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Nouvelles pour apéros, lues en long en large et même de travers.
Côté libations, je ne parle pas du petit cocktail mondain où chaque conversation doit slalomer dans le plus que parfait mais du bon zinc bien de chez nous, où la censure a été jetée hors du saloon pour laisse s'exprimer l'ivresse des mots. Les haleines vont réchauffer le climat et les pensées.
A croire que Jules Pseudo est allé tirer du lit éternel Desproges, Blondin et Audiard pour les remettre au boulot et les confronter à notre époque trop proprette pour être honnête. Il les siffle comme D Ormesson enchainait les citations. Un dico de répliques acerbes. Les évangiles selon Pierre, Antoine ou Michel. Amen…une autre bouteille et quelques tranches de vie.
D'entrée, Dieu convoque un procès pour savoir si l'homme mérite encore de folâtrer sur terre. Parole à l'accusation puis à la défense. La justice divine hésite, ses représentants ont enchaîné les bavures et tous les bipèdes ne méritent d'aller bronzer et cultiver des mélanomes en enfer. Reste l'état désastreux du monde. L'humain a quand même bien sali sa caisse. Au final, ce sera peut-être une peine avec sursis, sans peine mais avec des reproches. Pas de jugement dernier pour éviter la correctionnelle.
Les autres textes sont aussi savoureux. Entre une enquête scientifique pour s'assurer qu'une veuve avait épousé un con ou les conséquences d'un arrêt brutal d'Internet qui régalent les nostalgiques du bon vieux temps et terrorisent les générations hyper connectées, l'auteur provoque la pixellisation de nos vies en duel.
Dans la même veine, nous avons droit au récit d'un vieux loup de mer lassé de son GPS qui s'en remet aux vents et aux étoiles dans une course en solitaire qui n'en mène pas large ou au recrutement d'un « Chef Happiness Officer » à la RATP qui succombe à la mode de la recherche du bonheur béat et obéissant au travail. Sous-développement personnel.
Une prose perfusée aux Tonton flingueurs, dopée aux breuvages d'un Singe en hiver.
Je suis heureux d'avoir croiser ce regard qui cligne de l'oeil pendant que l'autre laisse fuiter une larme un brin nostalgique. Et non Jules, inutile de se cacher derrière un alias de circonstances ou d'impliquer une innocente poussière, vos mots trahissent un bon fond.
Merci aux Editions du Pilon qui donnent du marteau pour ce sympathique ouvrage d'un Jules Pseudo aux références de l'irrévérence. Merci aussi à Babélio pour cette Masse Critique qui aère le mauvais esprit.
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Jules Pseudo nous soigne. Il nous délivre une ordonnance avec ses tronches de vie, agrémentées par les illustrations de Frap. Il correctionne et ventile des vérités éparpillées par petits bouts façon puzzle.
Un pur moment de détente, de dérision, de réflexion avec un sens de la formule. C'est curieux, chez les marins, ce besoin de faire des phrases.
Avec des références que les moins de vingt ans... Sans paraître vieux jeu ni encore moins grossier, mais la vérité m'oblige à vous dire : je m'en moque, je suis dans la bonne tranche...
Des thèmes, des réflexions, des analyses qui rendent nostalgiques. Où sont les Desproges, Coluche... pour faire éclater le vernis du politiquement correct, de la pensée uniformisée ou de la non-pensée twittée et vomie à l'excès. Les cons ça ose tout. C'est même à ça qu'on les reconnaît. Et malheureusement un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche.
Un livre à prescrire pour passer un bon moment et sourire, voire rire. Même si on peut rire de tout mais pas avec tout le monde...
Merci à Jean-Marie Biette, aux éditions du Pilon et à Babelio pour ce livre envoyé dans le cadre de l'opération Masse critique.
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#Livresquedularge
#NetGalleyFrance

Petit livre sympathique et rigolo qui m'a fait passer un agréable moment de lecture. En 13 petites histoires, l'auteur nous donne son point de vue sur différents sujets de société (la mort, la politique, le multimédia...). Ce livre est rempli de petites citations toutes plus rigolotes les unes que les autres et de répliques de films (surtout Audiard). L'auteur met bien en avant son aversion contre internet, les téléphones portables... et même si je ne pourrais pas me passer de ces formidables outils (d'ailleurs le fait d'écrire ma critique sur le net en est la preuve), je suis assez d'accord avec le fait que toutes ces nouvelles technologies ont pris trop de place dans nos vies et dans celles de nos enfants. Auteur que je recommande volontiers si vous voulez passer un agréable moment de lecture.
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« Livresque du large », joli titre qui donne envie de larguer les amarres et de se laisser emporter par le courant de l'humour souvent loufoque, parfois noir mais jamais gratuit.
Aussitôt, reçu, aussitôt lu, petit livre par la taille, on enchaîne les récits, courts, incisifs, des saynètes qui nous font sourire souvent, rire parfois mais qui si l'on va un peu plus loin nous emmène à la réflexion sur de nombreux sujets tels notre rapport actuel à la technologie, internet, les réseaux sociaux.
Les références sont nombreuses et avouées, entre bons mots, dialogues de films ou paroles de chansons, on retrouve Desproges, Audiard… On pense également à Pierre Dac ou Raymond Devos.
Les dessins de Frap agrémentent joliment ces histoires. Forcément inégales, chaque lecteur y trouvera néanmoins motif de satisfaction suivant ses propres goûts et son humeur du moment. « La vieille âme et la mer » est un peu à part, moins comique que les autres mais que j'ai trouvé plus touchante.
C'est un livre qui fait du bien, une dose d'absurde dans notre quotidien.
Merci à Babelio, à Jean-Marie Biette et aux éditions du Pilon de m'avoir envoyé ce livre dans le cadre de l'opération masse critique.
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Mon perroquet riait en m'entendant rire, Dieu que j'ai ri en lisant Livresque du large. Mon Dieu.
Justement, il en est question : Dieu se rend compte qu'il a fait une grosse boulette en créant l'humanité. Il a bien essayé de rattraper le coup avec l'histoire Noé mais elle a été qualifiée dans les médias de génocide. Il a aussi envoyé son fils, qui a changé l'eau en vin, sauf qu'il y a eu une grave erreur de localisation. S'il l'avait fait en Bretagne, à Nantes ou à Montauban, tout simplement, il serait encore en vie.
Dieu ne veut pas prendre seul l'initiative d'une apocalypse, et préfère organiser un procès à l'encontre de ce qu'il a créé : Stop ou encore pour les hommes? Or les avocats sont presque tous d'accord : sa création est nulle, il vaudrait mieux jeter l'éponge.
L'homme a « systématiquement transformé l'atmosphère en air irrespirable, les océans en poubelles, les forêts en meubles suédois immontables ».

Bien sûr ils perdraient leur job avec ce jugement dernier, mais le procureur envoie son RIB, au cas où.

Puis pose la question qui fâche : les hommes ont quand même été créés par vous, Dieu, non, NON ? Avez vous fait un travail sur lui auparavant, une maquette, un numéro zéro, un prototype?
On teste bien les vaccins, pourquoi Dieu avez vous laissé se propager le virus /homme ?


Plus grave que le destin de l'humanité ( ouiii) c'est le livre qu'une femme dans le métro lit « J'ai épousé un con ». Cela, devant l'auteur, Jean Marie Biette, pseudo Jules. Il imagine le tome 2 « j'ai épousé un gros con » ou bien « on m'a forcé à épouser un con ».

Beaucoup de questions se posent alors : nait on con ou le devient on ? le devient on au contact de ses congénères, ou pour ne pas détonner, pour survivre en un mot ? A quoi reconnaît on un con ? Qu'est ce qu'être con ?

J'ajoute un point de vue tout à fait personnel à ces réflexions de premier ordre. Ne peut on pas changer le mot « Con », de la même manière que, comme le souligne Jules Pseudo avec justesse, l'on ne dit plus femmes de ménage mais agent d'entretien, ou technicienne de surface. On ne parle plus de licenciements, mais de sauvegarde de l'emploi. Elles nettoient toujours, bien entendu, et ils pointent au chômage, aussi.
Agatha Christie, sauvez vous, heureusement vous avez des descendants dignes.
Alors, de moi à moi, j'ai essayé de remplacer ce mot con, trop chargé, vous l'avouerez.
Embrumés ? Trop proche d'un changement climatique critique.
Abrutis ? Pignoufs ?guignols ? Trop dévalorisants.
Peut être simplement « j'ai épousé un homme ». Tout le monde comprendrait, surtout les féministes ( mais ce serait quand même un pied de nez homophobe, une revendication presque surannée qui pourrait prêter à confusion. )

A vous de voir.
Et surtout de lire la suite, et de rire, même si vous n'avez pas de perroquet.


Jules Pseudo, merci, j'en ris encore. Pardonnez moi mes pensées en roue libre, votre livre si riche m'y a encline.
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"Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même, il n'a pas fini de s'amuser." (Joseph Folliet) et ce n'est pas Jean-Marie Biette ni même son alter ego Jules Pseudo qui nous diront le contraire.

Les scientifiques estiment que nous devrions tous rire au minimum dix minutes par jour. Savez-vous qu'une seule minute de fou-rire équivaut à quarante-cinq minutes de relaxation ? Quand nous rions, chacun des muscles de notre corps se décontracte, cela stimule même notre appareil digestif et surtout c'est bon pour le moral !

Alors j'ai fait un petit calcul pour Jules Pseudo et pour la science. Sachant que j'ai lu l'ouvrage en question en trois heures et que j'ai passé tout mon temps à rire comme une bécasse, l'opération est très simple :
Si une minute de fou-rire équivaut à quarante-cinq minutes de relaxation alors cent-quatre-vingts minutes que multiplient quarante-cinq minutes nous font huit-mille-cent minutes soit centre-trente-cinq heures de relaxation.
Bilan de l'opération : en lisant ce roman je me suis relaxée pour les deux années à venir !

Treize nouvelles, pas douze ni quatorze, mais treize. Superstitieux Jules Pseudo ? Pourtant ils étaient douze les apôtres ? Ah non pardon, ils étaient treize avec Jésus dans la Cène. C'est qu'il ne s'est pas gêné ce chenapan de Jules Pseudo pour leur donner la parole et le moins que l'on puisse dire c'est que ça balance pas mal ! La verve est gouailleuse, libérée, les joutes verbales sont nombreuses et, à moins de vivre sur une autre planète, impossible de ne pas réagir. Jules Pseudo fait de l'esprit et il le fait fort bien, il a bien compris lui, qu'il valait mieux observer la vie d'un oeil railleur car comme dit si bien l'adage : mieux vaut en rire qu'en pleurer.

Treize nouvelles sur le ton de la satire avec lesquelles il passe au crible, dénonce les petits (et les gros surtout) travers de notre société : la religion, la politique, Internet, les réseaux sociaux, l'écologie, la vie, la mort, sans oublier la connerie avec un grand C s'il vous plaît. Pour cela il nous invite à rencontrer différents personnages, certains tout droit sortis de son imagination comme l'inconnue du métro qui a eu la malchance d'épouser un con ; Eugène de Rasetignasse notre PDG du bonheur à la RATP ; les deux "Albert" habitués du petit zinc, qui, l'alcool aidant, refont le monde ; Yann Sauzon notre navigateur (en qui j'ai vu un petit je-ne-sais-quoi de Yann Martin) ; Laurent qui chante Brel ; Gégé et son food-truck et d'autres encore qui nous sont familiers comme Dieu, Judas, Jésus, Usbek et Rica en version "geeks", échappés comme par magie de chez Montesquieu, Gérard Lombaire (ou Lambert, faudra poser la question à Renaud).

Le ton est jovial, avec le sel qui caractérise l'humour noir et, non sans une petite pointe d'insolence, Jules Pseudo fait ressortir avec brio les absurdités de notre société (c'est qu'il y a matière à faire, rien qu'en France les dossiers sont lourds). Et le temps de cette lecture, on se retrouve au comptoir du bistrot du Quai de la Fosse à Nantes ou au café du commerce dans le vieux Montauban, on boit un coup ou deux, et nous aussi on se prend à rêver, à refaire le monde en citant Audiard et Desproges et on se demande finalement si c'était pas mieux avant...

Alors merci à vous Jean-Marie Biette de m'avoir si gentiment fait parvenir votre roman. C'est un roman que tout le monde devrait lire. L'humour et la dérision ne font jamais de mal, surtout en ces périodes troublées. Et comme dirait mon ami Coluche, absent de ce récit à mon grand regret, mais vous y penserez pour le prochain j'en suis certaine :
"L'intelligence c'est pas sorcier, il suffit de dire une connerie et de penser l'inverse !"


*Mention spéciale pour les superbes illustrations de Frap qui agrémentent chacune de ces treize nouvelles.
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Excellent! Je me suis régalé!
Du rythme et des références incontournables.
Comment n'aurais-je pas été séduit? Ce sont mes auteurs favoris, Audiard, Desproges, Dard, Allais et quelques autres...
Quand aux "tableaux" à connotation "maritimes", de pures merveilles, pour les initiés.
Hélas, pour l'auteur, un public moins "senior" aura du mal à capter la quintessence (et pas seulement de térébenthine...) des inspirations à la base de chacun de ces succulents récits.
Lien : https://domi.voyagedenzo.com
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#Livresquedularge #NetGalleyFrance

Beaucoup de sujets et de problématiques "traités" de façon humoristique dans 13 courtes nouvelles. C'est beaucoup beaucoup plus agréable d'en aborder l'analyse de cette façon que par la lecture de la Une de n'importe quel quotidien !

Constatations très réalistes avec des jeux de mots futés et moqueurs. Avec verve et ironie notre société en prend plein les dents ! A raison !!

Les références au cinéma, chansons et livres seront peut-être hermétiques pour les jeunes adultes, génération oblige, mais c'est aussi l'occasion de s'y plonger pour en goûter toute l'ironie.

Mention spéciale pour « Dieu convoque le Jugement dernier », « le réquisitoire » et « la plaidoirie » !

Les dessins, en N&B sur ma liseuse, illustrent parfaitement cette Comédie Humaine du 21ème siècle, à relire au calme, pour en saisir toutes les subtilités et les clins d'oeil !

CHALLENGE MULTI-DÉFIS 2020
CHALLENGE RIQUIQUI 2020
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Livresque du large - Jules Pseudo - Nouvelles - Éditions du Pilon - Lu en juin 2020.

Livre qui m'a été envoyé par l'auteur avec une dédicace ce dont je l'en remercie encore vivement.

Avec Livresque du large, Jules Pseudo (Jean-Marie Biette) change de registre par rapport à ses deux autres livres beaucoup plus sérieux "Ayrault, l'inconnu de Matignon" et "L'avenir de la France" parus aux éditions de l'Archipel.

En 13 nouvelles, Jules Pseudo m'a entraîné dans sa vision de la société de manière déjantée, grinçante parfois, nostalgique. Assurément, il jongle avec les mots et m'a fait rire et sourire à plusieurs reprises d'abord avec "Dieu convoque le jugement dernier", un réquisitoire et une plaidoirie désopilante, "J'ai épousé un con" et sa vision du mariage plus corrosive mais toujours drôle, "Le temps est assassin", plus déprimante, "La vieille âme et la mer, où l'on sent bien son amour pour la mer (Jules Pseudo est aussi navigateur).

Divers sujets sont ainsi abordés avec un humour certain pour ne pas dire un certain humour : Dieu, le mariage, Internet, le temps qui passe, la maladie, la politique, la mort, le cinéma, le climat ... Malgré le côté humoristique j'ai été amenée à me poser des questions.

Plusieurs nouvelles sont illustrées par un dessin de Eric Chalmel (dit Frap), ils sont divins !

Seul petit bémol, la couverture jaune, non pas le dessin qui l'illustre, mais ce jaune pipi, n'est pas du plus heureux effet, mais peut-être est-ce voulu.

J'ai passé de savoureux instants en lisant Livresque du large, Jules Pseudo a su me faire oublier ce monde qui ne tourne plus très rond.

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« Treize tranches et tronches de vie s'amusant de notre comédie humaine » et donnant lieu à une réflexion intéressante et nécessaire, voire indispensable, sur cette même comédie humaine, sur notre société hyperconnectée et sur notre rapport aux autres et à notre environnement.

Les thèmes abordés dans Livresque du large sont nombreux et variés : Internet et les réseaux sociaux, l'environnement, la politique, le travail, etc. Ce recueil de chroniques et nouvelles est, bien sûr, très humoristique – ironie, satire et dérision ont une place de choix dans ce livre – et certaines « tranches et tronches de vie » sont brillamment illustrées par Eric Chalmel, alias Frap, ce qui renforce encore le côté satirique de la chose.

J'ai beaucoup aimé cet ouvrage même s'il y a des chroniques ou nouvelles que j'ai préférées à d'autres. Il y a celles où Dieu convoque le Jugement dernier avec le réquisitoire amer du procureur et la plaidoirie désopilante de l'avocat. Certains arguments sont hilarants : « […] comment penser au Jugement dernier alors que la nouvelle saison de Casa de papel est en tournage ? », demande l'avocat à Dieu alors que ce dernier se demande s'il doit provoquer l'apocalypse. Question de la plus haute importance ! J'ai également apprécié la nouvelle intitulée « le Père Blaireau », parodie du Père Goriot de Balzac, où Eugène de Rasetignasse se porte candidat au poste de « Chief happiness officer » de la RATP. le texte que j'ai préféré est « Gérard Lombaire » qui m'a franchement faire rire. Quel personnage ! Si vous le croisez du côté de Pornic, le Gérard, n'oubliez pas de le saluer, nous dit l'auteur ! Faites-le, il vaut le détour !

Voilà donc un livre intéressant, souvent très drôle, toujours pertinent. Il foisonne de références littéraires, historiques, musicales et cinématographiques et nous renvoie régulièrement aux réseaux sociaux et à leurs sempiternelles polémiques, ainsi qu'à l'actualité. Mention spéciale à sa couverture jaune poussin. J'ai beaucoup aimé la représentation de l'auteur en figure christique… arborant une marinière sous sa tunique multicolore. Prenons le large !

Je tiens à remercier l'auteur de m'avoir fait parvenir, jusqu'en Guyane, ces bonnes tranches de vie, pleines d'esprit et d'humour.
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