Autant ma première lecture d'un roman de
Guillaume Musso m'avait laissé sceptique, autant j'ai accroché à celle ci. Comme quoi, il n'y a pas que les imbéciles qui changent d'avis 😉
Dès les premières pages, le crime et ses auteurs sont révélés. le récit s'attache ainsi à remonter la chronologie des événements. Puis, peu à peu, une histoire différente s'écrit. Des cartes s'abattent. Et si tout n'était pas aussi simple ? Et si finalement l'auteur s'était amusé à trimballer son lecteur là où il voulait, sur de fausses pistes ? Me serais-je fait berner ?
Le style est direct, tranché, sans fioritures. On aime ou on passe son tour. J'ai aimé donc.
Ma seule interrogation, pour laquelle je n'ai pas de réponses, pourquoi ce découpage à l'extrême du roman ? Plusieurs parties, chapitres et sous chapitres numérotés. Je me suis un peu perdue, à souvent revenir en arrière vérifier dans quelle partie je me trouvais, le nom du chapitre, etc... le récit, à mon avis, n'aurait rien perdu de sa saveur plus simplement présenté. Si vous avez une explication, peut-être une habitude de l'auteur, je suis preneuse !