En rééducation, j'ai côtoyé des "handis" bien plus heureux que les "deux-pattes", parce qu'ils avaient pigé que vivre, c'est vraiment de la balle. (p.10)
Parce qu'on a forcément envie de ce qu'on a pas : les tétras rêvent d'être paras, les paras d'avoir des jambes, ceux qui en ont veulent être riches et célèbres, et je suppose que ceux qui le sont déjà meurent d'envie de l'être encore plus. Après quoi, le désespoir est aux aguets.