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Citations sur Le cas Malaussène, tome 1 : Ils m'ont menti (100)

- C'est pas ce que je veux dire mais c'est jamais qu'une gonzesse, merde. Qu'est-ce qu'elle y connaît ?
- Margaret Thatcher aussi c'était une gonzesse. Demande aux Argentins ce qu'elle y connaissait.
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Toute leur enfance, Louna, Clara, Thérèse, Jérémy et Le Petit on eu droit à leur histoire. Mais l'arrivée de la fournée suivante (Verdun, C'est Un Ange, Monsieur Malaussene et Maracuja) ma langue magique s'est mise à vaciller. Les générations sont à l'homme vieillissant ce que les vagues sont aux falaises : usantes. (Page 104)
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Jadis, pour les vacances on fourguait les enfants à leur grand-mère, à une colo ou, s'ils n'avaient pas assez bossé, on les jetait dans le cul- de- basse- fosse d'une boîte à bac. Depuis une quinzaine d'années c'est le caritatif qui se charge des grandes vacances? L'ONG de service.
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Et moi ? Est-ce que je n'attendais pas ma ration de malaussènerie comme tout le monde ?
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-Et comment elle t'a fait ça ?
- Les deux pieds dans la gueule, expliqua Manon. Deux fois en trois secondes.
- Karaté, conclut Titus. Nidan geri, si je me souviens bien. Niron geri, peut-être. Une caresse du genre.
- Ses godasses, c'est des fers à repasser ?
- Gnluibedraizarazeazetvigledegiene.
- D'accord, tu lui peteras sa race à cette fille de chienne.
Manin haussa les sourcils :
- Putain, vous apprenez vite, capitaine!
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l'immensité convient à l'enfance que l'éternité habite encore.
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Ce qui est passé nous manque et ce qui dure nous lasse, voilà l'homme.
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Je suis très embêtée, Malaussène, me dit la reine Zabo à mon arrivée au Talion. Coriolan s'est mis en tête de venger Petit Louis. Il fume comme un taureau. Si vous pouviez l'empêcher de massacrer sa tribu, ça m'arrangerait.

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Jadis on bossait sous l'ombre d'un aigle, se dit Joseph Silistri, aujourd'hui on évite les chiures d'un pigeon.
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Passer des vacances à plus de mille mètres d'altitude et à quatre-vingts kilomètres de toute ville c'est alimenter le songe, ouvrir la porte aux contes, parler avec le vent, écouter la nuit, prendre langue avec les bêtes, nommer les nuages, les étoiles, les fleurs, les herbes, les insectes et les arbres.C'est donner de l'ennui à sa raison d'être et de durer.
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