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Scénario un peu compliqué pour cette valse macabre où le fantastique vient se mêler à une enquête de meurtre du journaliste Smithback aux agissements d'une mystérieuse secte sévissant sur les animaux.

C'est un tome déjà ancien qui porte la marque des deux auteurs mais dont l'efficacité peine à se développer à mesure des différentes investigations avec de nombreuses pistes inutiles que le lecteur finit par oublier à mesure que la lecture avance.

Malgré cette réserve, la valse tourne bien et la finale comporte son lot habituel de suspense, de retournements de situations désespérées qui font à mon goût le succès des polars de Preston et Child.

Le plus intéressant m'a paru être l'étude approfondie des différents personnages avec leurs forces et faiblesses sur lesquelles les auteurs jouent à plusieurs reprises pour situer chaque protagoniste au coeur de l'histoire.

Il faut toujours lire vite les oeuvres du célèbre duo afin de pas perdre pied car leur imagination plus que fertile a l'art de développer des situations abracadabrantesques qui font bien sûr la joie de leurs adeptes.
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Un polar qui flirte avec le fantastique.

Un journaliste est sauvagement assassiné dans son appartement. Un crime facile à résoudre, car plusieurs personnes ont identifié le meurtrier, les caméras de sécurité ont bien capté son visage. Facile à résoudre jusqu'à ce qu'on apprenne que le présumé assassin est décédé depuis deux semaines! La victime aurait-elle été attaquée par un zombie?

L'enquête explorera les malédictions vaudou ou loa et découvrira même une étrange secte religieuse qui habite un secteur caché de Manhattan.

Un roman qui joue sur la peur et qui utilise les ficelles d'un film d'horreur : la jolie femme qui va seule dans le noir dans un endroit louche où surgira le monstre… On sera même coincé dans une nécropole souterraine poursuivi par un être difficile à qualifier…

Au final, comme l'enquêteur de la police, on se demandera tout au long s'il y a une explication rationnelle à tout ça! (Et je ne vous donnerai pas la réponse pour ne pas divulgâcher l'histoire.)
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Neuvième lecture commune de Pendergast avec Laehb80. Nous n'avions pas lu le résumé avant d'attaquer la lecture et ce fut violent !

Toujours à New York et plus particulièrement sur l'île de Manhattan où ce qui semble être des zombies tuent des personnes qui s'intéressent d'un peu près à La Ville qui abrite une secte depuis environ un siècle, au coeur d'Inwood Hill ! Peut-être des adeptes du Vaudou !

Par moment Pendergast semble un peu plus timoré ; il est natif de la Nouvelle-Orléans où le Vaudou est encore pratiqué mais il va tout démêler et régler brillamment, c'est pour ça qu'on l'aime, avec l'aide de l'indispensable Vincent d'Agosta !

Je continue à apprécier la prose de ce duo mais 1 étoile en moins parce qu'ils ont tué Smithback !

Challenge MAUVAIS GENRE 2021
Challenge PAVES 2021
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Autant j'ai aimé les premiers épisodes de la saga Pendergast, autant je n'en peux plus de le voir courir dans les coursives, couloirs, et autres souterrains dans les 100 dernières pages de tous les bouquins de la série ... Les auteurs manquent d'inspiration et resservent toujours la même soupe! Dommage, le début était prometteur ...
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Smithback est heureux. Il fête son premier anniversaire de mariage avec Nora. Voilà 5 ans qu'ils se connaissent, 5 ans de bonheur. Tout à pourtant une fin... Smithback est assassiné et Nora est grièvement blessée.

Pendergast va mener l'enquête avec son ami D'Agosta. Ils vont plonger dans un monde de ténèbres puisqu'il semblerait que Smithback se soit fait assassiné par un mort vivant. Zombie avez vous dit? Même si Pendergast a l'esprit largement ouvert, il doute, et il enquête.

Comme d'habitude j'ai adoré, . J'aime ce personnage.
Toutefois gros pincement au coeur car j'adorai aussi Smithback son côté gros dur alors que c'était un grand tendre. Sa présence dans les prochains romans va me manquer.
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C'est toujours un réel plaisir de débuter une nouvelle enquête de Pendergast. le thème de ce roman est particulièrement intéressant : une secte pratiquant le vaudou en plein Manhattan. Cette dernière, qui vit selon ses propres règles depuis plus d'une centaine d'années est vraiment angoissante.
L'histoire est comme d'habitude très prenante et on suit l'évolution des personnages avec plaisir.
On regrettera toutefois un manque de réalisme vers la fin. Les auteurs donnent une fin où le "surnaturel" est expliqué, mais on y croit moyennement.
Un bon cru mais qui reste très en deçà des "Croassements de la nuit" qui reste sans conteste mon préféré.
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J'attends toujours impatiemment les (re)lectures communes avec Zazaboum du cycle Pendergast.
Ce neuvième tome commence très fort, d'autant plus que je n'avais pas lu le résumé et suis donc tombée des nues. J'ai mis un petit moment à me ressaisir et à remettre en marche mon processeur, le choc initial accentué par l'arrivée de zombis et rites vaudous. Malheureusement ce n'était pas un tour de passe-passe imaginé par les auteurs pour nous dérouter, pauvres lecteurs crédules,  et je ne suis vraiment pas contente de ce choix rédactionnel ( Douglas, Lincoln, si vous me lisez ).
Comme d'habitude,  beaucoup de suspense, du fantastique voire même de l'horrifique pour cette enquête,  des poursuites dans des tunnels sombres et humides,  des rebondissements et un agent Pendergast au sommet de son art.
Mais j'en veux quand même au duo d'auteurs et je boude.
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C'est toujours avec engouement que j'ouvre un Preston & Child, mettant en scène les aventures étonnantes de Pendergast.

Dans Valse Macabre, nous retrouvons D'Agosta, fidèle acolyte de l'inspecteur du FBI. J'aime ce personnage, il m'amuse par son franc-parler. Un vrai mec, bien dans ses pompes, à l'aise et décontracté. Il ne se prend pas la tête, sauf quand son partenaire le laisse en plan.

Pendergast est un électron libre. D'Agosta est fraternel, il partage et communique. Forcément, il y a parfois quelques tensions ou incompréhensions.

Je suis sensible à la nature de leur relation. Très amis, Vincent D'Agosta est admiratif de l'intelligence de Aloysius Pendergast, de même que ce dernier voue un profond respect à son camarade.

Valse Macabre n'est pas mon roman préféré des deux condisciples. Le thème ne m'a pas convaincue au démarrage. Puis, j'ai apprécié les retournements de situations, qui avaient finalement du sens. Si tant est que les aventures imaginées par les quatre mains américaines fassent sens !

J'ai porté beaucoup d'intérêt à la communauté vivant cloîtrée dans les murs de New York, avec leurs propres règles... Passionnant et intensément angoissant !

J'ai passé un agréable moment.

Lu en septembre 2018.
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Histoire de vaudou oui ou non; il faudra attendre la fin pour répondre à cette question. Mais quelle que soit la réponse, ce 9e opus de l'inspecteur Pendergast est bien sympa. Beaucoup de thrills, de suspense, d'action. L'écriture bien fluide est agréable à lire.
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Ah ! Preston & Child ! C'est plus fort que moi : chaque fois que je retombe sur "Relic", dans mes cartons ou sur mes étagères, et que je le relis, il me faut tenter à nouveau. Et à chaque fois, je suis déçue. "Relic", leur premier opus, bénéficie d'une intrigue palpitante, qui va crescendo et qui, surtout, bénéficie d'une chute formidable, au sens quasi hugolien du terme. D'où la puissance du roman et, bien sûr, le désir de le lire, de le relire - et de lire les ouvrages suivants.

Et là, dès "Le Grenier des Enfers", sorte de "suite" cependant encore assez honorable à "Relic", rien ne va plus : on sent la déception vous envahir. Irrésistiblement.

Oh ! Les histoires démarrent toujours très fort et les deux auteurs sèment les indices supranaturels et parapsychologiques à tout va. Ainsi, dans "Valse Macabre", Bill Smithback, journaliste et complice des premiers jours du héros récurrent, l'agent du FBI Pendergast, se fait massacrer chez lui par l'un de ses voisins. Les caméras de sécurité sur le palier ont filmé l'entrée et la sortie de l'individu. le doute n'est pas concevable, tout le monde est formel.

Seul problème : le voisin en question, excusez du peu, est mort et enterré depuis quinze jours ...

Avouez que, malgré toute la sympathie que vous aviez pu vouer à Smithback, un agréable frisson se glisse tout à coup le long de votre colonne vertébrale : un assassinat ! accompli par un zombi ! Et avec ça, Pendergast, qui est né en Louisiane dans une famille certes très aristocratique mais un peu "étrange", voire maléfique (songez à son horrible frère, Diogène ), y croit, lui, au vaudou, au vôdou et, en tous les cas, aux expériences qu'on peut tenter sur des êtres bien vivants en leur injectant par exemple une substance que l'on ne trouve que dans un certain poisson japonais (désolée pour les amateurs : j'ai oublié le nom ).

Un degré de plus dans l'horreur : voilà que notre zombi réapparaît, plus titubant et plus zigzaguant que jamais ! Cette fois pour s'attaquer à l'épouse du journaliste défunt ! Il la traque dans le Museum de New-York où elle travaille, de nuit, bien sûr, selon l'antique et redoutable habitude des héros de livres ou de films fantastiques qui ne sont jamais plus pressés que de se fourrer dans des situations où ils se retrouvent seuls, dans un lieu bien désert et si possible mal éclairé, voir complètement obscur.

Mais attendez ! Il y a mieux encore : William Smithback lui-même, bien que dûment autopsié, vient s'en prendre lui aussi à son épouse ! ...

Alors, elle n'est pas belle, elle ne vous laisse pas pantelants, mon histoire ? ...

... C'est la fin qui gâche tout. Elle est honteusement, éminemment, résolument, désespérément cartésienne. Tous les fantômes s'évanouissent, les zombis avec eux et le soleil se lève sur un New-York impavide.

Le pire, c'est que, que ce soit avec "La Chambre des Curiosités" ou encore "Les Croassements de la Nuit", eh ! bien, le principe est le même : ça démarre très, très fort, on pense à "Relic", on est prêt à supplier le Mwbum d'exaucer nos prières d'Adorateurs de l'Epouvante ... mais ça finit là aussi en pétard mouillé. Quant à la fameuse "trilogie Diogène", où l'on voit les deux frères s'affronter en une énième version du combat entre le Bien et le Mal, elle plaira aux amateurs de romans populaires mais les amateurs de frissons - j'entends de frissons vrais - en seront là aussi pour leurs frais.

Relisez "Relic." Y a pas photo. ;o)
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