Hex

Attirée par la couverture de ce roman ainsi que par l'avis dithyrambique de Stephen King, j'étais très impatiente de découvrir cette histoire horrifique où le fantôme d'une sorcière terrorise les habitants d'une petite ville…. Dit comme cela on pourrait ne pas y croire car le sujet en lui-même n'est pas bien original, mais voilà ce sujet est traité de façon intéressante et intelligente. Ce livre a eu raison de mes préjugés cartésiens et m'a procuré un très bon moment de lecture.

Imaginez une charmante petite ville située sur les bords de l'Hudson, à quelques encablures de New York. Charmante, vraiment ? Black Spring est hantée par le fantôme de Katherine van Wyler, une sorcière dont les yeux et la bouche sont cousus, qui rôde dans les rues de la ville et impose sa présence aux habitants, entrant chez eux comme bon lui semble. Au fil des ans, sa présence est devenue familière, certains la surnomment d'ailleurs « Mamie » mais personne n'oserait la défier, n'y la révéler au reste du monde au risque de voir la ville disparaitre. Personne sauf une bande d'adolescents qui s'amusent à la filmer jusqu'au jour où la situation dérape…

La tension monte progressivement : tout commence assez lentement, le temps pour l'auteur d'instiguer soigneusement le climat délétère qui règne sur cette petite ville confinée depuis des siècles. Dès qu'ils s'en éloignent trop longuement, les habitants sont pris d'un mal-être insupportable doublé d'une profonde angoisse pouvant les pousser à commettre l'irréparable: quiconque né en ce lieu est condamné à y rester jusqu'à la mort, quiconque y vient n'en repart jamais… Une communauté régie par le Décret d'Exception, inculqué dès le plus jeune âge à tous les habitants, pour les obliger à respecter la sorcière. Celle-ci est observée continuellement par les caméras de l'HEX, une association qui a pour mission de la surveiller et surtout de la dissimuler au reste du monde. Cela vous donne un aperçu de l'ambiance qui règne sur cette charmante petite ville… Mais lorsque des gamins faisant fi de l'autorité et des règles imposées, s'en prennent à la sorcière, les évènements gagnent en intensité: Katherine van Wyler, aveugle et condamnée à se taire depuis des siècles n'a de cesse de vouloir se venger. Si certains passages procurent une bonne dose de frissons sympathiques et que le final glaçant est bien à la hauteur de cet ambitieux roman, sa profondeur réside dans la description des relations entre les membres d'une communauté soumise à la peur.

En lisant les remerciements de l'auteur, on apprend que la version originale de ce roman situait l'intrigue dans un petit village néerlandais, et que suite à une proposition de son éditeur pour une publication à l'étranger, T. Olde Heuvelt a eu l'opportunité de réécrire le livre en déplaçant son intrigue aux Etats-Unis et en modifiant le final. Oh! Mais pourquoi ? Une version de l'intrigue située aux Pays-Bas ne pouvait apporter qu'un plus à cette histoire intrigante.

Ce roman ravira les amateurs de lectures fantastiques et les adeptes de grands maitres dont T. Olde Heuvelt est le digne héritier : Stephen King, Graham Masterton, Clive Barker, Dean Koontz …


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J'avoue avoir été intriguée par cette histoire, sachant que Stephen King avait apprécié, ça n'a fait qu'amplifier mon envie de le lire. Mais ce fut une énorme déception.

Au départ, il y a eu du bon, notamment lorsqu'on nous met dans le bain avec les premières apparitions de Katherine qui m'ont fait froid dans le dos. J'ai également trouvé intéressant le fait que l'auteur montre les différentes réactions des habitants face à ce phénomène surnaturel. Seulement, à part ces points-là, je n'ai malheureusement que des points négatifs à relever.

Tout d'abord le côté léger de certains dialogues et passages, cassait clairement le rythme. Rythme qui par ailleurs pose question, durant plus de la moitié du livre, c'est lent et au moment où il reste une cinquantaine de pages, le rythme devient effréné à tel point qu'on ne comprend plus ce qui se passe, ni l'intérêt de ces successions d'événements. Ça manquait de dosage, rendant la lecture désagréable, pour ma part en tout cas. Concernant les personnages je n'ai eu ni attache ni sympathie à leurs égards, je les trouvais tous stéréotypés à souhait. Certains manquaient tellement de profondeur qu'on pouvait se demander la raison de leur présence dans le récit. En définitive, peu importe les malheurs qu'il pouvait leur arriver, ça ne me faisait ni chaud ni froid. C'est dommage puisqu'il est important de s'attacher à eux afin que les intrigues aient un minimum d'impact sur nous.

Je ne souhaite spoiler personne donc je serai vague, mais certains événements restent non-élucidé, on suppose que tel personnage a porté atteinte à un autre mais on ne saura jamais avec certitude de qui il s'agit, ni comment ça s'est produit. le lecteur est censé le deviner. Je pensais également qu'on en saurait davantage sur Katherine mais son histoire est restée très succincte, ce qui m'a là aussi, plutôt déçue.
Le traitement réservé à la sorcière m'a profondément agacée, on a de longues descriptions sur le fait qu'on lui touche ses seins, qu'on la mutile, c'est très répétitif dans le récit. Je n'ai vu aucun intérêt à malmener Katherine en portant atteinte à son corps. Ces humiliations permanentes n'ont su que me mettre mal à l'aise. de toute manière, on pourrait se poser la question sur le rôle des femmes dans ce livre, souvent médiocre et bafoué, en prime d'être un condensé de cliché. Il n'y a qu'à voir le portrait de Griselda ou de la femme de Steve Mathers… je n'aborderai pas davantage ce sujet, le but n'est pas de faire de polémique, libre à vous de vous faire votre propre opinion.

Pour finir, j'aimerai comprendre comment est-il possible d'écrire une fin aussi sordide ? Je n'ai pas saisi ce qu'a voulu faire l'auteur, peut-être des métaphores ? Je n'en sais rien, pour être honnête, je n'ai compris qu'à moitié le dénouement, tout sens logique a disparu. D'ailleurs, on reste sans réponse quant à l'avenir de Black Spring, là encore c'est apparemment au lecteur de deviner.
Pour couronner le tout, on sort de tout cela avec une espèce de morale ? Dans ce cas, on ne peut pas qualifier ce roman d'horreur, car pour le coup, il n'y a rien d'horrifique quand les événements prennent une telle tournure, il s'agissait plutôt d'une critique de la société. Cette fin me laisse un goût amer et plein d'interrogations, que l'auteur se réjouit presque de nous laisser. Apparemment, une seconde version a été écrite en néerlandais, ça serait à nous de trouver un bon traducteur pour avoir les mérites de connaître une version éventuellement plus claire… attitude peut-être amusante pour certains, mais trop peu pour moi.

Je vais m'arrêter là, je conclurai en disant que c'est vraiment dommage d'avoir exploité le récit de cette manière, cette histoire avait un énorme potentiel. En tout cas, les choses sont comme elles sont et ce roman n'est vraisemblablement pas fait pour moi.

J'ai débuté ma lecture très enthousiaste.
J'étais prête à me faire peur grâce à ce résumé très alléchant...

Et en fait ce fut une jolie déception.
La fameuse sorcière est passive, plutôt victime des habitants pendant la majorité du livre...
Ceux qui font peur sont surtout les humains, toute la société, dans ce roman.
On finit le roman du côté de la sorcière...

Critique de la société, oui. Roman horrifique, non.

Moi qui suis pétocharde, la seule chose qui me fait peur à cause de ce livre c'est de voir la sorcière apparaître chez moi quand j'éteins les lumières le soir...rien à voir avec l'intrigue du roman ou ses détails...juste ma peur du noir habituelle ;-)

En prenant en compte les quelques points négatifs que j'ai développés dans ma chronique blog, j'ai tout de même bien apprécié cette lecture ! Je l'ai trouvée originale car elle met en scène une sorcière différente de ce que l'on peut voir ailleurs.

Ce récit soulève une foule de questions, et il nous invite à réfléchir sur nous-mêmes et sur notre spiritualité. L'homme se croit évolué, il se croit civilisé, mais l'est-il vraiment ?

C'est une histoire terrifiante et fascinante à la fois, je vous la conseille !

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Découvert pendant la période d'Halloween, Hex faisait partie des lectures de saison dont la quatrième de couverture m'a tout de suite attirée. Une petite ville est sous l'emprise d'une sorcière depuis plus de 300 ans. La population, ne pouvant quitter la charmante bourgade sous peine de pulsions suicidaires incontrôlables, s'est acclimatée à sa présence en mettent en place force de méthodes de traque modernes. Il existe une application qui géolocalise Katherine et tout moyen est bon pour la cacher aux yeux des quelques visiteurs de Black Spring. du moins jusqu'à ce qu'une bande d'adolescents se lancent dans une farce avec pour victime la sorcière.

J'ai beaucoup aimé l'originalité du contexte qui mélange habilement modernité et peurs ancestrales, superstition et technologies. L'auteur démontre que même si nous avons l'impression d'évoluer depuis le XVIe siècle, ce n'est qu'une illusion et nous restons les créatures craintives capables du pire quand nous nous sentons acculés. L'auteur parvient à créer une histoire unique et originale. L'idée de la sorcière qui apparaît au hasard jusque dans la chambre à coucher des habitants est excellente et je me suis surprise à vérifier que Katherine ne traînait pas à mon chevet (ma chambre étant mon fief personnel et le lieu final de mon existence). L'ambiance est donc le gros point fort du livre, soutenue par l'aspect tragique et irrémédiable des événements.

Thomas Olde Heuvelt maîtrise parfaitement une histoire qui va crescendo dans l'horrifique. Si certaines scènes sont un peu gore et difficilement soutenables, il parvient surtout à installer une ambiance de paranoïa tandis que la santé mentale des protagonistes se délite au fil des pages. Car j'ai trouvé qu'il y avait une paternité lointaine mais perceptible avec H.P. Lovecraft, notamment car l'horreur la plus marquante est psychologique et qu'on en vient à craindre plus pour leur esprit que pour leur intégrité physique.

J'ai trouvé la fin un peu précipitée et qui manquait un peu de naturel, d'explications, même si j'admets que le rationnel n'a pas vraiment sa place dans le déchaînement final de folie furieuse. Il y a aussi quelques longueurs au début mais rien de trop plombant.


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J'avais acheté ce roman l'année dernière, ayant prévu de le lire à la période d'Halloween. N'ayant pas pris le temps de le découvrir, je l'avais remis à cette année, fermement décidée à l'ouvrir cette fois-ci. Et j'ai tenu parole.

Black Spring est une de ces petites bourgades américaines, proche de grandes métropoles, où tous les habitants se connaissent. Vous savez, le genre d'endroit que l'on voit dans les comédies de Noël. Sauf qu'ici, point, ou presque, de bons sentiments puisqu'une malédiction pèse sur la ville. En effet, une sorcière, dont on a cousu les yeux et la bouche, se balade librement, pouvant décider à tout moment de s'installer chez vous, pour quelques heures ou pour quelques jours. Tout le monde s'en est accoutumé puisqu'elle est présente depuis plus de 300 ans. Sauf qu'il faut faire attention qu'elle ne vous touche pas ou ne vous murmure pas quelque chose à l'oreille, au risque de devenir fou et d'avoir subitement des pulsions suicidaires. D'ailleurs, il est également impossible aux habitants de Black Spring de s'éloigner trop longtemps de la ville, ou de déménager, au risque de devenir cinglés. Mais, vous vous doutez bien que le roman ne se contentera pas de raconter la petite vie tranquille des habitants de la ville. Non, quelques adolescents vont vouloir se rebeller et va savoir ce qu'il adviendra.

J'ai voulu lire ce roman à cette période car je trouvais qu'il s'y prêtait bien. Et, dans l'ensemble, il a fait le job. Si j'ai mis quand même une centaine de pages à réellement entrer dans l'histoire, une fois que j'y étais installée pour de bon, j'y suis restée avec plaisir. C'est, selon moi, un roman qui s'apprécie dans la durée et pas quelques pages par-ci, quelques pages par-là.
J'ai trouvé que le tout était très télévisuel, je verrais bien une adaptation en série. Pour ceux qui craindraient le côté horrifique du roman, j'indique, pour ma part, qu'il ne m'a pas fait peur ni sursauter. Après, c'est selon la sensibilité de chacun.
Et ce que j'ai apprécié, aussi, est le second degré de lecture, le message qu'a peut-être voulu faire passer l'auteur, et qui, en ce moment-même, reste terriblement d'actualité.

Donc, même si l'histoire est divertissante, c'est surtout ce que j'attendais de cette lecture, je mets quand même quelques bémols.
Déjà, les personnages auxquels je n'ai pas réussi à m'attacher. Je pense que l'auteur aurait pu resserrer davantage son intrigue et se focaliser sur quelques personnages en particulier.
Ensuite, la fin qui m'a paru tirer en longueur et qui, pour moi, n'est pas aboutie.
Quant à l'écriture, ma foi, je n'ai rien de particulier à en dire, elle est suffisamment rythmée, et adaptée, pour ce genre de roman.

En bref, il est noté sur la couverture du roman, par Stephen King apparemment, "Brillant et totalement original". Pour le côté "brillant", je vous laisse juger; pour le côté "original", je ne suis pas d'accord, Stephen King lui-même ayant déjà pu écrire des histoires s'en rapprochant beaucoup. Ce roman reste cependant un très bon divertissement.

Je tombe sur ce livre à Bucabook, mon premier auteur néerlandais.
115 pages et rien ne se passe, je suis déçue et sur le point de lâcher. le spectre demeure immuable, aucune action et moi qui m'attendais à des manifestations surnaturelles, je suis une fan de Charmed.
Enfin, au chapitre 14 (p239) la sorcière bouge : le rythme de l'histoire s'accélère et les événements se succèdent jusqu'au point de rupture.
La sorcière chuchote et des vies s'envolent en éclats.
La sorcière se venge et le cauchemar commence .
Katherine hantera longtemps mes nuits.
Pour lire ce roman, il faut laisser libre court à son imagination.

Je dois faire appel à ma grand culture télévisuelle et cinématographique pour critiquer ce roman : tout semble commencer dans un univers qui rappelle singulièrement les Simpson, avec des familles américaines modèles, 2 enfants sympathiques qui dialoguent facilement avec leurs parents, des citoyens impliqués dans la petite ville où ils habitent. Tout est, en apparence un peu pop, propret. Rien ne bouge malgré la sorcière, qui a juste l'air d'un mannequin qui apparaît un peu où bon lui semble, sans être vraiment méchante.
Et puis vers la fin, ça se complique. Sans rien dévoiler du scénario, je dirais que l'on se retrouve dans le Projet Blair Witch, mais la version non censurée. Accrochez-vous aux pages, ça déménage. Non, il ne va pas aller si loin ? S'interroge-t-on à propos de l'auteur. Et si ! Il a osé et quand on croit que ça va enfin s'apaiser un peu : "vous reprendrez-bien une petite dose d'horreur pour la route ?"

Le postulat de départ est original, c'est plutôt bien écrit et la psychologie des personnages est assez fine. Mais la bascule entre les 2 univers est un peu brutale, car la première (grosse) moitié du roman est franchement planplan, voire ennuyeuse. A avoir envie de secouer la sorcière pour qu'elle se réveille et qu'il se passe enfin quelque chose. On est là pour se faire peur zut de zut, alors donnez-nous un peu de frissons que diable !
Et puis quand ça commence, là on se dit que quand même, l'auteur en fait des caisses. Un peu trop à mon sens. Je suis plus sensible à l'horreur suggérée, comme dans Bird Box de Josh Malerman, ou le Projet Blair Witch, que celle étalée et détaillée comme dans les films d'horreur de type Freddy ou massacre à la tronçonneuse.

Alors, faut-il le lire ? Euh, je suis convaincue qu'il y a mieux si l'on veut se faire peur avec des histoires de sorcières et de malédiction. Cela-dit, je serais curieuse de regarder l'adaptation de ce roman en série ou film.
Et preneuse de vos recommandations pour des lectures qui font peur !

En bref, un roman d'épouvante qui cache bien son jeu dans les premières pages : le ton léger laisse place insidieusement à une atmosphère lourde de mystères et secrets ancestraux. Une lecture parfaite pour les amateurs de frissons.

Les premiers chapitres, et particulièrement les premières pages, peuvent décontenancer : les scènes semblent assez loufoques, le ton très léger face à une situation hors du commun (une sorcière qui campe dans votre salon, ce n'est a priori pas banal...). L'auteur plante seulement le décor de Black Spring, cette petite communauté coupée du monde à cause d'une malédiction qui pèse sur elle depuis des siècles et qui, finalement, est devenue un détail de la vie quotidienne.

Thomas Olde Veuhelt arrive parfaitement à décrire l'Humain dans ce qu'il a de plus mauvais en lui : la colère, la frustration, l'esprit de vengeance... Toute cette cruauté et cette violence qu'on garde cachées en nous et qui peuvent exploser dès la première situation qui dépasse nos limites.
Ainsi, l'ambiance assez bon enfant au départ va s'alourdir, les enjeux se modifier et la menace s'identifier clairement.

Faisant référence à Simetierre de Stephen King sur certains aspects, l'intrigue est vraiment bien menée. L'escalade de l'horreur est savamment mesurée pour que le lecteur s'immerge complètement dans l'atmosphère de Black Spring.
Le dénouement est peut-être un peu rapide, un peu précipité tandis que le reste de l'intrigue jouait plus sur la langueur de ce village et de ses habitants. Cependant, l'auteur joue sa carte de la malédiction jusqu'au final et nous laisse une sensation de continuité intéressante.
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J'ai eu un plaisir infini à lire HEX de Thomas Olde Heuvelt
J'aime les histoires de sorcières et ce n'est pas tous les jours que l'on trouve un récit sur le sujet d'aussi bonne qualité ; jusqu'ici le seul à avoir proposé quelque chose d'original sur le sujet c'est Graham Masterton. Maintenant ma curiosité est titillée par l'existence de la version alternative néerlandaise avec son cadre hollandais et sa fin différente mais celle que l'on trouve dans ce livre est tout à fait jouissive. J'ai tellement aimé ce roman que j'ai hâte de lire la prochaine oeuvre de cet auteur. Si vous êtes à la recherche d'un récit horrifique brillamment écrit, original et passionnant, sans devoir passer systématiquement par la case Stephen King et bien sachez qu'il y d'autres auteurs qui méritent votre attention.