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Une très belle découverte que ce roman de Pascale Perrier.
Je ne connaissais pas du tout l'histoire des "Stolen générations" du peuple aborigène. Ce récit permet de la découvrir et de s'en émouvoir, car cette histoire terrible doit être connue et rendre justice aux aborigènes dépouillés de leur terre, de leur famille, de leur culture. Que de ravages a provoqué la colonisation et combien ceux-ci sont encore trop méconnus ou sciemment oubliés !
Grâce à Pascale Perrier, j'ai donc découvert un pan de la grande Histoire de l'Australie, je suis même allée faire des recherches sur le sujet pour l'approfondir, comme ils sont bons ces romans qui vont permettent d'aller plus loin que l'intrigue !
Au niveau du roman même, j'ai aimé la plume de l'auteure, vive comme l'état d'esprit des personnages en quête de leurs origines. Elle réussit parfaitement par son écriture, par des phrases courtes, parfois sans verbes, à transcrire les doutes, les remise en questions, les espoirs de ses héros. L'intrigue est bien ficelé, elle nous donne à connaître plein de choses sur la culture aborigène et sur cette tragédie du passé.
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Pascale Perrier est donc une auteur du XXI e siècle qui à écrit une dizaine de livres et en particulier Stolen en 2018 qui a connu un certain succès. L'auteur est une professeur documentaliste.
Stolen est un roman qui est apparu en 2018.
Le titre "Stolen" exprime une période difficile des aborigènes (1869) nommé "stolen generation" en Australie.
Dans ce livre, j'ai particulièrement apprécie le personnage principal, Joshua, qui est très attachant.
Malgré la tristesse qui l'envahit suite aux mensonges de ses parents adoptifs, il décide de partir à la recherche de ces vrais parents et connaitre les circonstances de son abandon.
Il veut également découvrir le mode de vie de ces ancêtres. Il essaye également de comprendre pourquoi il aurait été kidnappé mais a peur de savoir la vérité...
Il se laisse embarquer par son frère aîné et sa soeur dans cette aventure.

C'est un roman poignant basé sur l'histoire des stolen génération que j'ai beaucoup aimé et que je recommande.
A travers ce livre, j'ai appris à mieux connaitre l'histoire des aborigènes et leur intégration en Australie.
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C'est avec beaucoup d'intérêt et d'impatience que j'ai commencé cette lecture. le thème abordé m'interpelle beaucoup, ignorant tout de ces faits terribles qui se sont produits dans le passé en Australie.

Petite explication avant de vous donner mon avis ! 😃

L'expression « Générations volées » (en anglais : Stolen Generations) désigne les enfants d'aborigènes australiens et d'indigènes du détroit de Torrès enlevés de force à leurs parents par le gouvernement australien de 1869 à 1969 environ. Ces enfants étaient le plus souvent des métis de mère aborigène et de père blanc. Ils furent placés dans des orphelinats, des internats, ou bien confiés à des missions chrétiennes ou à des familles d'accueil blanches. Ce sont près de 5 000 enfants qui ont été retirés de leurs familles jugées inaptes, selon les autorités australiennes, à élever leurs enfants.

📖📖📖

Inspiré de faits réels, le lecteur va suivre plusieurs personnages très attachants dans un road-trip émouvant et passionnant.
Joshua, Ruby et William vont partir à la recherche de la vérité sur leur famille.
Pourquoi ont-ils été placés en foyer ou famille d'accueil ?
Ont-ils été arrachés à leurs parents ?
Sont-ils encore vivants ?
Et surtout, font-ils partis des enfants Stolen Generations ?

L'écriture est fluide et simple, avec des chapitres courts donnant un ton rythmé à l'histoire.
Plusieurs voix s'alternent dans ce récit, exprimant ainsi les émotions de chacun, durant leur recherche.
Des sujets forts sont évoqués : le racisme, la pauvreté, le génocide. Ils sont particulièrement bien traités pour un public jeunesse.
C'est avec finesse et d'une manière intelligente que les lecteurs prennent connaissance de ces faits graves.

Un ouvrage touchant sur la filiation et l'importance de la famille et surtout un bel hommage au peuple aborigène.

Petit bémol : Quelques longueurs et un coté trop romanesque selon moi, j'aurai aimé que le sujet soit plus approfondi mais il ne faut pas oublier que les lecteurs ciblés sont jeunes donc, c'est un ouvrage parfaitement adapté pour les adolescents.

Un roman efficace, porteur d'un message poignant sur la tolérance et sur les origines.

Un bon moment de lecture.

Lien : https://leslecturesdeclaudia..
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Avec ce roman c'est un témoignage que l'on va suivre, une dénonciation d'un fait réel abusif au travers d'une quête de deux enfants à la fois si liés et si différents.
Depuis 1770 les Aborigènes d'Australie étaient maltraités par les blancs de leur pays. Les conditions de vie déplorables qu'ils subissaient semblaient autoriser le gouvernement à décréter que leurs enfants seraient mieux adoptés par des familles blanches. En tout près de 5000 enfants ont été retirés à leurs parents pour des raisons bancales et futiles mais toujours au profit de familles blanches.
Ce roman c'est l'histoire de Joshua, enfant métisse et adopté. Joshua qui a vécu dans sa famille sans connaître ses origines, sans y apporter un réel intérêt malgré son métissage. Pas assez blanc pour les blancs, trop blancs pour les autres il a cependant dû affronter des situations assez déstabilisantes. Mais sans commune mesure avec la situation de Ruby.

Ruby, cette soeur qui va atterrir un beau matin en face de lui pour l'emmener dans sa quête de vérité, des origines.

Au milieu d'une culture de tradition, des croyances de l'outback, l'auteure va nous propulser dans un phénomène réel et historique que l'Australie a depuis condamné. Un National Sorry Day a même été décrété en souvenir des enfants volés et des excuses publiques ont été faites.

C'est dans ce contexte que l'auteure nous emmène. Au milieu de ce monde totalement méconnu de l'européenne que je suis j'ai suivi les tribulations, les interrogations et révoltes identitaires de ces ados. de par leur jeunesse d'adoption totalement différente chacun en a retiré un parcours et une histoire profondément ancrés en eux.

Joshua est celui qui a le plus de mal à partir en quête. Alors que pour Ruby c'est viscéral.
En les suivant nous allons découvrir tout un monde mystérieux et méconnu. Depuis, les arts Aborigènes ne nous sont plus inconnus. Ils sont appréciés à leur juste valeur et transmis à nouveau de génération en génération. Là aussi ce roman nous en parle et nous plonge dans leur Histoire.
C'est un récit poignant et parfois un peu abrupt.
Je l'ai apprécié même si je l'avoue je ne me suis pas lancée dedans de gaieté de coeur. Il ne faisait allègrement pas partie de mes choix de prédilection dans cette sélection. Je ne le regrette pas il m'a instruite de choses qui m'ont intéressée. Il m'a dépaysée. Mais il n'a pas conquis mon coeur de lectrice.

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Au début des années 70 en Australie, Joshua, un ado adopté par John et Margaret, est contacté par une « Abo » (aborigène) qui prétend être sa soeur. Ensemble ils parviennent à récupérer des informations sur leurs parents naturels et avec leur frère ils se rendent dans leur village d'origine.
Plutôt bien écrit et intéressant, mais parfois agaçant et manquant de descriptions suffisantes pour que je puisse me représenter la vie des aborigènes à Papunya.
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Découvrir l'Australie et un pan de son histoire à travers Stolen est un réel plaisir : Pascale Perrier a su trouver le rythme qui convenait. Je me suis laissée entraînée à la suite des trois personnages, frères et soeur qui se retrouvent et vont partir chercher leurs racines. Leurs vies sont bancales, surtout pour les deux aînés, leur place dans la société australienne à part : aborigènes, ils sont peu considérés.
A la lecture du roman, on comprend mieux ce qu'ils ressentent : les aborigènes ont été spoliés de leurs terres, de leurs cultures, de leur langue. Des enfants ont été enlevés à leurs familles.
Loin d'être simpliste, Stolen aborde sans détour ce pan de l'histoire : un réel plaisir de lecture en perspective pour tous les futurs lecteurs.
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je ne savais pas grand-chose de la colonisation australienne, ni du génocide des Aborigènes ou encore des Stolen Generations. À travers les personnages de Joshua et Ruby, Pascale Perrier nous parle de cette pratique légale en Australie de 1909 à 1969 qui permettait au gouvernement de retirer aux Aborigènes les enfants métisses. Ceux-ci étaient alors confiés à des familles australiennes ou à des institutions qui se chargeaient d'en faire de « bons petits Australiens » grâce à un déracinement complet dès leur plus jeune âge. le gouvernement allait même jusqu'à séparer les fratries afin de leur faire oublier tout de leurs origines et de leur culture. Tout cela était organisé dans le cadre de la politique White Autralia, l'Australie aux Blancs.
J'ai beaucoup aimé la manière dont Pascale Perrier réussit à parler de tous les aspects des Stolen Generations à travers ses différents personnages. D'un côté, on a Joshua qui a eu « la chance » de se retrouver dans une famille d'accueil, puis on a Ruby qui a grandi en orphelinat ou encore William qui arrive plus tard dans l'histoire et qui a passé son enfance dans ces institutions catholiques chargées d'inculquer la culture blanche aux petits Aborigènes. On découvre ainsi les trois styles de vie qui étaient réservés à ces enfants arrachés à leur famille. Pascale Perrier nous fait également découvrir l'horreur des réserves aborigènes et la manière dont ces peuples ont été déchus de leurs droits jusqu'à sombrer dans l'alcoolisme et la violence.

J'ai également beaucoup apprécié la manière dont Pascale Perrier a introduit un racisme ambiant dans son roman. En effet, grâce à des personnages blancs comme Isabelle, la petite copine de Joshua, ou Margaret, sa mère adoptive, le lecteur découvre la manière dont les colons australiens perçoivent les Aborigènes : ce sont des gens pauvres qui sont alcooliques, voleurs, drogués, violents… Et non seulement les blancs pensent ainsi, mais on remarque que même les jeunes Aborigènes comme Joshua et Ruby ont subi ce « lavage de cerveau » et ont ainsi, par moments, honte de leur culture et se sentent inférieurs aux Blancs.

Enfin, j'ai adoré le cheminement des différents personnages et notamment de Joshua, ce garçon qui finalement n'est ni Aborigène, ni Australien et qui tente de découvrir ses origines et de se forger sa propre identité. Au final, même si les choses ne se passent pas forcément comme prévu, tout le monde évolue dans cette histoire et se découvre un peu plus. Stolen est un véritable roman initiatique qui nous rappelle à quel point avoir des origines et une famille sont des éléments primordiaux dans notre construction identitaire. C'est un roman profond qui touche ses lecteurs tout en leur faisant découvrir un pan de l'Histoire bien trop méconnu.

Lien : https://minimouthlit.com/201..
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J'attendais beaucoup de ce livre dont l'intrigue était très intéressante. Malgré tout, j'ai trouvé la deuxième partie de l'histoire un peu longue, et la chute certes surprenante, mais personnellement j'ai été déçue. Il y a ce côté "aventure réaliste à travers le bush australien" qui m'a plu. Sinon, l'histoire est bien menée, sait capter l'attention du lecteur, et ce livre est un bon livre, sans être un coup de coeur
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L'histoire se déroule au début des années 1970. C'est un récit choral. le personnage principal est un jeune de 15 ans qui s'appelle Joshua et a été adopté à l'âge de 4 ans, c'est essentiellement lui le narrateur. Mais on suit aussi les pensées de sa soeur de sang Ruby, qui a fait irruption dans sa vie un matin et l'a bouleversé en faisant remonter de vagues souvenirs de son enfance et surtout en le poussant à se poser des questions sur ses origines. On suit également sa mère adoptive, une « Aussie », qui a perdu son fils lorsqu'il était bébé, d'où la décision d'adopter avec son mari. Joshua a la peau claire et il n'a donc jamais été confronté au racisme dont sont victimes les « Abo », d'autant plus qu'il l'ignorait et n'a pas vécu comme tel jusqu'à présent. Il ne faisait pas particulièrement à eux et avait les mêmes préjugés que les autres. On retrouve aussi sa petite amie dans les narrateurs, dont le père est raciste et qui a donc grandit avec beaucoup de préjugés vis-à-vis des aborigènes.
Le roman est assez bien écrit, même si le style est simple et assez didactique. Ce livre est une occasion d'apprendre le traitement réservé aux aborigènes en Australie, qui ressemble assez au sort des Indiens en Amérique. On découvre (pour ma part) le scandale des « stolen generations », des enfants aborigènes enlevés à leurs parents. Il y a même une mini partie documentaire à la fin du roman.
Une belle couverture.
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Il faut que je me rende à l'évidence : quand il s'agit des sélections des Explorateurs Young-Adult, le sort ne m'est jamais favorable ! Inévitablement, je reçois un tout autre livre que les deux que j'ai indiqué vouloir recevoir – qui sont généralement des ouvrages que je rêve d'avoir car j'aime beaucoup l'auteur ou la maison d'édition ! Mais ce n'est finalement pas bien grave : c'est un peu comme quand un ami vous offre un livre que vous ne vous attendiez pas du tout à recevoir car il ne correspond pas tout à fait à vos genres de prédilection, il y a cette curiosité de découvrir une histoire que vous n'aviez pas réellement choisi de lire par vous-même … Et il faut dire qu'une fois la surprise (et la petite touche de déception) passée, j'étais vraiment impatiente de me plonger dans ce roman inspiré de faits réels …

Joshua, quinze ans, a toujours su qu'il avait été adopté : ce n'est pas difficile de s'en rendre compte, son teint étant nettement plus halé (pour ne pas dire « sombre ») que celui de ses parents et de ses camarades de classe. Mais ce qu'il ignorait, c'est qu'il faisait partis des stolen generations, les générations volées : des centaines d'enfants Aborigènes arrachés à leurs familles biologiques pour être placés chez des Blancs qui leur offriront « généreusement » une éducation « digne de ce nom » … Quand sa soeur ainée débarque brusquement dans sa vie pour lui apprendre cette terrible réalité, c'est comme si le monde s'écroulait autour de lui. Perdu, il ne sait plus ce qu'il veut vraiment : renouer avec ses origines au risque de perdre l'affection de ses parents adoptifs, ou continuer à vivre dans l'ignorance et perdre sa soeur nouvellement retrouvée ?

Je l'admets bien volontiers : avant ce roman, je n'avais jamais entendu parler des stolen generations d'Australie … Il faut dire qu'il a fallu bien longtemps pour que le scandale éclate au grand jour, et plus longtemps encore pour que le gouvernement australien reconnaisse ses torts et s'excuse vis-à-vis des populations Aborigènes pour tous les mauvais traitements dont ils ont fait l'objet depuis la colonisation des Blancs. le racisme ambiant que dépeint cette histoire est tout simplement effarant, et cela d'autant plus qu'il est « entré dans les moeurs », si l'on peut dire : en Australie, il y a d'un côté les Blancs, « civilisés », et de l'autre les Abos, la racaille. Métisse, Joshua n'a sa place nulle part : il est trop « foncé » pour les Blancs, trop pâle pour les Aborigènes. A la frontière entre les deux mondes, entre les deux peuples, entre les deux « races », il ne se sent ni Blanc ni Abo … Tiraillé entre son amour pour ses parents adoptifs et sa volonté de se rapprocher de sa soeur biologique, partagé entre son envie de poursuivre le cours tranquille de son existence « bien rangée » et celle d'en apprendre plus sur ses origines.

Et plus que tout, il s'interroge : au fond, qui est-il ? Est-il le fruit de ses gènes aborigènes ou de son éducation occidentale ? de qui est-il vraiment le fils : de celle qui lui a donné naissance ou de celle qui s'est occupé de lui depuis l'âge de trois ans ? C'est l'éternelle question de l'inné et de l'acquis, de la nature et de la culture : s'opposent-elles, ou se complètent-elles ? L'irruption de Ruby dans sa vie a brisé toutes ses certitudes : Joshua ne sait plus qui il est, et encore moins qui il veut être. Alors il se laisse porter, cadet d'une fratrie nouvellement reconstituée après douze ans de séparation, il suit le mouvement, sans savoir ce qu'il attend de ce road-trip vers les terres ancestrales de son peuple. Sur les traces de son enfance volée, aux côtés d'un frère et d'une soeur qui ne sont finalement que de parfaits inconnus, plus noirs que lui, plus déterminés que lui à enquêter sur leurs origines. Joshua, lui, part plutôt en quête de son identité : il a besoin de savoir qui il est aujourd'hui, et non pas qui était sa mère biologique … Mais il va finalement trouver bien plus : la paix intérieure.

Si j'ai trouvé ce livre très intéressant, tant par sa thématique que par les pistes de réflexion qu'il induit, je dois admettre être un peu déçue par l'histoire : tout est trop simple et trop rapide. Joshua accepte bien trop facilement les révélations de Ruby, une parfaite inconnue, et il intègre bien trop aisément qu'il est un enfant volé, il se plonge bien trop rapidement dans cette (en)quête effrénée … Sans oublier, bien sûr, la facilité avec laquelle les deux adolescents obtiennent les informations concernant leur famille biologique, la facilité avec laquelle ils retrouvent le village de leur enfance. Tout cela vient briser le réalisme introduit par le contexte historique : ce n'est plus crédible. Et du coup, impossible de s'attacher réellement à Joshua, Ruby et tous les autres personnages qui apportent leur point de vue sur l'histoire : ils sont creux, vides, sans consistance autre que leur « rôle » dans l'intrigue. Joshua est l'indécis, Ruby la fonceuse, Margaret la mère adoptive épleurée. Je n'ai pas ressenti la moindre émotion en lisant ce livre, hormis l'effarement et la colère de savoir que tout ceci s'est réellement passé. L'autrice est comme restée à la surface de cette histoire, qui est finalement bien trop « neutre » pour être émouvante.

En bref, vous l'aurez bien compris : j'ai un avis clairement mitigé sur ce roman. Celui-ci a le mérite d'aborder une thématique difficile et très rarement évoquée dans la littérature – jeunesse comme adulte, d'ailleurs – … mais il a le défaut de ne pas immerger le lecteur dans une histoire captivante et émouvante. Toutes les pseudos-difficultés qui se dressent devant les protagonistes sont balayées d'un revers de manche, les explications sont plus dignes d'un documentaire que d'un roman, et l'évolution des personnages est bien trop rapide et artificielle pour attirer réellement l'intérêt et la sympathie du lecteur. C'est un roman qui avait un grand potentiel – la preuve en est que je l'ai dévoré en deux jours à peine – mais qui n'a pas su totalement me convaincre, et j'en suis la première déçue, car le résumé me promettait quelque chose de profondément poignant que je n'ai finalement pas trouvé … Je le conseille toutefois pour le devoir de mémoire dont il se fait le vecteur !
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