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3,2

sur 219 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
J'aime beaucoup cette auteure,mais ce roman ne m'a pas convaincue.Je l'ai pourtant trouvé bien écrit,mais je n'ai pas été séduite par l'univers des habitants de cet immeuble,je n'ai trouvé aucun personnage attachant.Contrairement aux autres de ses romans,il ne me laissera pas un souvenir inoubliable.
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J'avoue que revivre mes propres journées par le biais de ces "desperate housewives" des années 60 ne m'a pas vraiment enthousiasmée. Je reste dubitative quant à l'intérêt de ce livre, je ne peux pas dire que j'en regrette sa lecture mais je n'irai pas jusqu'à le recommander . J'ai largement préféré "Terre des mensonges" donc je relirai d'autres titres d'Anne B. Ragde. Désolée pour celles qui ont adoré !!!
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Je pensais passer un moment sympa avec ce livre, dont le sujet un peu frivole allait me changer les idées. Mais, j'ai été plus que déçue. Les personnages défilent sous nos yeux, leurs vies mornes et désolantes aussi. le lecteur est en position de voyeur et est témoin de scènes parfois drôles, mais surtout désolantes, voire gênantes.
C'est bien écrit ! le style est sympathique ! Mais, on se perd avec tous ces personnages enfermés dans leurs appartements. On ne sait pas vraiment où on va (nulle part) et le livre s'achève de manière abrupte... Alors qu'on venait de changer de rythme dans la deuxième partie achevée bien vite.
Bref, au suivant !
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Voici un auteur que j'aime beaucoup mais je dois reconnaître un peu de déception pour ce roman, sans doute suis-je trop dans l'attente, enfin c'est de toute façon un bon livre mais pour moi un peu moins que « la ferme de Neshov ». L'histoire se passe dans les années 60 en Norvège, c'est l'arrivée de la société de consommation, chaque foyer désire le dernier aspirateur, le congélateur dernier cri…Nous nous promenons dans un immeuble de trois étages où nous faisons connaissance des familles de chaque palier. Les femmes ne travaillent pas à l'extérieur, il y a la dingue du ménage, la bimbo esseulée, la mère de famille nombreuse et les hommes dans leur pleine « virilité » que l'on attend, que l'on sert, que l'on craint et l'exception le père veuf qui néglige son enfant, qui passe des heures dans l'escalier que son père rentre du travail et ouvre enfin la porte de l'appartement pour dîner d'un repas frugal. Et un jour un jeune homme frappe à chaque porte pour proposer des judas, alors si la voisine en a acheté un, moi aussi et puis c'est tellement facile de mettre son oeil et de voir sans être vu. Trop de clichés à mon goût, toutes ces femmes qui ne vivent qu'à travers le ménage, les repas, les enfants et le mari. Alors si vous ne connaissez pas cette romancière, ne commencez pas par ce livre, elle a écrit tant de meilleurs romans. Nena
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Lu en Juin 2019
Livre découpé en trois parties. Tout se déroule dans un immeuble d'appartements.
La première partie traite d'histoires propre à chaque habitant de l'immeuble. Elle ressemble à un recueil. Les voisins communiquent entre eux, ce qui lie parfois les histoires. Parfois, il s'agit juste de salutations, de politesse. Parfois, il y a un réel échange. le lecteur retrouve des personnes déjà apparues plus tôt dans le roman. Il y a les commérages et les préjugés puis quelques histoires plus loin, le lecteur découvre l'identité de la personne concernée par les critiques d'un(e) voisin(e). Chaque petite histoire a un titre. Il apparait également en haut de la page.
La deuxième partie "Comme ça on évite d'avoir de la visite" traite d'un vendeur de porte à porte. Il rencontre les habitants présentés à la première partie.
La troisième partie "Les rats" parle d'une anecdote qui dévoile la solidarité entre voisins.
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J'ai tellement aimé les romans d'Anne Ragde, notamment La Tour d'Arsenic et la trilogie des Neshov, que j'attendais beaucoup de ce livre qui m'a finalement profondément déçue.
A Trondheim dans les années 1960, les habitants d'un immeuble vivent côte à côte à la poursuite de la modernité qu'ils pensent propre à leur apporter le bonheur. Les femmes sont frustrées et passent leur temps à faire le ménage, les hommes insatisfaits, égoistes et désagréables ou tout simplement malheureux. Entre la bombe du 3ème, la ménagère frénétique du rez de chaussée, il y a la coiffeuse anglaise, la jeune mère dépressive, la femme battue.
L'ouverture sur l'extérieure serait elle conditionnée par la pose de judas sur les portes palières ? Et le jeune ouvrier chargé de mettre ces accessoires en place , destiné à ouvrir la porte de la liberté ?
J'ai eu l'impression d'assister à un défilé de personnages sans consistance dans une présentation trop succinte qui ne permet pas de s'y attacher.
La ville de Trondheim, capitale de la Norvège médiévale qui est une véritable merveille architecturale, n'est qu'à peine évoquée et c'est bien dommage que l'auteur n'ait pas ici retrouvé le lyrisme des descriptions livrées dans le roman "Zona frigida"
Cette romancière qui est un des piliers de la littérature contemporaine norvégienne avait habitué ses lecteurs à faire beaucoup mieux!
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J'ai lu, j'ai lu, j'ai lu et attendais encore et encore. Et rien ne s'est passé hormis la chute finale comme pour le 1er tome des Neshov. Non, je ne dirai pas que c'est mal écrit. J'en arrive juste à la conclusion que les écrits de cette auteure ne sont pas pour moi, ou pas encore. Dommage.
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Si votre obsession première n'est pas de faire briller vos sols ou la tenue de votre intérieur, passez votre chemin, sous peine de vous ennuyer ferme dans cet immeuble norvégien des années 60, où le progrès fait son apparition et où les jeunes ménages s'équipent en électroménager, télévision ou téléphone. Il n'y a pas véritablement d'intrigue, nous suivons le quotidien de quelques familles. Les femmes, dont la préoccupation principale est de satisfaire leurs maris, s'occupent des corvées domestiques et des enfants tandis que les hommes ramènent l'argent à la maison. Ces messieurs sont dans l'ensemble insatisfaits, désagréables ou égoïstes. Les personnages ne sont pas attachants, j'avoue m'être plusieurs fois perdue dans les étages, ne sachant plus très bien de quelle famille l'auteur parlait. Si ce livre est intéressant sur le plan historique et culturel, et qu'il dresse le portrait d'une époque révolue, l'ensemble reste décousu et rasoir. Ce roman témoigne de l'évolution sociétale qui se dessine derrière le progrès, mais je n'y ai vu, moi, que peu d'intérêt.
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Je n'ai jamais lu livre plus déprimant, bien écrit comme d'habitude mais toutes ces histoires donnent plutôt envie de pleurer et de s'enfuir ...
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