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Un roman très érudit du point de vue lexical et historique mais l'histoire et l'enquête en elles-mêmes sont décevantes. On y trouve beaucoup de longueurs, des répétitions, quelques coquilles. L'enquêteur, Nicolas le Floch, fait un peu penser à Sherlock Holmes dans ses procédés de déductions et attitudes. Difficile d'aller au bout.
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deuxième aventures de Nicolas le floc
qui est maintenant promus commissaire de police au châtelet.
jean François parot nous raconte les intrigues de cours sous Louis xv , passionnant et instructif.
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Avec cette deuxième enquête de Nicolas le Floch, je commence à me faire au style de l'auteur, assez différent de ce que je lis habituellement, mais pas dénué d'intérêt. L'enquête en elle même n'a rien d'extraordinaire. Dans le Paris du XVIIIème siècle, il n'y a pas de relevé d'empreintes, pas de recherche d'ADN, et pourtant, les enquêteurs analysent les situations de manière scientifique, dans la mesures des connaissances de l'époque. J'ai trouvé la résolution un peu tirée par les cheveux, surtout la scène avec le "Tada !" qui m'a bien fait rire, mais ça reste agréable à suivre.
Cette enquête nous mène à la Cours de Versailles. On y croise Louis XV et Madame de Pompadour. J'aurais bien aimé y voir un peu plus Sanson, que l'on rencontre dès la première enquête. J'aime ce personnage et sont point de vue médical. Et comme dans L'énigme des Blancs-Manteaux, j'ai apprécié le retrouver plongée dans L Histoire et le quotidien du XVIIIème siècle. Au prochain tome, j'arriverais peut-être à saisir plus de subtilités historiques.
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Une plongée en plein XVIIIème siècle sous le règne de Louis XV et une belle visite de Paris. J'ai largement préféré la première partie du récit, les descriptions de la ville, des logis, de la cuisine et bien sur les premières constations sur cette mort mystérieuse. J'y ai appris les conséquences des suicides, sujet rarement abordé dans les livres traitant de cette époque. le vocabulaire riche, la narration et les dialogues facilitent le transport de notre imagination. Toutefois, l'auteur exagère un peu sur le coté romanesque, l'ascension un peu trop rapide du personnage et les hasards facilitateurs.
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Deuxième opus des enquêtes de Nicolas le Floch, commissaire au Châtelet et homme lige dans le dispositif secret tissé par le lieutenant général Sartine, est particulièrement intéressant compte tenu du procédé du crime perpétré.
On retrouve également les qualités du premier tome : des personnages pittoresques, un passé et des mystères intimes qui se dévoilent. Une intrigue bien construite, des personnages toujours parfaitement incarnés. Un excellent moment de lecture passé grâce à la plume élégante du regretté Jean-François Parot.
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Deuxième enquête de Nicolas le Floch et plaisir renouvelé !
Notre jeune commissaire a bien mûri en un an et a pris une belle envergure, on retrouve également les amis et relations qu'il s'est faits dans le premier tome.
Je continue a bien aimer toutes ces expressions d'un autre âge, elles sont délicieusement surannées :)
Ce que j'aime particulièrement dans les romans historiques c'est cette opportunité de s'instruire tout en s'affranchissant de la prose de l'historien (pas toujours très stylée...).
Et du coup je continue à découvrir une époque et un contexte que je connais peu, l'étiquette (le souper du roi entre autres choses), les rapports de classe et le pouvoir des relations (untel appartient à untel...), c'est nouveau pour moi et pourtant intemporel si l'on veut bien y réfléchir...
Pour évoquer l'enquête (car oui c'est aussi un roman policier), je l'ai trouvée de facture plutôt classique et tombant un peu dans la facilité parfois, mais pour toutes les raisons citées plus haut j'ai globalement apprécié l'ensemble.
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Après avoir brillamment résolu l'enquête des «Blancs-Manteaux», Nicolas le Floch est nommé Commissaire de Police au Châtelet. Un soir, alors qu'il est chargé de protéger Madame Adélaïde à l'Opéra, un drame se joue : un valet prévient le Comte de Ruissec que son fils s'est probablement homicidé (suicidé en langage moderne). Branle-bas de combat : Nicolas et M. de Sartine se rendent immédiatement chez le Comte car, à l'époque, le suicide était considéré comme un crime. le suicidé était promené dans les rues et le déshonneur tombait sur la famille !
Mais très vite Nicolas comprend qu'il ne s'agit pas d'un suicide mais d'un homicide : on a fait avaler du plomb fondu à la victime.

Une fois encore, Nicolas devra faire preuve de discrétion car une certaine Madame de Pompadour se trouve mêlée à l'affaire. Il devra aussi déjouer des complots envers sa personne, se méfier des faux-semblants, faire preuve de ruse et ne pas se laisser aller aux jeux galants !

L'histoire est riche de détails aussi bien sur les us et coutumes de l'époque que sur les grands faits historiques. L'enquête se suit avec un réel plaisir car elle démarre tout de suite et prend des chemins alambiqués.
Les personnages sont tous bien écrits et la plupart sont très attachants : j'ai un gros faible pour Nicolas mais aussi pour Bourdeau, Sartine et M. de Noblecourt.

Jean-François Parot ne change pas de style et c'est tant mieux parce qu'il est excellent. J'ai pris énormément de plaisir à lire L'HOMME AU VENTRE DE PLOMB et je ne pense pas en rester là avec Monsieur le Commissaire !
Lien : http://le-bric-a-brac-de-pot..
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Encore un bon moment de lecture avec ce deuxième tome des enquêtes du commissaire Nicolas le Floch
L'écriture nous emmène facilement nous promener et enquêter dans le Paris de l'époque car des descriptions historiques recherchées sont présentes et les conversations des personnages sont très
abouties
Un commissaire à découvrir


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Ce deuxième volet des aventures de Nicholas nous projète en avant, dès les premières pages : nous avons quitté un Nicolas fraichement nommé dans la police du roi et découvrant Paris ; nous retrouvons un commissaire, fils de noble reconnu et invité à la cour , cela est un peu précipité à mon gout.
L'intrigue policière n'est pas simple, j'ai bien du mal, même une fois finie à m'y retrouver, je ne suis pas sûr d'avoir tout compris tellement c'est complexe ; il y a en effet plusisuers complots, si j'ai compris le sens de certains, d'autres me parraissent encore comme un mystère non élucidé, mais avec les gens de la noblesse, on est toujours peu informé, afin c'est comme cela que j'interprète mon embarras.
Le premier meurtre est très bien mené, et le début du livre est passionnant, la suite se complique mais reste agréable à lire, ce n'est que dans les dernières pages, où tout est révélé, que je m'y suis perdue.
Mis à part cette conclusion embrouillée, j'ai bien aimé cette lecture et je continuerais les aventures de Nicholas, en espèrant que les prochaines affaires soient moins alambiquées.
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Nicolas le Floch, toujours aux ordres de Mr de Sartine, est chargé des affaires spéciales de la  police de la Cour. Assurant la protection d'une des filles du roi lors d'une soirée à l'opéra, ses chaperons, les Ruissec, apprennent le décès du vicomte, leur fils. Arrivé sur les lieux, les apparences font penser à un suicide, mais le flair et le sens de l'observation du limier vont bien sûr l'emmener vers une autre direction.
Des salles de jeux clandestines à la cour de Versailles, côtoyant lors de son enquête des comédiens, joueurs, et même la favorite du Roi, la Pompadour, dans un contexte politique et religieux difficile, entre guerre des sept ans et conflits avec les Jésuites, le Floch se retrouve face à des intrigues multiples, faisant peser des menaces sur la cour.
Cela donne un roman parfois un peu complexe à suivre, je l'ai moins apprécié que le précédent,  mais on retrouve toutefois la plume érudite, au vocabulaire soigné et tournures de phrases d'époque, les descriptions très vivantes de cette cour de Louis XV avec ses luttes intestines et ses coutumes.
Lien : https://instagram.com/danygi..
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