AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
4,11

sur 706 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Premier balbutiement de l'autofiction. Mis à part la Comtesse de Ségur et ses salons. Mais là, on est ailleurs.

Malgré la beauté retenue de l'ouvrage, on l'analyse plutôt souvent en lien avec la fin tragique de son auteure. En fait, je devrais dire qu'on est plutôt porté à le lire en lien avec cette fin tragique que parce que le résumé nous parle. Ce qui était mon cas.

Force est de constater que j'y ai trouvé un personnage crédible, qui émeut par sa longue descente de plus en plus dénuée d'émotions vers la dépression. D'où elle ressort en ayant toujours la cloche au-dessus d'elle comme une épée de Damoclès. À quand l'air manquera-t-il?

Le clin d'oeil de la femme au talent qui n'est pas reconnu à sa juste valeur, alors que son homologue masculin, qui n'y connaît rien, est publié. La reconnaissance dure à atteindre d'une femme à cette époque.

Le bout de la tentative de suicide est particulièrement bouleversant. le retour à cet endroit connu dans l'enfance pour y mourir seule. Très triste.

Gwyneth était superbe.
Commenter  J’apprécie          00
Particulierement touchée par ce livre car je me sens tellement proche de l'auteur, de sa vie et de sa fin de vie.Tres bouleversée par cette lecture.
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (2194) Voir plus



Quiz Voir plus

La cloche de détresse

Quel est le pseudonyme qu'Esther Greenwood utilise lors de sa rencontre avec Lenny, puis plus tard avec le docteur Gordon?

Elly Higginbotham
Elly Higgins
Esther Higginbottom
Elly Higginbottom

4 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : La cloche de détresse de Sylvia PlathCréer un quiz sur ce livre

{* *}