J'ai adoré
Samarcande (
Amin Maalouf) et je pensais retrouver ici l'atmosphère orientale que j'avais tant aimée. Cependant les premiers chapitres sont plats, je n'ai voyagé ni dans l'espace ni dans le temps, mais j'ai tout de même continué ma lecture. C'est alors que le roman prend la forme d'une réflexion philosophique qui m'a perdue pour de bon. Je n'ai rien contre la philosophie, bien au contraire, mais dans le cas présent je n'ai pas compris le message que veut véhiculer l'auteur. La relation tourmentée entre le narrateur (dont je n'ai pas réussi à cerner les traits de caractère) et le Maître antipathique n'a pas réussi à m'accrocher plus longtemps, après une centaine de pages de lecture, j'ai préféré m'arrêter là.