La mort, comme prétexte à célébrer la vie, a toujours été présente dans l'oeuvre de Xavier Oreille. Si dans Le Marchand de larmes, le narrateur était un mort qui quittait le cimetière pour aller voir ce qui se passait chez les vivants, dans Le Corps absent de Prosper Ventura, le héros est un pianiste cubain au grand cur, compagnon de route de la dive bouteille de rhum, exilé en Martinique, dont ...
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