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sur 621 notes
Notre-Dame du Nil est une statue noire de Marie se trouvant au Rwanda et plus précisément, à la source du Nil. Pas loin de cette idole, a été construit un lycée pour jeunes filles où se déroule l'histoire de ce roman. Dans cette école, se retrouve l'élite de la société rwandaise hutu, des jeunes femmes dont on veut préserver la vertu en vue d'un bon mariage. Pour respecter les quotas, quelques Tutsi sont accueillies en son sein. Peu d'indications nous sont fournies sur l'époque, on peut deviner que cela se passe début des années 70.
Nous sommes happés dès les premières pages au coeur du sujet : la malveillance des Hutu envers les Tutsi. Dans les relations entre les filles, règnent le racisme, le pouvoir et la volonté de s'en sortir pour certaines. L'auteur n'idéalise rien. Naïveté, frivolité et cruauté de la jeunesse ne nous sont pas épargnés. le tout est servi par une belle écriture criante de vérité où le narrateur semble appartenir à l'histoire.
C'est une plongée dans un monde que l'on connaît par l'actualité, le Rwanda et ses luttes intérieures. L'auteur réussi à nous le décrire de manière détournée. Elle raconte comment les germes de la haine se propagent déjà durant l'adolescence et comment cela peut très vite dépasser les limites du supportable.
Je conseille ce livre pour toutes ces raisons. Aussi parce qu'il nous invite à découvrir un pays dont personnellement je ne connaissais pas grand-chose. Les traditions, les mythes et le regard des rwandais sur les blancs valent aussi le coup d'oeil. Et petite précision : cet ouvrage est écrit par une rwandaise, ce qui lui donne, à mon avis, encore plus de sens.
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Elles sont tutsies. Elles sont hutues. Ou les deux.
Elles sont toutes élèves en classe de terminale dans une institution religieuse du pays des mille collines. Elles nous emmènent à la source du génocide à venir.
Pendant une année scolaire, le romans observe les relations entre ces jeunes filles pour illustrer les tensions inter-etniques après la révolution sociale et politique rwandaise conduite par les Hutus. En arrière plan se dessinent également les rôles joués dans ce drame par l'Eglise catholique, la Belgique et la France.
Dans un climat de ressentiment historique , l'intrigue montre comment la soif du pouvoir à asséché les imaginaires et perverti les repères traditionnels pour laisser place à une société où la relation à l'autre est régie par suspicion, la peur et la haine .
Tout en mêlant le destin des jeunes filles à celui de leur pays, Notre-Dame du Nil laisse aussi la part belle à la magie africaine et ses pratiques ancestrales pour nous envoûter totalement.
Une très belle découverte, aussi instructive que dépaysante.
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Il paraît qu'en altitude l'air est plus sain. 2500 m n'est donc pas suffisamment haut pour éradiquer la bêtise humaine. Et la violence larvée de la société va jaillir parmi les jeunes filles de bonne famille hutue. 10% de tutsie, c'est toujours 10 de trop...
La tension est savamment entretenue, elle monte pas à pas, elle se retire, revient et soudain la grande vague. Pourtant, si l'on sait ce qui va se passer, jamais de panique, de terreur, de pleurs. Les tutsies le savent, elles seront courageuses jusqu'au bout ; elles se cacheront, essayeront de s'enfuir, ne se plaindront pas. Et à qui ? le nationalisme hutu a fait en sorte que rien ni personne ne puisse leur venir en aide. Pas même Dieu.
Je n'ai pas réussi à savoir exactement quand se déroule l'action, mais elle donne une idée de ce que peut, ou a pu être, cette société rwandaise qui a fini par exploser.
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Toutes les odeurs, les couleurs, les sons du Rwanda livrent leur pleine mesure dans le roman de Scholastique Mukasonga, prix Renaudot 2012.
Toute l'inquiétude, toutes les peurs, toutes les incompréhensions sont présentes et se lisent dans l'histoire du lycée internat de Notre-Dame du Nil situé à 2500 m d'altitude, au milieu des nuages du pays des milles collines.
Les années soixante-dix : des jeunes filles de milieu aisé (riches commerçants, militaires, ministres) et selon le quota imposé de 10%, un nombre réduit de filles « Tutsi » le fréquentent. Nous comprenons de suite les tenants et aboutissants que produira ce« mélange ». le malaise est bien présent et continu entre le mépris jusqu'à la haine de certains et la méfiance des autres.
Nous découvrons les sources de cette rivalité qui aboutira à l'un des grands génocides du XXe siècle. Querelles favorisées par l'horrible mentalité coloniale où la religion catholique prend une part de responsabilité bien démontrée par l'auteur en la personne de l'aumônier à la recherche de plaisirs douteux. Les paroles d'excitation à la haine qu'il tient lors de la poursuite meurtrière (le silence des professeurs belges et l'ignorance des coopérants français lors des faits interpellent) sont celles que je retiendrai essentiellement de ce livre.
Scholastique Mukasonga nous montre et démontre comment les liens de la haine (gratuite), l'influence, la manipulation, tout ce qui fait la laideur de l'homme conduira à cette horreur.
Un si beau pensionnat..., un programme visant à la formation de futures jeunes femmes responsables (la visite de la reine Fabiola est un morceau d'humour qui se déguste)..., la religion sectaire (les processions, cantiques, prières pour un oui, pour un non, les prénoms changés)..., la sorcellerie toujours présente, les us et coutumes de clans..., la folie d'un voisin en extase devant les Tutsis (ce qui nous permet de comprendre l'interrogation posée sur leur origine)..., donc un si beau pensionnat où couvent, microcosme de domination d'une ethnie sur l'autre, tous les ingrédients représentatifs de la destruction future.
Lecture aisée, simple sans fioritures inutiles, dialogues qui font rebondir l'histoire, nous font avancer pas à pas dans ce que nous pourrions croire, au début, être les relations tendues et perverses d'adolescentes en mal d'être jusqu'à découvrir que non, tout est politique, rien que politique et fanatisation.
Dans cette page d'Histoire, il y a cependant l'action finale qui donne à penser que l'homme peut toujours croire en l'homme. Et pourtant elle ne provient pas de celui (le religieux) dont on l'attendrait mais ne dévoilons rien...
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Situé au sommet d'une colline, près de la source du Nil, Notre-Dame du Nil est un pensionnat catholique pour les jeunes filles de la haute-société rwandaise. Un lycée difficile d'accès qui doit former l'élite féminine de demain. Il accueille donc principalement des jeunes filles issues de la majorité Hutu, mais un quota de 10% de Tutsi est admis.
Dans ce pensionnat qui vit en vase clôt, on voit se dessiner en miniature les mêmes problèmes que dans la société rwandaise. A savoir les relations complexes et parfois haineuses entre les deux "ethnies".

Ce roman a été une vraie source de découvertes. Découverte d'une culture, abordée de façon agréable dans ses multiples aspects. Découverte de l'histoire de ce pays à laquelle l'auteur fait maintes allusions. de la société rwandaise, ses codes et inégalités qui sont abordés de façon subtile. Et la place de la religion face aux croyance ancestrales.
J'ai été très émue par la façon dont l'auteur, qui a été victime de l'épuration ethnique, arrive à prendre un tel recul afin de sonder la source des relations conflictuelles entre Hutus et Tutsis, et entre les Rwandais et les Blancs. Et ça rend le roman d'autant plus puissant.
Des passages peuvent même être plein d'humour et, tout de même, on sent que l'irréparable peut se produire.
Les jeunes filles du pensionnat incarnent chacune les différences de la société rwandaise. Il y a Gloriosa, fille d'un politicien hutu qui prône l'épuration ethnique ; Modesta née d'un père hutu et d'une mère tutsi mise au ban de la famille, ; Immaculée qui, sous des aspects superficiels, ne se laisse pas dicter sa loi ; Véronica et Virginia deux jeunes filles tutsi pleines de rêves d'avenir mais qui sentent venir la catastrophe. Et les Soeurs blanches du pensionnat, les profs français et belges qui viennent en coopération et ne comprennent pas grand chose au pays qui les accueille.

Mais si j'ai aimé ce roman pour sa subtilité dans le traitement du sujet et pour ce qu'il a à enseigner je n'ai malheureusement pas été "emportée" par l"histoire, qui manque d'un certain ressort. J'ai eu un peu de mal à m'attacher aux personnages et à l'histoire avant le dernier tiers. En fait, je l'ai plus lu comme un témoignage que comme un roman. Rien cependant qui puisse me faire regretter ma lecture !

Lien : http://mumuzbooks.blogspot.f..
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Notre-Dame du Nil, c'est un internat situé au Rwanda, proche de la source du Nil, tenu par des religieuses et réservé aux jeunes filles de l'élite d'un pays qui vient d'acquérir son indépendance avec un quota "ethnique" rigoureux limitant à 10% le nombre d'élèves Tutsi.
C'est le quotidien de cet internat sur une année que Scholastique Mukasonga propose au lecteur de suivre dans ce roman.

J'ai doublement été touchée lors de la lecture de ce roman.

Tout d'abord l'histoire est d'un propos simple mais elle revêt une beauté et une forme de pudeur touchantes et envoûtantes.
Les jeunes filles dont il est question sont toutes attachantes, émouvantes, différentes les unes des autres.
Ainsi il y a celle qui tombera enceinte d'un diplomate zaïrois, celle qui se prêtera à la folie d'un "vieux blanc" croyant que les Tutsis sont les descendants des pharaons noirs, celle qui fille d'un politicien nourrit des ambitions politiques ou bien celles issues de familles plutôt modestes qui espèrent avoir un bel avenir.

Et puis j'ai appris un certain nombre de choses sur la société rwandaise et son mode de fonctionnement.
J'aime qu'un livre réveille ma curiosité et me donne envie d'en connaître plus sur un sujet.
Avec celui-là ce fut le cas, puisqu'il m'a permis de me rendre compte que je n'avais qu'une vision sommaire de ce que fut le génocide au Rwanda, une vision étriquée sans avoir toutes les cartes en main pour en comprendre les tenants et les aboutissants.

J'ai été frappée par le fait que l'auteur a su garder de la distance par rapport à son récit mais paradoxalement, à certains moments j'aurais aimé qu'elle s'engage dans ses écrits et brise cette distance pour laisser éclater son ressenti.
L'auteur casse régulièrement le rythme de son récit, en partant sur une histoire somme toute banale elle y fait intervenir brusquement le drame, et c'est là sans nul doute la plus grande réussite de l'écriture de Scholastique Mukasonga.
La haine, la violence, les prémices de l'épuration ethnique de 1994 sont présents à chaque page du livre, à chaque moment du récit, dans chacune des paroles de certaines jeunes filles.
Il n'y a pas de réel repère spatio-temporel mais l'aboutissement était inéluctable et l'on comprend, à la lecture de ce livre, que le génocide rwandais avait pris ses racines plusieurs dizaines d'années auparavant, se nourrissant dans un terreau de haine des Hutus envers les Tutsis alors que ces derniers avaient été à la tête du pays auparavant lorsque le pays était une colonie allemande : "Tu vois, Modesta, rien n'empêchera jamais les Tutsi de faire du trafic : même quand ils conduisent leurs filles pour la rentrée, il faut que ça leur rapporte.".
En ce sens, comme si la claque que représente l'ensemble du livre ne suffisait pas, la fin vient assommer le lecteur tant elle est criante de vérité, avec un désespoir clairement exprimé et annonciateur du massacre qui aura lieu quelques années plus tard mais également avec une lueur d'espoir, d'apaisement, de retour à la paix : "Je ne veux plus rester dans ce pays. le Rwanda, c'est le pays de la Mort. [...] La Mort a établie son règne sur notre pauvre Rwanda. [...] Je reviendrai quand le soleil de la vie brillera à nouveau sur notre Rwanda. J'espère que je t'y reverrai.".

"Notre-Dame du Nil" est un livre qui démontre clairement qu'au-delà de l'ordinaire, de la banalité d'une vie de pensionnat de jeunes filles, l'indicible et l'horreur ne sont jamais loin, tapis dans l'ombre et prêts à surgir au nom de soi-disant idéaux ethniques.
C'est aussi une formidable ouverture sur l'Afrique, la complexité de ce continent, à travers le prisme d'un pays : le Rwanda.
"Notre-Dame du Nil" est une lecture que je ne suis pas prête d'oublier et qui marque les esprits de façon permanente.
Lien : http://lemondedemissg.blogsp..
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Première rencontre avec cet auteur pour un roman lauréat du Prix Renaudot en 2012. le lecteur part au Rwanda à une époque antérieure au génocide, dans un collège catholique de jeunes filles, perché sur les montagnes à proximité des sources du Nil. le roman soulève les problèmes qui existent déjà au Rwanda entre les Tutsi et les Hutu. Les Hutu sont alors au pouvoir et les Tutsi sont justes tolérés, même dans ce lycée Notre-Dame du Nil, où les élèves sont quand même encadrées par des religieux. Les jeunes filles reçoivent cette instruction dans le but de pouvoir faire un beau mariage, car elles sont issues pour la plupart de classes très aisées de la société rwandaise. Elles semblent aussi plus ou moins protégées des tentations et du "diable", bien que... et là le regard de l'auteur se porte sur un prêtre plutôt libidineux... Personne n'est vraiment épargné, même ce vieux planteur blanc à moitié fou, qui discerne dans l'ethnie tutsi les descendants des dieux et monarques de l'Egypte antique.
De la jalousie, de la rivalité, de l'incompréhension, de la violence verbale ou physique, des machinations, de la politique et un peu de religion sont le quotidien de ces jeunes lycéennes.
Découverte d'un univers et des coutumes d'un pays, un ouvrage intéressant, mais je n'ai pas vraiment été conquise par l'écriture, et j'ai trouvé qu'il y avait quelques longueurs.
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Prélude au massacre.

Le lycée Notre-Dame du Nil est le meilleur lycée du Rwanda. Son objectif ? Former l'élite féminine du pays.

Lecture très intéressante. le lycée Notre-Dame du Nil accueille les filles des dignitaires rwandais. Sois-disant pour former l'élite, dans les faits pour qu'elles arrivent vierges au mariage. A cela s'ajoute un quota de 10% de Tutsies, de quoi alimenter les haines raciales.

Nous sommes dans les années 70. le Rwanda sort à peine de la colonisation. Toutefois les français et les belges sont toujours présent. Ils sont des ombres omniprésentes au sein du lycée. Par apporter la bonne langue, le français, et la bonne religion, le catholicisme. Toutefois, il ne s'agit que d'un vernis. En dehors du lycée, les jeunes filles parlent le kinyarwanda et vont voir des sorciers traditionnels. J'ai trouvé intéressant de voir ce mélange de tradition et de colonialisme.

Autre point que j'ai découvert. La haine des Hutus envers les Tutsis est ancienne. Il y a déjà eu des massacres avant le génocide de 1994. Une tension est présente dès le début du roman et va croissant jusqu'au désastre final. C'est une sorte de prélude au massacre de 1994. Les européens présent seront passifs face à celui-ci. Indifférence ou complicité ? Cela ne fait aucune différence, le résultat est le même. La conclusion reste porteuse d'espoirs malgré tout, même si l'histoire du Rwanda a déçu ceux-ci.

En somme, un roman très intéressant qui m'a permis d'en apprendre plus sur l'histoire du Rwanda et les haines interraciales qui l'empoisonnent de l'intérieur.
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Une histoire qui se déroule dans un lycée fréquenté par des jeunes filles qui seront amenées à devenir l'élite féminine du Rwanda. le lycée Notre-Dame du Nil a été construit près de la source du Nil, d'où son nom. Au fil des pages, l'atmosphère devient pesante, le fossé entre Hutu et Tutsi se creuse, la politique et l'armée s'en mêle. Tout se déroule pendant une année scolaire et l'élément déclencheur de cette épuration ethnique est le fait d'une élève Hutu. Scholastique Mukasonga est une rescapée du massacre Tutsi.
Un roman vite lu et, pour ma part, une question : comment a-t-il remporté le prix Renaudot ?
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« Tu sais bien, Veronica, que, nous autres les Tutsi, nous savons garder nos secrets. On nous appris à nos taire. Il le faut bien, si nous tenons à la vie. »
« Qu'est-ce que tu es venue faire au lycée alors, dit Gloriosa, tu aurais dû rester dans ta cambrousse à manger des bananes dans les champs. Tu aurais laissé ta place pour une vraie Rwandaise du peuple majoritaire. »
« On va bientôt sonner pour l réfectoire, dit Gloriosa, allons-y et toi Virginia, tu seras bien forcée d'ouvrir la bouche devant nous pour manger les restes des vrais Rwandaises. »

Sans que cela soit explicite, eu égard à certains faits, en particulier une visite du Roi Baudoin de Belgique, et de la Reine Fabiola, je situe l'action de ce roman avant 1993 (année du décès du Roi des Belges), et avant le génocide du Rwanda. le fil du roman suit une année scolaire complète. Nous vivrons donc avec ces jeunes filles leur quotidien, mais nous aurons un regard prophétique de la vie de ce pays
Nous sommes dans un lycée pour jeunes filles de bonne famille, situé là où prend naissance le Nil. Notre-Dame du Nil, c'est son nom accueille les jeunes filles en vue de les promettre à un beau mariage, et de les préserver des turpitudes de la vie moderne ; toutes les jeunes filles à ceci près, que déjà la sélection ethnique se pratique insidieusement, avec ce qui se dessine déjà avec des expressions comme « peuple minoritaire »
La rivalité entre Tutsis, et Hutus, entre les fausses, et les vraies Rwandaises se fait sentir dès les premières lignes du livre, et laisse présager de sombres lendemains au Lycée Notre Dame du Nil. S'y ajoute les complots, et les trahisons entre les membres des familles de ses jeunes filles. L'encadrement religieux n'est pas mieux non plus ; loin de faire respecter le strict respect de chaque ethnie, il semble plus préoccupé par sauvegarder les apparences.
Scholastique Mukasonga, a hélas connu et vécu cette lamentable tranche de l'histoire de son pays, montre en prenant appui sur des jeunes personnes éduquées, que la folie des hommes qui conduit à de véritables massacres prend racine en chacun d'entre nous.
Elle utilise une langue admirable, dans un style direct, sans encombre, ni métaphore, où chaque mot est pesé, et à chaque fois lourd de sens. Une fois lancée, la lecture ne souffre pas d'être laissée de côté ; elle laisse derrière elle d'infinie petites et grandes choses, donne furieusement envie de revenir vers l'auteur et d'aller plus loin en sa compagnie à la rencontre de l'histoire de son pays.



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