La police des fleurs, des arbres et des forêts

Lu en audio. En tant qu'audio, il est vraiment génial ! le lecteur prend différentes voix qui correspondent aux personnages et c'est vraiment top. C'est ce qui a sauvé cette lecture …

Ce polar est plaisant, il se déroule en 1961, les lignes téléphoniques sont coupées à cause d'un orage donc tout se fait par lettres : correspondances entre le policier et la procureur.

Le style est simple, cela coule tout seul, peut-être trop. Cela doit être sa marque de fabrique. C'était déjà un peu le cas avec Sous le parapluie d'Adele.

Il y'a une scène assez chaude qui a mon sens détonnait par rapport à tout le reste qui était assez gentillet. Je ne suis pas prude mais je ne voyais pas l'intérêt de tous ces détails …

Et la fin… tout ça pour ça ! Même si on se dit « Ben oui, évidemment, mais c'est bien sûr ! ». La fin est tout de même étonnante…  mais voilà, cela ne fonctionne pas trop avec moi. En emprunt, à la bibliothèque, comme ici, why not? Mais, je ne le lirais plus en papier… Bref, ce n'est pas un auteur pour moi.

Quand malheureusement tu n'as pas été dupe...
Pourtant, je me faisais une joie de me laisser berner pour pouvoir me délecter de la supercherie une fois le livre terminé mais ce ne fut pas le cas. Et le livre a donc perdu de sa superbe. Même l'écriture pourtant si enlevée de l'auteur, son humour n'ont du coup pas été suffisants. C'est avec un brin de déception que je referme ce roman même si je reconnais l'originalité du choix narratif. Une lecture pas désagréable pour autant mais pas un coup de coeur....

Alors, comment dire ? Je me faisais un plaisir de découvrir un livre qui marie le genre policier et les fleurs puisque, en tant qu'auteure, c'est ce que je m'attache à marier dans chacun de mes romans. Et oui, le polar et les plantes sont mes deux passions.
Je suis à vrai dire un peu déçue de ne pas avoir accroché au style de Romain Puertolas et avoir eu du mal à lire ce roman jusqu'à la fin. Ce qui m'a gêné le plus, je pense, c'est le défaut de crédibilité de cette histoire. Sans doute, me direz-vous, ne fallait-il pas la chercher ici. Oui, mais on ne se refait pas ou alors difficilement.
Par contre, j'ai apprécié la façon dont Romain Puertolas a su recréer l'atmosphère des années soixante et son beau style d'écriture.

Une fois de plus, l'auteur parvient à nous surprendre avec ce roman policier "champêtre". Tout démarre de manière classique, comme une enquête à la "Maigret"; Petit village de P., un meurtre horrible a eu lieu et un inspecteur de police de la grande ville de M. se déplace pour mener l'enquête, aidé par le garde champêtre...On s'installe ou du moins, on a l'impression de s'installer dans une enquête classique, tranquille et là alors que l'on croit que tout est résolu... retournement de situation!

J ai été surprise à la lecture de ce livre
Je pensais lire une évocation à la nature ( de plus la couverture est toute verte)
Il n en est rien.
Ce livre est un bon polar certes le principal indice est une espèce de fleurs mais bon
L enquete est bien menée et j ai été fort surprise du dénouement.
On découvre comment ete menée les enquêtes lors des années 1960 sans internet sans portable
Quelques réflexions amusantes sur l evolution de la société de ces années la, il était difficile d imaginet ce que nous vivons actuellement.
Un bon moment mais sans plus

Dans la vie j'ai un gros souci: quand on me demande d'être vigilante j'ai deux grandes antennes supersoniques qui me poussent dans le cerveau. Et là c'est la cata, elles détectent tout et mon intuition s'avère alors toute-puissante! Donc évidemment lorsque Romain Puértolas m'a écrit cette dédicace lors de la soirée de lancement de son roman, ça n'a pas loupé, elles ont poussé! 🌺 "Rien de bien grave!" me direz-vous, sauf que deux/trois menus détails et quelques questionnements plus tard, j'ai découvert le "pot aux roses" (vive les fleurs) moins de 50 pages avant le dénouement de cette drôle d'enquête... 🏵

Alors bien sûr cela aurait pu donner lieu à un retour déçu et pas très positif, sauf que... sauf que... sauf que j'ai vraiment aimé cette lecture! le style de l'auteur, son humour, les fragilités des personnages, la truculence de certains, l'ambiance et les odeurs d'herbe coupée dans les jardins du village, le parfum des fleurs chez Elvire, l'improbabilité des échanges entre l'enquêteur et la procureur (si personnels!). Car en effet ce roman revêt une forme particulière: il s'agit d'un ensemble de lettres et de leurs annexes, un échange épistolaire qui nous rend compte de chaque élément de l'enquête. Et on a drôlement envie de toutes les lire, ces lettres! 🌳

On ne va pas se mentir, je suis tristoune d'avoir senti les choses avant la fin, mais franchement j'ai passé un très très bon moment. A tel point que je pense aller faire un p'tit tour chez Ikea! Car non, je n'ai pas encore lu les aventures du fameux fakir!!

Premier livre pour ma part de cet auteur. Que dire à propos de cette lecture ? Je l'ai trouvée agréable mais sans plus. J'ai eu du mal a m'accrocher à ce bouquin. L'écriture est jolie, les chapitres sont courts. L'auteur ne m a pas transporté dans son histoire. Livre plaisant mais sans plus. Je m'attendais à autre chose, une fin spéciale.

Un roman policier pour se détendre. le ton est léger, le rythme rend la lecture très facile et les personnages sont somme toute sympathiques.
Le twist annoncé dès le début est original, c'est vrai mais finalement assez décevant.
Je regrette beaucoup que l'auteur spoile dans son livre de nombreuses oeuvres comme le Meurtre de Roger Akroyd, le Crime de l'Orient Express, Des souris et des hommes, le Sixième sens...cela fait beaucoup et rares seront les lecteurs qui auront tout lu/vu de ces oeuvres et qui seront épargnés.
Au final, La Police des fleurs est un livre récréatif qui vous fera passer un bon moment mais que vous ne relirez sans doute jamais.

Depuis "l'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea", j'achete les autres livres de l'auteur à chaque sortie, mais je n'ai jamais retrouvé la magie de ce premier livre.....
Cet opus est plaisant à lire mais sans plus.

"Durant la canicule de l'été 1961, un officier de police de la grande ville est dépêché à P., petit village perdu dans lequel on vient de faire une macabre découverte : Joël, seize ans, a été retrouvé découpé en morceaux dans une des cuves de l'usine de confiture"

Un livre dont la couverture m'a attiré et dont le nom de l'auteur me disait vaguement quelque chose.

Ce n'est qu'après coup, que j'ai réalisé que l'auteur était celui qui avait écrit L'extraordinaire voyage du fakir qui était resté coincé dans une armoire Ikea, un livre qui m'avait laissé un ressenti mitigé car je pensais y trouver un humour plus caustique que celui que j'y avais trouvé.

C'est donc avec un peu d'appréhension que j'ai abordé ce livre au titre poétique.

Si j'ai, au départ, trouvé l'approche naïve, rafraîchissante, avec un petit côté pagnolesque, je me suis assez rapidement lassée. M'auront manqué le rythme et le côté sombre d'un bon polar. Malgré tout, j'ai apprécié l'originalité du dénouement de l'intrigue.

Je ressors donc à nouveau de ma lecture de cet auteur avec un sentiment mitigé. Mais pour le coup, c'est plus une erreur de casting de ma part car je suis certaine que ce livre pourra plaire à un public large et moins féru de littérature noire que je ne le suis.