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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
À travers le parcours de Thérèse et de Toussaint, qui se découvrent amoureux passionnément à 16 ans, un amour d'enfance , éphémère où tout leur était permis, pour l'une, le premier , le découvreur, pour l'autre, l'héroïne de sa jeunesse, l'inespérée, l'initiatrice......Las! Cette idylle brève , intense, incendiaire ,les parents et la vie les a séparés ...peur de l'inconnu, âge enfantin, préjugés religieux, .conformisme......
Elle est fille de rabbin, lui, issu d'une famille bourgeoise catholique .L'auteur, d'une plume fluide, précise, retrace le parcours de ces deux soixante- huitards , il jette un regard acéré avec des retours en arrière et un manque de chronologie apparent qui ne gêne en rien la lecture ( , les chapitres sont courts , pointillistes, maîtrisés ) sur leur vie passée , mariage, travail, enfants, divorce, désillusions.....
Les anciens amoureux , ces anti- héros se retrouvent par hasard, 40 ans plus tard .......lui pour régulariser sa retraite, il était un brillant correcteur dans l'édition, elle fonctionnaire dans une caisse de retraite ....
Ce beau livre qui montre que les familles ne font pas de cadeau, où il est question d'amour, de religion, d'habitudes, de réconfort, de méfiance , de peur, de confiance et d'espoir, vaguement de politique .....de judaïsme , du livre "Primo-Levi" Si-c'est un homme " de fadaises religieuses aussi.....
Un texte émouvant, attachant, qui dépeint la société française de cette époque avec acuité et finesse , la fin est terrible, on ne s'y attend pas .....l'histoire ne fait pas de cadeau , je ne désire pas dévoiler trop, ce serait dommage. ....
Un roman léger et grave éclairant des destins ordinaires avec une belle maîtrise, très agréable à lire que l'on ne lâche pas !
Grand merci à celui qui me l'a prêté !
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L'histoire d'amour avortée de ces deux adolescents est avant tout le (bon) prétexte pour dresser le portrait des deux adultes qu'ils sont devenus et qui tentent de cheminer dans une vie avec ses hauts et ses bas, au milieu d'une société qui évolue, parfois trop vite, parfois pas assez, parfois dans le mauvais sens.
Oh Thérèse et Toussaint ne sont pas parfaits et ne cherchent pas à l'être.
Ils doivent composer avec une vie qui ne ressemble pas à celle dont ils ont pu rêver étant jeunes et pour laquelle ils ont si vaillamment repoussé parents et préceptes.
Un texte au style riche et soigné, tantôt léger, tantôt grave. Comme nos personnages.
La fin sera, selon chacun, le point fort ou le point faible de ce roman. Elle a en tout cas le mérite de nous cueillir, de nous secouer.
Certes, on peut avoir envie de demander à l'auteur : « Mais pourquoi ? Pourquoi cette fin ? ». Toujours est-il qu'elle va à contre-courant de ce à quoi on pouvait s'attendre et ce n'est pas plus mal !
Une lecture plaisante !
Lien : https://livresetbonheurs.wor..
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Deux enfants s'aimèrent d'amour tendre puis le temps et les parents les séparèrent avant qu'ils se retrouvent quarante après.

Ce roman nous trace le portrait de deux existences dans la France de l'après seconde guerre mondiale. D'abord celle de Toussaint ce jeune homme qui prend la vie comme elle vient avec une certaine légèreté et désinvolture. Puis celle de Thérèse, fille de rabbin qui va d'abord obéir a la pression familiale en se mariant avec un juif avant de tout plaquer et de couper les ponts avec sa famille.

Je ne connaissais pas Charles Nemes, n'ayant lu de cet auteur aucun de ses romans mais j'ai beaucoup apprécié cette lecture. D'abord par le style de l'auteur qui commence avec légèreté comme l'est la France des années 50/60 puis le style devient, par petite touche, plus grave et lourd à l'image de cette France de ce début de siècle avec la montée de l'intégrisme et du racisme. L'histoire de ces deux héros pleine d'humanité et de mélancolie nous emporte dans un tourbillon de sentiments et de plaisir. Une très belle réussite !

Encore un grand merci aux éditions HC et à Agnès Chalnot pour m'avoir proposé ce roman.
Lien : http://desgoutsetdeslivres.o..
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Toussaint Legrand, divorcé, père de deux enfants, reçoit de la caisse de retraite un courrier lui proposant de faire le point sur sa carrière afin que le passage à la retraite se fasse dans les meilleurs conditions.
Thérèse Borowski, divorcée, mère célibataire, est chargée à la caisse de retraite de traiter les dossiers de retraite.
Le dossier de Toussaint est traité par Thérèse.

Quarante ans auparavant, Toussaint et Thérèse s'aiment et le 25 juin 1967 ils font l'amour pour la première fois. ils ont 16 ans.
Les deux pères tombent d'accord sur l'opportunité de séparer leurs enfants.

A l'heure de la retraite, Toussaint et Thérèse vont-ils se retrouver ?

Les parents de Toussaint sont des bourgeois catholiques. Ils ont deux enfants Toussaint et Gabrielle. Après avoir travaillé dans l'étude de Maitre Baron, père de son copain Luc, il est embauché chez un éditeur comme stagiaire au stock puis comme correcteur. Aux environs de 35 ans il épouse Noëlle, professeur d'Histoire. ils ont deux enfants. Ils divorcent après 12 ans de vie commune.

Le père de Thérèse est rabbin. Elle a plusieurs frères et soeurs. Elle entre dans la fonction publique. Elle épouse Maurice, juif pratiquant. En l'absence d'enfant, ils divorcent au bout de 10 ans. Thérèse demande sa mutation pour Paris . Elle y rencontre un certain Hubert, qui la quittera sans laisser d'adresse. Elle accouche d'un garçon en 1982. Elle informe ses parents qu'ils sont grand-parents alors que son fils entre en maternelle. Son père aura une grande influence sur son petit-fils, les conséquences seront douloureuses pour Thérèse.

Sans véritable ordre chronologique, avec de courts chapitres, l'auteur nous raconte les vies "normales" de Thérèse et Toussaint pendant ces quarante années : parents, fratrie, religion, amour, mariage, divorce, enfants, amis, deuil, activités professionnelles...

Étonnement à la fin du livre, comme d'autres Babelios j'ai été choquée par le choix de Toussaint pour, croit-t-il, célébrer Primo Levi.
"Si c'est un homme", sorte de fil rouge, est lu ou a été lu par plusieurs protagonistes du roman, (comme espérons-le par ses lecteurs).

En conclusion, j'ai beaucoup apprécié ce livre. le style est très agréable, l'attention du lecteur toujours maintenue. Émotion et humour s'y côtoient.
Merci à Babélio et aux Éditions HC de m'avoir fait connaître cet ouvrage.















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Charles Nemes porte de nombreuses casquettes. Celles de réalisateur, d'acteur et d'auteur. Aujourd'hui je vais vous parler de lui en tant qu'auteur. Son septième roman, Deux enfants du demi siècle est sur les étagères des librairies françaises depuis le 19 janvier de cette année.

Deux enfants du demi siècle retrace le parcours de vie de deux soixante-huitards.

Thérèse et Toussaint se sont aimés à l'heure où les premiers émois amoureux font vibrer le corps et le coeur. Lui issue d'une famille bourgeoise catholique et elle fille de rabbin, leur idylle sera aussi brève qu'intense. La différence religieuse, de classe et la peur de l'inconnu vont pousser les parents des tourtereaux à couper court à cet amour naissant qui régit les faits et gestes.

Si le manque cédera la place aux souvenirs, Thérèse et Toussaint ne s'oublieront jamais tout à fait. Mais la vie n'attends pas, elle rafle tout sur son passage et emporte de gré ou de force ses passagers dans un tourbillon de moments qui mis bout à bout forment des jours, des mois, des années, des décennies qui seront marqués par le plaisir, la tragédie, l'absence, le bonheur, l'attente...

A l'aube de la retraite, Thérèse et Toussaint jettent un regard sur tout ce qui fait qu'ils sont devenus eux même aujourd'hui. La vie est une source inépuisable de surprises. Un jour un dossier va atterrir sur le bureau de fonctionnaire dans une caisse de retraite de Thérèse. Ce dossier porte le nom de Toussaint le grand. Hasard ou destinée ? Peu importe, les choses sont parfois bien faites et permettent d'entrevoir un autre avenir que celui qui se profilait à l'horizon.

Charles Nemes dresse le portrait de deux personnages « lambda » qui jettent un regard sur leur vie passé. Jeunesse, mariage, enfants, boulot... Toutes ces choses qui occupent une existence entière ou presque. S'y ajoutent les questions existentielles, l'envie de vivre, d'avancer, d'évoluer, d'apprendre.... le passé de Thérèse et Toussaint réponds aux questions du présent.

Les retrouvailles ne sont pas la finalité de ce livre. L'histoire donne matière à réflexion sur les choix que nous faisons et sur ce qui va en découler. Thérèse et Toussaint se révèlent au lecteur sans pudeur ni faux semblant.

Charles Nemes a donné une (trop) grande place au judaïsme ( origine de Thérèse) dans la vie de ces personnages. Si ce fil rouge a relié les anciens amants tout au long du roman, cette exploitation a perdu de son sens avec les retrouvailles de Thérèse et Toussaint. La tournure donné au présent des personnages n'a pour moi aucune raison d'être. Un livre a toujours un dénouement et une fin mais pourquoi tomber dans l'excès quand la juste mesure a été utilisée dans la majeure partie du livre ?

Deux enfants du demi siècle est un roman très agréable à lire, qui a su me toucher et qui parfois m'a fais réfléchir mais qui malheureusement s'est achevé sur une fausse note. Sans être mauvaise, les dernières pages me laissent un goût amer. Mais au final, n'est-ce pas ça la vie ? Des hauts et des bas sans possibilité de maîtriser quoi que ce soit.
Lien : https://lepuydeslivres.blogs..
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Deux adolescents maladroits font l'amour une seule fois. Les parents les séparent. Ils s'oublient. Chacun mène sa vie : mariage, divorce, enfants, vie professionnelle. ..
40 ans plus tard, ils se retouvent.
La vie et ce qu'on en fait : avec ses parents, ses rencontres, son travail... et sa liberté, ses obligations, ses désirs.
L'auteur se tient à distance : chaque personnage fait ce qu'il peut dans une vie qu'il ne maîtrise pas vraiment.
Une belle langue simple, imparfait et passé simple, souligne le temps qui passe et le glissement vers les abandons successifs.et inévitables. ..
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Toussaint est un homme de 56 ans qui travaille dans le domaine des livres, une de ses passions, il est correcteur dans l'édition et de religion catholique.

Thérèse est quant à elle une femme fille de rabin qui travaille à la Caisse des retraites et qui fini par retrouver par hasard Toussaint grâce à son métier.

Ces deux personnages ont 15 ans lorsqu'ils tombent amoureux et entretiennent une relation non approuvée par leurs parents. Toussaint de religion catholique et Thérèse juive, sont contraints par leurs parents de poursuivre cette relation en cachette. Ils finissent par se perdre de vue au fil des années et s'oublient, tout en gardant tous deux une amertume de ne pas avoir pu continuer leur relation de jeunesse.

On assiste donc tout au long du récit à leur histoire, passée comme présente, jusqu'à leurs retrouvailles, 40 ans plus tard : 40 ans de vie, de moments plus ou moins faciles, d'expériences et de questionnements sur soi et l'avenir.

Bien que très différents de moi, j'ai trouvé ces deux personnages attachants et plus complexes que ce que le résumé en laissait paraître.

Mon ressenti général sur ce roman est plutôt positif. Il se lit facilement et m'a fait passer un bon moment. Certes ce n'est pas un coup de coeur, mais pour une fois que je lis une romance contemporaine qui n'appartient pas au genre de la New Romance et qui n'a pas lieu dans un univers fantastique : ça a été une bonne expérience !

J'ai apprécié la plume de l'auteur qui n'était ni trop simple, ni trop compliquée à appréhender et comprendre. J'ai regretté certaines longueurs de phrases qui se voulaient descriptives mais qui a mon sens ont plus ralenties le rythme de lecture qu'apportées des informations capitales pour connaître les personnages.

Le côté observateur de l'auteur était intéressant car j'ai eu l'impression d'être comme un enfant à qui l'on raconte une histoire de famille, une sorte de rendez-vous avec un aïeu désireux de faire connaître un déroulé d'événements, un témoignage de vie en quelque sorte.

L'intrigue est en soit très simple : il s'agit de retrouvailles entre deux amours de jeunesse. Jusqu'ici, rien d'extraordinaire, d'autres romans le traitent aussi. Ce que j'ai particulièrement aimé dans ce roman c'est la manière dont l'histoire de ces deux personnages est retranscrite.

En effet, le roman est raconté par un narrateur extérieur, l'auteur, qui s'attarde tour à tour au passé et au présent des personnages. Cette alternance de flashbacks et d'évènements réels permet vraiment de découvrir les personnages tout au long du récit. J'ai appris à comprendre pourquoi ils avaient tels traits de caractères, pourquoi ils avaient fait tels choix, pourquoi ils réagissaient de telles façons… Je pense que c'est ce choix narratif qui a fait que je me suis attachée aux personnages qui n'ont pourtant pas du tout le même âge que moi, qui n'ont pas la même vision que moi d'une relation amoureuse, etc. J'ai vraiment pu avoir une vision d'ensemble sur l'évolution de Toussaint et Thérèse et je pense que cela a joué dans le fait que je les apprécie.

J'ai également beaucoup aimé cette façon de raconter leur histoire car elle m'a permis de pointer par moi-même des différences de mentalités, des changements sociaux et la construction d'une nouvelle génération d'après-guerre plus émancipée et libérée des contraintes de la vie de leurs parents. Charles Nemes est inconstestablement un scénariste et selon moi cela se ressent dans la narration. A aucun moment je n'ai été perdue dans ma lecture, les réponses étaient apportées au bon moment et ma lecture n'en a été que plus fluide et agréable.

Le seul point qui m'a un peu déçue c'est que je m'attendais à avoir la scène de retrouvailles un peu plus tôt dans le récit. J'ai parfois eu envie de sauter des pages tellement j'étais curieuse d'assister à ces retrouvailles tant attendues, à la fois par les personnages mais aussi par moi, lectrice.

Enfin, j'ai été très surprise par la fin ! Je ne vais pas vous raconter la fin, je préfère vous laisser la découvrir par vous-mêmes, mais elle m'a vraiment donné une impression de fin de film, Charles Nemes n'est pas scénariste pour rien 😉

Pour résumé j'ai passé un bon moment avec ce roman et j'ai même appris quelques mots de vocabulaire. J'ai apprécié suivre les deux personnages de Toussaint et Thérèse et la plume de l'auteur. Je recommande donc cette lecture aux personnes qui aiment les histoires d'amour contemporaines avec un arrière plan historique et qui ne sont pas gênées par les flashbacks.
Lien : https://lyneobsessions.wordp..
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Toussaint et Thérèse sont des enfants de l’après-guerre. Ils vont tomber amoureux fous en pleine adolescence, puis se séparer.
Lui par manque de courage et de volonté, à la manière de ces amourettes de vacances qui s’étiolent comme les cartes postales qui les accompagnent à une époque où les échanges épistolaires n’ont pas été supplantés par les textos.
Elle, victime d’une famille juive avec un père rabbin qui a échappé aux camps de la mort et ne conçoit pas une union en dehors de son peuple. Chacun va renoncer à sa façon aux promesses juvéniles d’amour éternel et exclusif pour traverser la fin du vingtième siècle chacun de son côté.
Toussaint devient un brillant correcteur estimé. Il se mariera avec Noëlle, et aura deux enfants qui vont s’épanouir dans l’abondance et la révolte, puis finira par divorcer et se retrouver seul alors que le poids des années et la forme de fatalisme qu’il a développée pèsent sur son avenir incertain.
Thérèse restera, d’une certaine façon, fidèle à son engagement précoce, sera mariée à un juif pratiquant intégriste qu’elle quittera faute d’amour et sans enfant. Cet enfant tant espéré lui viendra d’un inconnu rencontré par hasard. Enceinte, elle se retrouve à nouveau seule et connaitra l’amour libre et des déconvenues nombreuses qui n’altèreront pas sa force de caractère et ses convictions. Fonctionnaire, elles ne sombrera pas dans la facilité ou la dépression alors même que les raisons de lâcher prise ne manquent pas.
Quarante ans après leur séparation, Toussaint et Thérèse vont se retrouver par hasard. Mais que reste-t-il de cet amour authentique, limpide et éphémère de jeunesse ?
Je m’aperçois soudain que je viens de raconter peut-être plus que nécessaire. C’est que je suis encore sous le coup de l’émotion. Cette histoire est si vraie, si poignante. Elle me parle tellement, à titre personnel en regard de la période concernée qui est celle que j’ai vécue. J’ai été, l’espace de deux jours, transporté par les faits historiques et les émotions qui sont miens aussi. Je me suis un peu identifié à ce Toussaint parfois cynique mais tellement touchant et prévenant avec les siens même s’il paraît parfois bourru. On ne devrait pas se laisser aller à ce point quand on veut rester objectif, mais cette rencontre avec cet éternel chercheur de perfection qui lutte contre son addiction à la cigarette et contre son désespoir me ressemble tant !
Vous l’aurez compris, ce roman est pour moi comme une révélation, un partage émotionnel sans pareil. L’auteur a su mettre les mots qu’il fallait, bâtir une intrigue forte en mêlant la force du temps et le pouvoir de ces souvenirs amoureux oubliés. Son Toussaint traverse la vie à la manière de l’étranger de Camus. Balloté par les évènements il aura toujours du mal à prendre son destin en main. Thérèse a une vie moins facile mais ne s’avoue jamais vaincue. C’est l’antithèse de Toussaint. C’est aussi cette rencontre renouvelée et les évènements qui se précipitent qui donneront du corps à ce roman.
S’il faut trouver un petit reproche à cette œuvre, elle se trouve du côté de l’écriture. L’auteur soigne son vocabulaire, parfois à l’excès. Il fabrique des phrases parfois tellement alambiquées qu’il faut les relire deux fois pour en saisir le sens intime. Malgré tout, émergent ici ou là une merveilleuse poésie et un sens de l’émotion qui ravissent le lecteur. La fin est tellement bouleversante et elle sonne tellement juste que je n’ai pas résisté aux larmes qui m’ont envahi.
Je remercie Babelio et les éditions HC (et tout particulièrement la personne qui m’a souhaité une bonne lecture sur une carte de visite de l’éditeur si impersonnelle et dont je ne connaitrai jamais le nom) sans lesquels je serais peut-être passé à côté de ce formidable petit roman.

Michelangelo 2017-02-03

Lien : http://jaimelireetecrire.ove..
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