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2/5   1 notes
Résumé :
Quand je l'entendis manoeuvrer la pompe à huile, je m'approchai tout doucement, retenant mon souffle, et d'un seul coup je décrochai le robinet.
En un éclair, j'aperçus encore Madeleine retournée vers moi, yeux hagards, mais la masse de la voiture s'abattait sur elle avec un sifflement strident et, si elle cria, je n'entendis rien tant le bruit fut assourdissant.
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Parfois, après une lecture importante (c'était le cas avec le Conformiste d'A. Moravia) je choisis de lire quelques livres différents.
Le plus souvent mon choix se porte sur un roman policier.
Première lecture de M.-G. Prêtre que je connaissais uniquement pour avoir parcouru le catalogue des éditions du Fleuve Noir.
Quelque deux cents pages, noircies de gros caractères, c'est l'affaire d'un court trajet en train. Les gares étant d'ailleurs le lieu où s'achetaient ces ouvrages.
L'histoire est tout à la fois simple et classique pour le genre. Des amants veulent se débarrasser de leurs conjoints respectifs et encombrants...
Leur condition sociale les sépare et c'est le piment qui excite la femme infidèle qui veut du cambouis et des muscles.
Pas seulement...
Elle se dévoilera une parfaite manipulatrice pour se débarrasser de son époux vieux mais riche...
Le style est plaisant, direct.
Les différents personnages sont brossés avec brio. Pas un instant d'ennui.
Malheureusement l'intrigue est bancale et il faut que le lecteur soit bien indulgent pour ne pas se dire que l'auteur a paré au plus pressé.
Vite consommé et sans nul doute vite oublié malgré quelques qualités.
Un deux étoiles.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Quelques semaines auparavant, j'avais eu à faire à la Cité radieuse de Le Corbusier, cette unité d'habitation que l'on appelait dans les débuts la " Maison du fada", et à laquelle on s'est bien habitué maintenant.
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Puis elle ôta la veste de son tailleur, fit glisser sa jupe sur ses hanches, se dépouilla de sa combinaison et s'étendit en travers du lit, comme si c'était la chose la plus naturelle du monde que de remplacer Madeleine dans ma couche.
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Qui donc a raconté que les assassins ne peuvent dormir, hanté qu'ils sont par le souvenir de leur forfait ? J'eu un sommeil paisible et sans rêves.
Ce n'était pas de gaieté de cœur que j'avais commis mon crime. D'un naturel pacifique, je m'en croyais bien incapable. Pourtant, je l'avais accompli avec répulsion mais détermination.
Avant de m'abandonner à l'inconscience bienheureuse du sommeil, j'avais passé la main sous l'oreiller de Madeleine et j'avais senti le froid contact du casse-noix massif en bronze qu'elle conservait là pour m'assommer pendant que je dormais.
C'était donc elle ou moi. Je préférais que ce soit elle ...
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