Lolita

Comment faire une critique d'un livre qui m'a déplu alors que tant d'autres lecteurs l'ont apprécié? Ce livre, dès le début, m'a profondément choqué! Je n'ai pas réussi à laisser de côté la thématique de la pédophilie comme "simple" support du récit du narrateur; qui relate une "grande histoire d'amour". A chaque page, je me sentais mal à l'aise et n'arrivais pas à faire abstraction. de plus, le style même d'écriture de Nabokov a été déconcertant, plein de lourdeurs et sans rythme... Je me suis accrochée pour finir ce livre... je peux désormais dire que "j'ai lu Lolita" mais, ce qui est certain, c'est que je ne le relirai pas !

Pas pour moi : Enervée par l'écriture et dégoutée par l'histoire.
Rien de poétique là-dedans.

Encore un livre chiant. Mais chiant... J'ai sauté 200 pages et ai préféré aller voir une analyse du livre plutôt que de le terminer. Quel ennui ce bouquin...

Pourtant le synopsis est vendeur ; un homme tombe amoureux d'une petite fille de 12 ans, épouse sa mère pour profiter de la fille. La mère meure, carte blanche pour le pédophile.

Et là, au lieu de profiter de tous les biens laissés par sa femme et d'abuser de la fille sous son propre toit, monsieur décide de parcourir l'Amérique et de visiter en touriste tous les lieux d'intérêts avec sa nouvelle dulcinée (pourquoi ? Aucune idée). le livre devient alors un road trip d'un ennui abyssal et illogique (d'ailleurs le monsieur était prof, il part 2 ans sur les routes entre hôtels et restaurants, aucun indice sur le comment il arrive à subvenir à ses besoins et ceux de la gamine sans travailler avec un reste de salaire de prof. Pas compris).

Les réponses viennent peut être ensuite mais je n'ai pas eu la patience de poursuivre tant le sujet est présenté de façon ennuyeuse.

Cependant si le sujet de l'inceste vous intéresse, je vous recommanderais plutôt "Marie Blanche" de Jim Fergus, où pour le coup on s'ennuie beaucoup moins.

Nabokov en personne décidera de la traduction en russe de l'abject Lolita. En renouant avec sa langue maternelle, il sera déçu de son résultat et le livre recevra un accueil mitigé en Russie (alors Union Soviétique) pour ne pas dire moins. Il avouera à cette occasion que son passé russe était bien mort ("souches desséchées et vacuité automnale sans espoir"). Moi je pense aussi que c'était bien le cas, et qu'il n'y avait pas de risque qu'il renaisse même de son exil, après une telle infamie !..

Des années que j'étais tentée de lire ce livre polémique. Et bien voilà qui est fait. Et ce fut un supplice. Il m'a fallut plus de 3 semaines pour l'achever, c'est dire s'il m'a peu passionnée. Je ne sais pas ce qui était le pire : la pseudo histoire d'amour dérangeante (en tout cas le narrateur croit vivre une histoire d'amour), le manque de rythme, les phrases longues comme des paragraphes... Un épisode de Derrick serait moins soporifique.

A la lecture de ce roman, deux mots me viennent à l'esprit : malaise et longueur.

Le récit nous plonge au coeur des pensées de ce pédophile puisque c'est Humbert Humbert lui-même qui nous narre son intérêt croissant pour les petites filles. Il consigne ses impressions dans un journal intime et nous fait part des fantasmes que lui inspire la vue de ces jeunes corps à peine formés. Si les scènes sexuelles sont plus ou moins explicites selon les chapitres, elles ne laissent cependant aucune place à l'interprétation et provoquent un malaise grandissant.

Le malaise provoqué par cette histoire tient également du fait qu'Humbert Humbert prend le lecteur à parti (« Cher lecteur »), ce qui nous implique dans le récit, nous donnant le rôle désagréable de voyeur.

Et si le sujet provoque un malaise, l'aspect très descriptif du récit n'aide pas à entrer dans le texte. Les phrases sont très longues, marquées par de nombreuses digressions. J'avoue m'être ennuyée…

Lolita est considéré comme un chef-d'oeuvre de la littérature moderne et c'est à ce titre que sa lecture me paraissait intéressante. Bien que je pressente une lecture difficile, je n'en attendais rien de particulier. Malheureusement, ce fut une réelle déception et je n'ai qu'une envie, me lancer dans une lecture plus réjouissante pour oublier bien vite les images malsaines que ce roman a suscitées.
Lien : http://carnetdelecture.skyne..

Au risque de paraître peu ouverte d'esprit, ce livre m'a vraiment mis mal à l'aise. Au début, je pensais que les désirs de Humbert en resterait là et qu'on le retrouverait avec Lolita quand elle aurait seize dix-sept ans. Mais, j'en suis à la page 250 et j'ai décidé d'arreter ma lecture (chose rarissime). Je n'arrive définitivement pas à m'attacher aux personnages et à trouver le moindre plaisir à être spectatrice de cette relation pédophile.

Qui oserait avouer qu'il n'aime pas Picasso ?

J'ai lu la moitié du livre... C'est bien écrit... certes... mais ça ne suffit pas.
Mais les fantasmes d'un mec même si c'est très bien écrit... et si c'est du Nabokov... Ben... Bof...
Je préfère passer à autre chose...
Certainement que dans le contexte des années 60 ça a fait parler...

Bien sûr qu'il faut le lire avec du recul... et qui plus est, la nymphette est consentante... Mais bon... Nabokov est tout de même ambigu je trouve...
J'ai un doute sur son honnêteté intellectuelle...

On pense à Roman Palanski bien sûr... Mais lui on ne lui fait pas de cadeau encore aujourd'hui...

Je trouve que ce livre a quelque chose qui dérange... c'est le but d'une oeuvre d'art je sais... Mais Je passe mon chemin.

Il n'a pas été lui-même très tolérant avec ses pairs alors... Il ne m'en voudra pas...

Je connais désormais l'étymologie du mot "Lolita" :-)

Je n'ai pas réussi à finir ce livre, j'ai dû m'arrêter au tiers.
Pourtant, je savais sur quoi portait l'histoire, mais j'ai été très déçue : pour une raison quelconque, je l'ai trouvée… ennuyeuse.
Je comprends que ce roman soit intéressant psychologiquement, éthiquement, philosophiquement… mais il ne m'a pas emportée. J'avais l'impression de voir où tout cela allait nous mener, aucun personnage ne m'a touchée… Je ne comprends pas tellement l'engouement autour de ce livre, à part pour le côté polémique, politiquement incorrect, scabreux. Je pense qu'il faut un peu plus que ça pour faire un bon livre, et je n'ai pas tellement vu autre chose.
Au vu du nombre de personnes qui l'élève en monument, je suis peut-être passée à côté de quelque chose. Je ferai sûrement une autre tentative dans quelques années…

Impossible de lire plus de 100 pages. Je me demande comment ce livre peut encore être considéré comme un chef d'oeuvre… C'est fou comme le temps fait les choses : même les oeuvres les plus belles (formellement) ne résistent pas à l'évolution des moeurs. Heureusement ?!