Je viens d’entendre le cri nécrophile « Viva la muerte ! » Qui sonne à mes oreilles comme « À mort la vie ! » s’était écrié le philosophe, avant d’ajouter : Vous vaincre mais vous ne convaincrez pas. Vous vaincre parce que vous possédez une surabondance de force brutale, vous ne convaincre pas parce que convaincre signifie persuader. Et pour persuader il vous faudrait avoir ce qui vous manque : la raison et le droit dans votre combat. » Ses adversaires, fou de rage, avaient hurlé : « À mort l’intelligence ! »
Je viens d’entendre le cri nécrophile « Viva la muerte ! » Qui sonne à mes oreilles comme « À mort la vie ! » s’était écrié le philosophe, avant d’ajouter : Vous vaincrez mais vous ne convaincrez pas. Vous vaincre parce que vous possédez une surabondance de force brutale, vous ne convaincre pas parce que convaincre signifie persuader. Et pour persuader il vous faudrait avoir ce qui vous manque : la raison et le droit dans votre combat. » Ses adversaires, fou de rage, avaient hurlé : « À mort l’intelligence ! »
Vous vaincrez parce que vous possédez une surabondance de force brutale, vous ne convaincrez pas parce que convaincre signifie persuader. p. 372
Alice Clifford recelait des fêlures secrètes d'où naissait sa détermination. Elle était tenace et téméraire. Imprudente aussi. L'une de ces femmes précieuses qui suscitent le respect
Le passé est un terrain truffé d'appréhensions et de joies trompeuses.
Un pays dévasté à cause d'une guerre cynique et immorale, menée par la volonté d'un seul homme.
Elle avait la foule en horreur, cette masse malléable, élastique, qui pouvait de révéler d'une cruauté sans pareille.
Les régimes totalitaires avaient compris tous les avantages à en tirer.
Vous vaincrez mais vous ne convaincrez pas.
Vous vaincrez parce que vous possédez une surabondance de force brutale, vous ne convaincrez pas parce que convaincre signifie persuader.
Et pour persuader il vous faudrait avoir ce qui vous manque : la raison et le droit dans votre combat.
Il compris alors pourquoi Alice s'était enfuie parmi les rues berlinoises aux vitrines saccagées et ne lui avait plus jamais donné signe de vie. Ce n'était donc pas à cause de l'effet révoltant d'une Allemagne sanguinaire que parce qu'elle lui avait confié la clé de son être dans un rare moment d'abandon.
Elle avait constaté avec effroi que l'armée allemande s'apprêtait à envahir le pays. Voilà des semaines que les diplomates se débattaient pour trouver une solution acceptable pour les deux pays.