui y vivaient recluses, à qui on enseignait la musique.....
Elles jouaient comme des anges, du violon, du violoncelle, du cor et de la contrebasse , "dissimulées" derrière des grilles, que l'on peut voir encore aujourd'hui, on accourait de toute l'Europe pour les écouter....
A 17ans ,aujourd'hui, Lionella, d'origine italienne ne vit que pour le violoncelle, ses parents et son frére sont musiciens, son professeur l'a inscrite au concours " prestigieux " Arpèges ", qui s'adresse aux étudiants les meilleurs.
Jusqu'au jour où son meilleur ami Kevin déniche dans une brocante un coffret en métal ,oú gisent une médaille coupée en deux, un journal intime et ...une partition oubliée pour violoncelle qui ressemble à une sonate de Vivaldi....
Nous plongeons alors par chapitres alternés , entremêlant les deux époques, dans le destin d'Ada, en 1723 et celui de Lionalla violoncelliste virtuose, par le biais de la lecture du journal intime d'Ada ......
Nous découvrons les coutumes du carnaval de Venise autrefois, les masques, la cité bruissante de plaisirs, d'intrigues amoureuses, de rencontres discrètes, en rendez- vous secrets, la Sérénissime et ses palais vénitiens , bâtis en briques, habillés de façades de marbre, des demeures éthérées ou pansues, clinquantes ou sobres, romanesques, à coup sûr, de tous styles, byzantin,roman gothique, renaissance ou baroque...
On découvre le libertinage , les bouffonneries , facettes et pantalonnades , tracas et mesquineries quotidiennes qui s'ajoutaient au plaisir des divertissements et des passions qui rythmaient et signaient cette période du monde à l'envers du Carnaval ....
Une mascarade tragi- comique qui chahutait pour un temps les principes de la bienséance ....
Au final, un plongée dans la Venise du temps de Vivaldi, passionnée , éprise de musique et de liberté.Un souffle musical vibrant qui nous fait voyager et rencontrer un des plus grands compositeurs de musique baroque. Un hommage tendre, sensuel, charmant , voluptueux , pétri de douceur et de romantisme, à ces orphelines virtuoses et réputées au XVIII ° siècle , enfermées pour toujours dans l'anonymat .... À ces chants légers, à la fois fougueux , ces voix d'airain , mystérieuses et émouvantes .....des voix profondes et brillantes , derrière une galerie grillagée.....
Une bien belle histoire contée avec finesse , chaleur , intelligence et sensibilité, dont je n'ai pas révélé grand - chose, bien sûr !
Un premier ouvrage prometteur !
Merci à Marylin, mon amie de la médiathéque, j'ai passé un moment trés agréable !


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Le violoncelle est mon instrument de musique préféré, car tout près de la voix humaine, grave, profond. Cette histoire met en scène des violoncelles, notamment ceux fabriqués par Matteo Goffriller, luthier aussi célèbre que Stradivarius pour les violons.

Le temps d'un peu plus de 200 pages, je suis allée à la rencontre de Vivaldi et des jeunes filles pour lesquelles il écrivait de si beaux airs, les jeunes vierges (obligatoire !) orphelines ou délaissées par leurs parents, éduquées par les soeurs de « l'ospedale della Pieta » de Venise.
J'ai pu aussi mesurer l'écart incommensurable entre ce 18e siècle de luxe, de débauche durant le Carnaval de Venise et de pauvreté, et la ville actuelle de Seraing en Belgique, ville ouvrière et terreau de l'immigration italienne notamment, aux nombreuses cicatrices d'un lourd passé industriel.
De ce choc des contrastes, nait une histoire magique : Kevin, un jeune magasinier de Seraing, découvre au détour d'une brocante un vieux cahier, journal intime d'une pensionnaire de l'Ospedale della Pieta, accompagné d'une partition, et l'offre à son amie Lionella, violoncelliste dans l'âme, devant préparer un grand concours. La lecture de ce journal et l'interprétation de cette musique canaliseront le cours de la vie de Lionella…

Rencontrer Vivaldi au détour des pages m'a plu, ce « prêtre roux » adulé par ses contemporains mais oublié par les générations suivantes jusqu'au milieu du 20e siècle, finalement.
L'histoire en elle-même ne m'a pas passionnée outre mesure, mais elle est malgré tout bien écrite. Même si les jeunes filles sont charmantes et rêvent toutes d'un destin particulier, qu'elles soient du 18e ou du 21e siècle, je les quitte sans regret vu la facture assez convenue et prévisible. J'aurais préféré que l'auteure approfondisse la relation de la vie d'Ada, l'élève appréciée de Vivaldi.

J'oublierai donc assez vite cette sonate, mais pas l'ambiance générée par l'histoire, celle des messes données à la Pieta, où les musiciennes sont dissimulées derrière les grilles dorées… En voici un petit aperçu si vous aimez Vivaldi et Venise
https://www.youtube.com/watch?v=cga¤££¤20De Lionella18¤££¤
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300 ans les séparent, mais une passion les unit : celle de la musique et particulièrement du violoncelle... Lionella est une jeune belge d'origine italienne que son professeur a inscrite au prestigieux concours Arpèges. Mais elle désespère de trouver un morceaux original qui la démarquerait des autres prodiges. Son ami d'enfance va lui apporter la solution : il déniche aux puces une boîte de métal qui renferme une partition et un carnet écrit d'une écriture fine. Au delà de la mélodie, Lionella va rencontre Ada, une jeune orpheline recueillie à l'ospedale de la Pietà à Venise. Et le destin se met en place...
Un très joli premier roman écrit par Christiana Moreau... L'écriture est simple, sans prétention, mais elle sonne à notre oreille comme les notes envolées des violoncelles. Elle nous entraîne dans les rues de Venise et se perd dans la poésie de la Sérénissime, aux côtés d'Ada, une jeune fille douée pour la musique et tombée dans l'oubli. Une bien belle musique en somme...
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... Et parfois on tombe sur une jolie histoire qui enchante l'âme par sa lumière, son innocence et la pureté des sentiments qu'elle véhicule.
Lionella, violoncelliste passionnée de 17 ans, compte présenter le concours Arpèges récompensant les meilleurs musiciens mondiaux. Mais elle souhaite y jouer une oeuvre originale qu'elle peine à trouver. Son meilleur ami va l'aider en lui faisant cadeau d'un coffret en métal acheté aux puces, renfermant les partitions d'une antique sonate, la moitié d'une médaille et le journal intime racontant la genèse de cette oeuvre et la vie d'Ada, orpheline du XVIIIe siècle à l'Ospedale della Pietà de Venise où Vivaldi compose ses plus belles oeuvres baroques...
C'est un petit chef d'oeuvre dont les pages glissent entre nos doigts et qu'il est impossible d'abandonner tant l'auteure par son talent sait accaparer notre attention et faire vibrer nos sentiments les plus oubliés. Christiana Moreau aidée d'un laborieux travail de documentation, a le don de raconter la Musique.
Seul bémol, les dernières pages semblent "survolées" et ne sont pas du même niveau que l'ensemble du récit.
Je le recommande vivement pour qui a envie de passer un moment enchanteur !
Prix des lecteurs Club 2017.
Prix du premier roman Rotary Club Cosne-Sancerre.
Prix du premier roman DLVA.
Editions Préludes, le Livre de Poche, 232 pages.
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Près de Liège, la ville de Seraing, une ville minière en pleine transformation. C'est là que vivent Kévin qui a délaissé l'école et cherche un travail et Lionella, d'une famille d'origine italienne, qui s'investit complètement dans le violoncelle pour préparer le concours Arpèges, réservé aux jeunes musiciens. Kévin lui offre un coffret acheté en brocante qui contient un recueil manuscrit et une partition, portant le nom d'Ada. La jeune fille, en recherche d'une sonate qui la démarquerait des autres concurrents, déchiffre et travaille la partition, découvrant également la vie de la jeune musicienne, grâce à son journal manuscrit.

En mêlant les voix de Lionella, une jeune violoncelliste à celle d'Ada, musicienne également, Christiana Moreau retrace le destin des jeunes filles orphelines recueillies par des instituts - les ospedale - qui leur offraient une éducation et des formations au chant et à la musique. C'est dans cet institut que Vivaldi, le prêtre roux a officié en tant que chef de choeur et compositeur et qu'il remarque les talents de la jeune Ada. Entre copie de partitions qu'il lui confie, allées et venues régulières chez Matteo Grofiller, le meilleur luthier de violoncelles de Venise, la jeune Lionella découvre dans le journal d'Ada, la vie d'une jeune fille dans la Venise du XVIII ème siècle. Une étrange correspondance de sentiments et d'envies et une question qui taraude la jeune Lionella sur la partition de la sonate qui pourrait être une composition oubliée de Vivaldi.
La sonate oubliée est une sorte de conte moderne, qui mêle les destins de deux jeunes d'une ville en Belgique en pleine reconstruction et d'une musicienne du XVIII ème siècle. Beaucoup d'informations sur la vie de l'une et l'autre jeune fille, un roman agréable à lire, qui fait la part belle aux sentiments, avec des personnages un peu lisses mais qui reste très instructif du point de vue des compositions musicales.
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Ayant adoré Cachemire rouge de Christiana Moreau, je me suis offert au format poche son tout premier roman : La sonate oubliée.
À 17 ans, Lionella, d'origine italienne, ne vit que pour le violoncelle, ce qui la distingue des autres adolescents de Seraing, la ville où elle habite en Belgique.
Elle peine toutefois à trouver le morceau qui la démarquerait au prochain grand concours Arpèges.
Jusqu'au jour où son meilleur ami lui apporte un coffret en métal, déniché dans une brocante.
Lionella y découvre un journal intime, une médaille coupée et ... une partition pour violoncelle qui ressemble étrangement à une sonate de Vivaldi.
Elle plonge dans le destin d'Ada, jeune orpheline du XVIIIe siècle, pensionnaire de l'Ospedale della Pietà, à Venise, dans lequel «le prêtre roux», Antonio Vivaldi, enseignait la musique à des âmes dévouées.
La sonate oubliée est un roman assez court qui m'a captivé de la première à la dernière page.
Nous suivons trois personnages : Lionella, une jeune violoncelliste de 17 ans ; son meilleur ami Kevin ainsi qu'une jeune fille orpheline nommée Ada. Celle ci joue du violoncelle, enseigné par Antonio Vivaldi. J'ai beaucoup aimé ces passages qui nous font découvrir Venise au XVIIIe siècle, ainsi que le quotidien d'une jeune orpheline pensionnaire d'une maison réputée. Ada est une jeune fille touchante et attachante. Elle n'a jamais connue ses parents, a été abandonnée dès sa naissance et elle joue de la musique, c'est son destin. Les passages où sont relatées les aventures de la jeune fille sont en italique, ce qui permet de ne pas être perdu.
Lionella est une violoncelliste douée, elle n'a que 17 ans mais est promue à un grand avenir, surtout si elle remporte le concours. Elle peine à trouver le morceau qui la distinguera des autres, jusqu'au jour où son meilleur ami trouve sur un marché aux puces un mystérieux coffret avec une partition, une médaille coupée et le journal d'Ada.
Lionnella est une jeune fille très studieuse, son destin a elle aussi est de jouer du violoncelle. Elle ne vit que pour ça.
Quand à Kevin, il est aussi intéressant de le suivre tout au cours de ce roman. C'est grâce à lui que Lionnella va trouver son morceau pour le concours, et j'ai beaucoup aimé sa personnalité.
Bien que La sonate oubliée ne fasse que 231 pages, les personnalités des personnages sont bien fouillées. L'histoire se tient de la première à la dernière page et je trouve que c'est un bon premier roman.
J'ai aimé l'ambiance, et je suis ravie de ma lecture. Je relirais cette autrice sans aucune hésitation.
Ma note : 5 étoiles.
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Le jeune Kevin découvre en chinant dans un chancre liégeois le journal intime d'une orpheline vénitienne permettant à l'auteure de nous décrire la Venise de 1705, son carnaval, la Piéta recueillant des orphelines et offrant aux plus douées une carrière de musicienne au côté de Vivaldi.

Une sonate supposée du 'maître' accompagne ce journal qu'il offre à son amie Lionella, sonate que Lionella se réjouit de jouer sur son violoncelle lors du concours 'Arpèges'

L'idée était bien belle mais j'ai mal supporté le côté bavard et wikipédien.
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Je venais de lire le grand feu de Léonor de Recondo dont j'apprécie beaucoup l' écriture poétique et sensible
L'histoire se passe à Venise à la Piéta à l' époque d' Antonio Vivaldi
J'avais bien apprécié le roman mais regretté que Vivaldi soit laissé en arrière plan
Heureusement, Babelio existe et j'avais apprécié une belle critique qui conseillait ce livre de Christiana Moreau qui est aussi peintre et sculptrice. Très bon conseil
Elle est belge , ce qui n'est pas sans importance dans ce livre dont une partir de l'action se situe à Seraing,Belgique
La construction du livre est très simple: une partie contemporaine à Seraing justement ,friche industrielle, symbole du capitalisme destructeur et de la misère sociale
Lionella, 17 ans , y vit et n'a qu'une passion:le violoncelle et un ami Kevin
Passons sur la découverte providentielle de son ami , de milieu très modeste lui aussi, un manuscrit et une composition musicale du17 ° siècle .C'est un roman, pas un livre d'histoire
L'autre partie se passe à Venise, à la Piéta, d'où le parallèle avec Leonor de Recondo. le manuscrit retrouvé par Kevin raconte l'histoire d'une pensionnaire,Ada qui, petit à petit, devient une grande violoncelliste mais inconnue du public car cachée par un ouvrage grillagé comme le voulait les règles de la Piéta, qui, rappelons-le, s'occupait aussi des enfants abandonnés
Formation musicale de très haut niveau mais anonymat et chasteté obligatoire
A la tête de cette formation, le prestigieux Antonio Vivaldi dont nous partageons la vie car Antonio et Ada vont devenir très complices sur le plan musical
Nous sommes vraiment plongés dans l'ambiance musicale et artistique de cette époque. Une histoire d'amour qu'il ne faut surtout pas dévoiler
Au final, Lionella ,qui doit passer un concours de très haut niveau, très médiatisé, choisit l'oeuvre musicale découverte par son ami Kevin
Je vous laisse découvrir la suite
Juste un petit bémol déjà noté :la relation entre Kévin et son frère à Seraing n'apporte pas grand-chose au récit
Pour tout le reste, j'ai préféré ce récit à celui de Leonor de Recondo
Il y a un peu moins de poésie mais la description de Venise est très réussie et très prenante
C' est Venise à son apogée :la musique , la peinture, les arts , l'architecture et le fameux festival.
C ‘est aussi le sentiment poétique qu'on ressent lors une promenade le long des canaux, bien loin de l'image que nous en avons aujourd'hui
Ce livre est d'une grande sérénité et crée une bulle de bien-être qui fait vraiment du bien dans notre monde triste à pleurer
Merci encore à celui ou celle qui a conseillé cette lecture
Il me reste à lire Titiano Scarpa Stabat Mater , conseillé dans la même critique et qui se passe dans le même contexte
Beau moment de lecture
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Christiana Moreau est une artiste et écrivaine belge vivant dans la province de Liège.
La sonate oubliée est un roman qui rassemble deux passionnées de musique autour d'un instrument tout à fait particulier « le violoncelle ». C'est l'instrument le héros de l'histoire, c'est lui qui fait vibrer le coeur de ces jeunes filles musiciennes. L'une vécut au XIIIè siècle. Il s'agit de Ada, orpheline dont le talent musical est exploité au sein d'un cloître, un orphelinat à Venise. Par bonheur, c'est le prêtre roux Vivalidi qui se charge de l'éducation musicale de Ada.
Lionella vit aujourd'hui à Seraing en Belgique auprès de sa famille. Elle est talentueuse et va passer le fameux concours Arpège. Par un hasard, la jeune fille qui ne trouve pas de morceau à présenter au concours va tomber sur une partition trouvée dans une brocante accompagnant un écrit en italien ancien traçant la vie son propriétaire qui n'est autre que Ada.
Pourquoi j'ai adoré ce roman ?
Pour diverses raisons.
La première raison est parce qu'il parle de musique, de violoncelle, mon instrument de coeur. Je connais cette sensation décrite dans le livre, la vibration guidée d'une main savante des cordes traversant tout l'être sous la caresse de l'archet tenu par l'autre. Cet instrument qui fait corps avec le musicien dont le son est si proche de la tonalité humaine, une tonalité sensuelle, mélancolique parfois, si enjouée d'autres fois. Je pourrais en parler des heures.
Une autre raison est que ce livre est un cadeau d'une amie qui m'est chère et qui comme moi traverse une période toute particulière de bouleversement.
Une autre raison qui rejoint la première est la référence à Vivaldi. J'adore ce musicien si simple, si humble et tellement merveilleux. Il a su mettre des notes sur les saisons, un pur délice.
Et enfin, j'ai aimé l'écriture, la cohérence de l'histoire qui suit deux époques, deux coeurs de femmes.
Ce roman est une réussite.
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