Les chevaliers d'Antarès, tome 9 : Justiciers

j'aime toujours lire Anne Robillard, l'écriture est fluide. L'histoire est prenante je n'ai pas vu les pages défilées.
Mais dès fois je trouve que l'histoire est un peu trop exagéré. Des personnages qui reviennent du royaume des morts, des sorciers qui deviennent plus fort que des dieux.
malgré tout ça, j'ai hâte de découvrir le prochain tome

Après la terrible tempête magnétique qui a recouvert l'ensemble du territoire d'Alnilam à la fin du tome précédent, nous suivons les nombreux personnages dans la reconstruction de leur environnement jusqu'à ce que la vie reprenne son cours normal. La routine s'installe donc à nouveau, aussi bien pour les protagonistes que pour le lecteur... Rien de nouveau donc, ou presque, durant une grande partie de notre lecture.

Comme d'habitude, on n'a le droit à quelques rebondissements et éléments nouveaux qu'à la toute fin. Ce tome reste dans la lignée des précédents : pas désagréable sans être passionnant pour autant, avec un manque d'action évident.

Je déplore en plus, dans ce tome, les nombreuses fautes grammaticales et d'accord ("je suis sûre" quand c'est un personnage masculin qui s'exprime, "je ne suis certainement pas le seul qui n'est pas rentré chez lui après la guerre", etc)...

Tome 9 de la saga.

Les sorciers se réunissent pour tenter d'améliorer le quotidien des habitants suite au tremblement de terre et aux tempêtes qu'il y a eu.
L'un des personnages du roman va revenir d'entre les morts et causer une grande surprise à travers les divisions.

J'ai trouvé qu'il y avait un peu moins d'action que sur les tomes précédents et cette action se passe essentiellement en fin de roman. Il faut donc être patient mais heureusement il se lit très vite.
Mon plaisir de lecture reste quand même identique sur cette saga, c'est pourquoi je poursuis avec le tome 10 sans m'interrompre.