AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,11

sur 4905 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Désenchantement. le premier opus m'avais fait passé un agréable moment mais avec cette suite je me suis ennuyé assez rapidement et cet ennui s'est prolongé tout au long du récit.
Pourtant le début reprend le ton d'Au bonheur des ogres avec un flic tué par une vieille, inversant le rapport de force classique. Mais cette histoire va vite uniquement se concentrer sur l'aspect policier, je trouve l'atmosphère bien plus lourde que pour le premier volet de cette saga, le vocabulaire est moins fulgurant, tout est plus sombre, j'ai pas retrouvé la folle légèreté, le rythme est plus lent.
Quelques passages retrouvent cet humour noir génial d'Au bonheur des ogres comme lorsque Malaussène se plaint de ne pas avoir de conviction même si elle doit être horrible, la plus belle phrase étant "écrire l'histoire c'est foutre la pagaille dans la géographie !". J'aurais aimé plus de ce type de petite phrase tellement savoureuse.
Le personnage de Pastor, inspecteur, prend de l'étoffe et devient intéressant quand il flingue un collègue, rebondissement inattendu avouons le. Mais paradoxalement cet événement nourrit le regret de ne pas avoir davantage développé cet étrange énergumène.

Malgré tout, je lirai le troisième tome de cette saga mais pas tout de suite !
Commenter  J’apprécie          160
Sentiment mitigé.
C'est du Pennac, donc c'est une écriture imagée, inventive, festive, cocasse. Bref, il y a un sacré quelque chose, on n'est pas dans le roman de gare.
L'histoire est emberlificotée, donc inventive aussi, mais... est-elle vraiment intéressante ? N'est ce pas un peu trop de la grosse ficelle ? Et puis, il faut s'accrocher pour ne pas confondre certains personnages.
Ecrit après La conjuration des imbéciles, j'ose y trouver une parenté, ce qui me semble un compliment.
Commenter  J’apprécie          143
En toute franchise, je dirai que chez l'amateur d'Au Bonheur des Ogres que je suis, ce livre a déçu. En effet, cet ouvrage a une intrigue emmêlée. Il y a beaucoup de maladresses narratives, bref, l'intrigue est mal ficelée ; où celle d'Au Bonheur des Ogres était exceptionnellement bien ficelée, celle-ci est maladroite et moyennement réussie. Reste quelque morceaux qui prodigue un certain plaisir...
Commenter  J’apprécie          70
"La fée Carabine" est un roman écrit en 1987 par Daniel Pennac racontant l'histoire de plusieurs meurtres dont celui de Vanini (un agent de police très efficace) on suit cette enquête, liée a une autre sur de vieilles dames assasinées et un trafic de drogue

Toutes ces histoires sont plus ou moins liées aux Malausène; une famille accueillant de multiples personnes agées , semblant très aimables et honnêtes ... mais qui sont ils vraiment?

Personellement, j'ai trouvé ce livre un petit peu "long au demarage" , mais le recit et les mots sont si bien tournés qu'ils m'ont tenu en haleine durant toute la lecture !

La fin est surprenante et pleine derevelations innatendues , c'est un livre captivant que je ne saurais trop vous conseiller !!!

Emilien_Lerouxdu31
Commenter  J’apprécie          61
Je ne sais pas pour quelle raison, malgré tout le bien qu'on dit de cette sage des Malaussène et de cet auteur, je suis incapable d'en apprécier la qualité. C'est pourtant une histoire humoristique, celle de Benjamin Malaussène qui est un bouc émissaire professionnel qui se fait bombarder d'insultes dès qu'un incident se produit. Il élève seul ses 5 frères et soeurs et il accueille de surcroît tous les vieux drogués de Belleville dont il fait des grands-pères d'adoption. Bien qu'homme de coeur généreux, sensible et responsable, Malaussène, sera injustement accusé de tous les crimes. C'est là que le genre policier du roman entre en scène. C'est absurde, c'est complètement déjanté et pour amateurs du genre.
Commenter  J’apprécie          50
C'est mon premier roman de Daniel Pennac, et j'ai beau réfléchir, je ne sais absolument pas quoi en penser, et critiquer ne va pas être chose aisée.
J'adore le côté original de l'écriture, les personnages très stéréotypés et loufoques qui apparaissent dans ce roman, ce qui, bien évidemment, apporte beaucoup d'humour dans cette enquête policière menée tambour battant par un tout jeune flic, Pastor, dans le monde non moins délirant de Benjamin Malaussène.
Par contre, s'il y a énormément de passages ou je prends beaucoup de plaisir à la lecture, il y en a d'autres, interminables, ou je suis obligé de m'y reprendre à plusieurs fois pour savoir ou l'auteur veut en venir.
En conclusion, je ne peux pas dire que j'ai détesté, mais je suis loin d'avoir adoré, d'où ce sentiment très mitigé, à l'opposé de la très grande majorité des critiques positives postées sur ce site.
Commenter  J’apprécie          40
Madame, vous me décevez tellement... (Dédicace à ma prof)
Je n'ai pas apprécié ce livre du tout et ai eu un réel mal à le finir (mais j'en étais obligé, mon cours de français ne me laissant pas le choix). J'ai trouvé le style d'écriture lourd, le fait qu'il y ait trop de personnages m'a troublé et le manque de descriptions physiques m'empêchait d'imaginer les scènes. de plus, dans un policier, nous sommes censé pouvoir deviner le coupable grâce à différents indices. Or, ici, rien ne nous permet de savoir qui est l'auteur des meurtres (corrigez moi si je me trompes) et, en plus du fait que je n'aime pas ce genre (tout à fait subjectif), ça m'a réellement manqué.
Un livre que je ne recommande pas particulièrement mais qui peut être appréciable si l'on aime le Pennac.
Commenter  J’apprécie          31
Au risque de passer pour un ronchon quand je vois les critiques dithyrambiques de Babelio, La fée carabine est un roman policier. Ce n'est pas du tout mon genre de lecture et ce livre le confirme. Lorsque j'avais 12/ 13 ans j'ai lu une soixantaine de San Antonio qui me faisaient à l'époque bien rire. C'était il y a 50 ans j'ai dû depuis perdre le sens de l'humour. Pourtant Daniel Pennac m'a fait penser à Frédéric Dard, qui lui avait du talent (ou « peut-être du talent « les souvenirs sont parfois trompeur) le livre n'étant pas épais, je suis quand même allé jusqu'au bout, espérant un sursaut. Hélas pas de surprise.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (16285) Voir plus




{* *}