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sur 4899 notes

Critiques filtrées sur 1 étoiles  
J'ai lu Lolita il y a près de 3 ans pour passer un concours (déjà les conditions n'étaient pas idéales).

Un livre très controversé, et c'est un euphémisme, même aujourd'hui. le moins qu'on puisse dire c'est que Nabokov a tout compris et très bien réussit son opération de "com' ". c'est vrai, à bien y réfléchir, en dehors de ce roman, qui peut citer d'autres oeuvres de l'auteur? Un assez petit nombre de lecteur, assurément.

Lolita... Une douce musique un peu mystérieuse. Pauvre adolescente devenue, malgré elle, un archétype et un fantasme pour certains hommes. Et dire que même la mode a repris ce cliché, qui n'est rien de plus qu'une mauvaise interprétation, car Lolita c'est avant tout une victime.
Lolita, c'est le diminutif de Dolores, un prénom d'un bien plus triste présage... Celui qu'elle connaîtra avec son beau-père Humbert Humbert, car dans le roman il s'agit clairement d'un viol (ou plutôt d'une série...).

Si on laisse de côté cet aspect sulfureux de l'histoire qui a fait (et fait toujours) la renommée de ce roman. C'est un roman d'exploration, pas seulement celui du corps de Lolita (la pauvre! même si le livre ne regorge pas non plus de description crues, ça c'est un fantasme), mais aussi celle de l'Amérique et de la langue anglaise.

Qu'on ne s'y trompe pas, Lolita n'est pas un roman pornographique, c'est bien de la littérature ; du genre qui réjouira au plus au point les amoureux de linguistique et de narratologie...dont je ne fais pas partie.
Certes, Vladimir Nabokov était un homme très instruit et intelligent, car son roman regorge de références, qui si on voulait toutes les comprendre... hé bien, il faudrait rien de moins qu'avoir la tête de son auteur. Ambitieux, en effet !
L'auteur passe en effet son temps à se moquer du lecteur (et surtout, du narrateur), à semer des pistes dans tous les sens, ce qui donne finalement la très désagréable sensation que Nabokov s'est regardé écrire....

Et puis, disséquer la langue anglaise, c'est vrai, il le fait très bien, mais n'étant pas du tout rentrée dans ce "délire", ça me gênait quand même de lire un roman dont l'un des fil rouge est le viol d'une adolescente par un pervers dont on lit chaque pensée tordue...
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Nabokov m'a fait un peu le même effet que Céline ... C'est avec une langue sublime que l'auteur décrit des choses ignobles. On avance entre les phrases avec le coeur serré. L'esprit partagé entre la répulsion et la fascination. Arrivée au milieu du livre, s'offrait à moi deux possibilités. Première possibilité : cracher entre les pages de cette charmante ode à la pédophilie et mettre un terme à ma lecture. Deuxième possibilité : poursuivre le roman pour me délecter de ses phrases si jolies et tenter de comprendre ce que l'auteur avait derrière sa ***** de tête quand il a écrit ce truc. J'ai été vivement tentée par le gros mollard entre les lignes mais bon j'avais emprunté le livre à la bibliothèque alors ça le faisait pas trop ... j'ai donc refermé ( sagement) le vil bouquin pour ne jamais le rouvrir.

Afin de recoller les bouts de mon âme brisée d'adolescente, j'ai été obligée de lire au moins trois bouquins de Jane Austen !
Voilà quoi !
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J'aurais beaucoup aimé aimer ce livre. J'aurais pu dire que j'admire le style de Nabokov, ou que je relis son oeuvre tous les ans ou encore que, si on se dit lecteur, on ne peut pas passer à côté. Ce dernier point est un peu vrai. On ne peut pas passer à côté de ce livre. En plus, vu le thème, je me dis Classique + Trash = fait pour moi. Bah non. Pari perdant pour le coup. Je ne sais pas bien comment je suis arrivée à lire ce livre jusqu'à la dernière ligne. Probablement pour pouvoir dire : "je l'ai lu !" comme avec L'étranger de Camus.

La première partie était plus ou moins potable. Elle est déconcertante et buvable. Mais la seconde m'a perdue. Vraiment trop de jolis mots et de phrases chantantes, au point que je ne comprenais plus le sens de ce que je lisais. Mon QI n'est pas assez élevé pour apprécier ne rien comprendre pendant 300 pages.

J'ai pourtant adoré le film. L'histoire m'intéresse et je suis très curieuse des réactions, ainsi que du malsain. Le film fait sans doute sauter toutes les fioritures emplumées de l'auteur. Et là, j'ai une histoire compréhensible.

En voyant la note de l'auteur à la fin, je me dis "chouette, quelque chose qui va me faire comprendre pourquoi". Bah non. Toujours rien compris. Pour le coup, j'aurais pu le lire en russe, y aurait pas eu grande différence.
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Étant quelqu'un d'honnête , je ne peux que reprendre cette critique , vu que j'ai relu ce livre.
Pourquoi l'ai je relu ?
Simplement parce que pour des gens que je respecte c'est un chef d'oeuvre .
Nul n'a la science infuse et toute critique est très subjective.
J'ai donc relu ce livre .
J'en tire une opinion autre .
Je ne dis pas qu'il s'agit d'un chef d'oeuvre attention .
Je ne peux qu'être d'accord quand l'on dis que le style est brillant , et que Nabokov à une belle écriture .
J'ai appris nombre de mots nouveaux pour moi dans ces pages.
Sur le plan de l'étude de caractère , il convient aussi de dire que Nabokov effectue un grand travail .
Auscultant les âmes , à la manière d'un psychiatre , il fait ressortir avec brio les mentalités des personnages présents ici .
A ceux qui estiment qu'il s'agit d'une histoire d'amour , je dis non.
A mon humble avis , Humbert est un détraqué , un pervers, qui n'a jamais fait le deuil de son amour de jeunesse contrarié , si tant est que l'on puisse parler d'amour même dans ce cas.
Humbert apparait comme un pervers qui en réalité , recherche chez les nymphettes ce qu'il n'a pu avoir avec son "amour " de jeunesse.
Il cherche à accomplir un acte sexuel dont il à était privé étant adolescent.
Ainsi il se tourne vers les nymphettes , non pas par amour , mais par projection de l'accomplissement de cet acte dont il à était privé.
L'on comprend cela quand l'on lis les attirances que nombre de jeunes filles suscitent chez lui .
Il se trouve que Dolorès lui permet d'accomplir enfin cet acte , donc il se focalise sur elle .
Mais pour autant , aurait il refusé de passer à l'acte avec une autre jeune fille ?
Certainement pas .
Humbert est un attardé sur le plan de la sexualité , il n'a aucune maturité sur ce point .
La preuve étant ces rapports avec sa 1 ére épouse , qu'il méprise et envers laquelle il aurait pu être violent .
De même son dégout envers Charlotte Haze , la mére de Dolorés , envers qui il joue une comédie qui finira tragiquement .
Humbert est un adolescent de 13 ans dans le corps d'un adulte quarantenaire .
Il n'a en lui aucun sentiment pour Dolorés , se comportant avec elle comme avec une catin , d'après ces propres dires.
Dolorès c'est son "défouloir " sexuel en quelque sorte .
Il va quand même jusqu'à la droguer pour abuser d'elle , ce qui est la preuve absolue qu'il n'y a aucun amour en lui pour Dolorès.
Quelle extrémité aurait il atteint si elle n'avait pas répondue à ces avances ?
Humbert n'est pas un romantique ou un amoureux , c'est un monstre calculateur , un être d'une très grande dangerosité .
Pour autant , aurait il pu faire tout cela sans qu'une jeune fille sotte et niaise ne le lui permette ?
Il est lui même parfaitement conscient que Dolorès est une jeune fille très limitée , qui ne réalise pas ce qu'est réellement la vie.
Dolorès c'est la "proie " parfaite pour lui , une jeune fille dont la mère est trés jalouse , qui offre son corps au premier venu ...
Autant par rapport à Humbert , Nabokov fait oeuvre de réalisme dans la description du monstre , autant par rapport à Dolorès il est dans une sorte de caricature , peu respectueuse de l'ame féminine .
Pour lui les femmes sont ou bien des cruches , ou des idiotes , ou des allumeuses sans cervelles .
Il est assez consternant de voir la misogynie présente dans ce livre .
Au fond , à certains moments il va jusqu'à donner l'impression de plaindre Humbert , de le comprendre , en traitant Dolorés comme une jeune écervelée..
Autant l'on peut voir l'ètude d'Humbert comme trés fine , autant au sujet de Lolita il est d'un manque d'empathie assez choquant ...
D'autre part quand certains disent que le livre n'a rien de pornographique , l'on est surpris parce que Nabokov est très insistant et cru sur ce point .
On ne peut lire ce livre sans ressentir un malaise , car quand méme l'on parle ici de pédophilie , et ce sujet est d'une gravité que l'on ne peut relativiser .
Dans un genre un peu semblable sur le plan du sujet , l'on peut découvrir le livre de Alicia Éran , La petite arabe , bien plus respectueux de la condition féminine .
Toujours est il que ce livre de Nabokov est â réserver â un public adulte , et que l'on ne peut le lire sans ressentir une nausée et avoir les mains sales .
L'on ne doit ressentir aucune honte si l'on abandonne la lecture de cet opus , qui de par son sujet et le traitement qui en est fait , s'avère très éprouvant , si ce n'est insupportable.
Mais cela n'est qu'un humble avis .
Cap Breton le 20 Avril 2015
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J'ai enfin lu le fameux Lolita de Nabokov récupéré dans la bibliothèque de ma mère à son décès il y a 20 ans. Je savais, bien sûr, comme chacun, que le livre à sa sortie avait fait scandale, mais qu'il s'était imposé ensuite comme un classique de la littérature.

La question : est-il un classique parce qu'il a fait scandale ou est-ce vraiment un chef d'oeuvre de la littérature ?

Si on considère seulement son aspect formel, le roman n'est pas exempt de défaut. Loin de là. L'action et le rythme sont d'une lenteur que rien ne justifie. Pour le dire franchement, je me suis ennuyé le plus souvent, en particulier durant le long périple de Humbert et Lolita à travers les USA. Ce n'est que vers la fin qu'une véritable tension narrative apparaît. de plus, le discours est certes extrêmement brillant, mais il est cependant exprimé (traduit ?) assez souvent dans un style lourd, avec des phrases très (trop) longues munies d'une richesse de vocabulaire à friser l'indigestion. Je ne crois pas être un analphabète, pourtant, que d'adjectifs (voire de noms) éparpillés un peu partout et dont j'ignore le sens. On dirait parfois un concours de vocabulaire (voyez, cher lecteur, comme j'en connais des mots que personne n'utilise…). Très étrange, car je n'ai jamais eu cette impression en lisant d'autres Nabokov (comme La Défense Loujine, par exemple, roman que j'admire).

Donc, en ce qui me concerne, selon mon humble avis, d'un point de vue strictement formel, nous n'avons pas affaire à un chef-d'oeuvre.

Le fond alors ?

Mon Dieu, le fond, que dire…

Les choses sont astucieusement emballées de sorte à ce qu'aucune pornographie n'affleure. Et peut-être, d'ailleurs, est-ce pour cette raison que certains considèrent ce roman comme un chef-d'oeuvre. Or, si l'on tente de bien prendre conscience de ce qui est écrit, voire de s'en forger des images, on en a la nausée. Heureux alors ceux qui manquent d'imagination… Car il s'agit de pédophilie. le « héros », Humbert, en prédateur sexuel, s'est emparé d'une fillette et, tout simplement, disons les choses comme elles sont, la baise chaque nuit pour son plaisir exclusif. Lolita n'est même pas une pré-adolescente (nous précise-t-on à plusieurs reprises avec insistance).

Notons aussi, Humbert étant légalement le beau-père de Lolita, que cette relation sexuelle est aussi un succédanée d'inceste sur lequel Nabokov insiste beaucoup, comme si cette situation ajoutait une plaisant petit supplément de perversion.

La petite souffre physiquement de cette baise monstrueuse (on nous le dit aussi) et est violée avec une régularité synonyme de l'appétit sexuel du pédophile. Violée et re-violée parfois dans la même nuit. Notre pédophile, par ailleurs, connaît parfaitement le calvaire qu'il inflige, la destruction psychologique dont il est l'auteur, il en parle même assez longuement à plusieurs reprises, avec une complaisance étonnante, mais semblant se trouver une excuse. Laquelle, me demandez-vous ? Celle de l'aimer. Ce monstre prétend aimer cette pauvre petite. Et je réentends alors certains crétins, alors que je n'avais encore jamais lu ce roman, me dire « c'est une grande histoire d'amour ». Non, cela n'est pas une grande histoire d'amour (totalement asymétrique du reste, car dès qu'elle a été en mesure de le faire, Lolita s'échappe et fuit Humbert). Que ce pédophile soit devenu sexuellement fou de cette pauvre gosse est un fait, mais ne fait pas de cette irrépressible et monstrueuse attirance sexuelle une histoire d'amour.

Reste un dernier point. le dernier qui me semble vraiment à discuter. Ecrit à la première personne, ce roman serait le témoignage première main d'un pervers (Humbert), capable de raconter sa folie et de nous permettre ainsi de pénétrer dans ses pensées (à fin d'édification sur la psyché d'un pédophile). Cela serait certes alors de la Littérature aussi (avec un grand L). Pourquoi pas ?

Pourtant, j'y vois une faille. Prenons par exemple La Mort est mon Métier de Robert Merle, roman mettant en scène le chef du camp d'Auschwitz. L'homme est monstrueux et on s'en rend compte. Ici, l'homme est monstrueux aussi mais, si on n'y prend pas garde, on ne s'en rend pas compte. On entre dans le système de pensée de Humbert et nous l'admettons comme une pensée normale. Inquiétant…

Quelle note ? J'ai presque envie de dire, mettez celle que vous voulez, je ne veux pas noter un tel ouvrage. Trop facile, me direz-vous, mouille-toi donc mon vieux Yakou ! Et vous auriez raison. Alors, je prends mes responsabilités et, pour être en accord avec ce que j'ai ressenti et vécu pendant cette lecture, je vais mettre une seule petite étoile puante.

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Rendez-vous raté avec ce roman considéré par certains comme un chef d'oeuvre ... Non je n'arrive pas à dépasser le rejet viscéral que j'éprouve pour Humbert Humbert.
Je l'ai terminé avec peine mais heureuse d'en avoir fini!
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Un supplice, autant être clair, je ne l'ai pas fini et je n'en ai pas l'intention. Ma lecture s'est terminée à la lecture de la première ligne du chapitre 16 soit à la page 129 (sachant que le roman débute page 31).
Les romans érotiques ne sont pas ma tasse de thé à la base mais j'arrive toujours à m'accrocher à quelque chose pour le finir, là non. Dès la première page, ça annonce directement l'ambiance : pédophilie et procès.
J'ai tenté de le lire en début de semaine, j'y suis revenu ce matin mais ça m'a pris la journée pour arriver 100 pages, c'est l'inverse d'un coup de coeur, je ne comprends pas l'engouement autour de ce livre et encore moins ce qu'il vient faire dans les classiques. La Russie a fait mieux, les USA ont fait mieux, l'écriture n'a rien de spéciale.

J'invoque mon droit de lecteur de ne pas finir ce livre.
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Une fois le premier choc passé, le roman devient vraiment long, presque insipide parce que j'ai pris en horreur ce personnage de pédophile lettré. le roman est de son point de vue et voir les raisons de cette obsession, de cet « amour », ne m'a pas permis pour autant de cautionner, au contraire. Il ne se rend compte de rien, refuse de voir ce qu'il fait subir à Dolly, bref j'avais l'impression d'assister à une séquestration combinée de viol de mineure, mais attention, avec les félicitation du jury !
En refermant le livre, je n'étais pas tant rebutée par l'histoire et le personnage de H.H que par les gens derrière. Nabokov, les éditeurs, tous ceux qui considèrent que ceci est un monument de la littérature. Je me suis demandée s'il y avait une limite à la littérature, s'il y avait un point où il fallait vraiment dire stop. Ce n'est pas un roman pornographique, loin de là, mais pour moi il donne une excuse à tous ceux qui frétillent en regardant les genoux des gamines de douze ans. L'auteur lui-même dit ceci « […] Lolita ne trimballe derrière lui aucune morale. A mes yeux, une oeuvre de fiction n'existe que dans la mesure où elle suscite en moi ce que j'appellerai crûment une jubilation esthétique, à savoir le sentiment d'être relié quelque part, je ne sais comment, à d'autres modes d'existence où l'art (la curiosité, la tendresse, la gentillesse, l'extase) constitue la norme » (Nabokov, Lolita, Folio 3532 p.549), d'autres disent que Lolita est une allégorie, l'Europe dépravant les États-Unis et vice versa, la relation de l'auteur avec le roman sentimental... J'aime lorsque les romans ont des sens allégoriques, une double-dimension, mais là, pour la première fois, je dis « non ». On peut lui donner tous les sens que l'on veut, il ne faut pas oublier que le premier niveau de lecture, la base, c'est la relation d'un homme et d'une pré-adolescente pas si consentante que cela. J'ai un seuil de tolérance très large, j'aime la littérature plus que tout et lui pardonne beaucoup de chose, je sacrifie volontiers mes scrupules sur l'autel du style et du génie, mais là c'est trop. On ne joue pas avec ça, point.



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Challenge ABC. Choisi pour tenter de varier mes lectures et par curiosité. Ben la curiosité est un vilain défaut!
J'étais pressée de l'achever.
Comme on dit chez moi: Quelle punition!
Je n'ai pas apprécié du tout cette lecture.
J'ai trouvé ça bavard, long, long, loooong. Des énumérations et des descriptions à n'en plus finir.
A aucun moment, je ne me suis attachée aux personnages et le style rend la lecture pénible. Il ne se passe rien et je me suis ennuyée (euphémisme, mais l'expression qui convient mieux est grossière et peut inclure un rongeur décédé).
Le point positif: J'ai appris plein d'adjectifs recherchés (que je ne replacerai sans doute jamais dans aucune conversation), au moins je ne l'aurai pas lu pour rien.
Allez hop, on passe au suivant.
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Il paraît qu'il ne faut pas toucher aux chefs d'oeuvre et que Lolita en est un. Pourtant il n'y a rien à faire, j'ai détesté ce roman. Il m'a écoeurée du début à la fin ; le narrateur ne suscite que dégoût et rend la lecture laborieuse. Seule la pauvre gamine, tour à tour complice puis rapidement victime, suscite la compassion.
Lien : https://tomtomlatomate.wordp..
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