ᗩᐯIS ᒪᕮᑕTᑌᖇᕮ •
📖: Les LOUVES de ROME T1 & T2 @
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🅜🅔🅡🅒🅘 encore Arria 🤍 pour ces SP et merci @ 𝗽𝗼𝘂𝗿 l'envoi !
J'ai pu découvrir avec plaisir les 2 tomes de cette romance historique et par la même occasion, la plume d'Arria, l'autrice, qui est fluide, intense, vraiment très bien détaillée, très instructive, surprenante et passionnée. Avec des personnages attachants,des personnalités très fortes, qui n'abandonnent pas ! On ressent tout le travail, les recherches faits par l'autrice pour nous offrir cette duologie très juste ! C'est une très belle découverte pour moi et j'ai hâte de la lire à nouveau !
Dès le T1, nous embarquons directement en l'an 34 après JC à Rome, dans l'ambiance de l'époque grâce aux descriptions très réalistes des décors, grâce au vocabulaire spécifique aussi. On apprend qui est qui et quel est le rôle de chacun dans ce monde où le pouvoir, l'honneur, violences et assassinats entre autres règnent. Car oui, là-bas, complots, trahisons, alliances stratégiques sont monnaies courantes. Mais surtout, nous assistons à la naissance d'un amour impossible pour cause de disparités sociale, mais si intense, incontrôlable entre la magnifique Laelia et le charismatique Kaeso, obligés de renoncer à leurs sentiments.. enfin vous verrez, rien n'est simple !
J'ai eu peur d'être un peu perdue au départ mais finalement non ! J'étais tellement dedans que l'ai dévorée cette histoire, je voulais vraiment savoir ce qu'il allait arriver à nos protagonistes. Et de l'action, il va y en avoir ! Et puis est arrivée la fin du tome, qui laisse planer un suspense intriguant, inquiétant !
J 'ai donc pu attaquer de suite le T2 que j'avais à portée de main ! Et c'est est franchement mon préféré ! J'ai adoré voir comment ont évoluées les choses, les personnages. Et là aussi, ça va être rythmé par moultes situations ! Là encore, on passe par une multitude d'émotions, de révélations, de rebondissements ! Je trouve qu'il y a clairement une maturité dans le récit, avec les personnages également. Franchement un deuxième tome parfait, même si j'aurais apprécié passer encore un peu de temps en leur compagnie!
Je vous laisse les découvrir et comme eux, ne perdez jamais espoir : Omnia Vincit Amor.
📖, Manon 🌹
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Laelia est la fille d'un sénateur, Kaeso est un guerrier, une histoire entre ces deux la est impossible.
Mais il aura fallu un seul égard pour que c'est deux la tombe fou amoureux l'un de l'autre, mais le destin a d'autre projet, enfin surtout la famille de Laelia....
J'ai eu quelques difficultés à rentrer dans l'histoire, à retenir les noms de chacun.
En effet les tria nomina à Rome sont de rigueur, notamment pour un citoyen romain.
Au fil du roman, un même personnage, notamment masculin, peut être nommé de différentes manières.
Je pense qu'au début j'étais un petit peu perdu à cause de ça.
Mais j'ai passé un très bon moment de lecture malgré ça, j'ai adoré me retrouver en pleine antiquité, à Rome.
Avec un couple qui montre un amour très fort, un amour impossible.
Laelia et Kaeso ne manquent pas de charme et même si leur histoire est voué à ne pas exister, on s'entête autant qu'eux.
On veut les voir heureux, on veut les voir ensemble...
La plume de l'autrice est très intéressante, elle nous propose ici une histoire d'amour sous fond de complot romain.
On ressent la recherche faite pour être au plus proche de l'époque et j'ai vraiment apprécié.
Le point fort de ce livre reste l'époque, c'est la première fois que je me retrouve durant cette période historique dans une romance, et c'est très original.
Je me suis déjà procurée la suite que je vais lire prochainement.
Je vous invite vivement à embarquer pour l'an 34 après J.-C.
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Bof, cela se lit car l'auteure a une plume agréable. Mais en fait c'est sur un quiproquo que je me suis lancée dedans. Je n'ai pas lu le résumé (honte à moi) et avec le titre, je m'attendais à une romance paranormale et historique. L'originalité du truc m'avait poussé dedans et en fait, j'ai passé toute ma lecture à chercher des louves et un truc un peu surprenant. de ce point de vue là, j'ai plutôt été déçue et en fait globalement aussi. Cela démarre plutôt bien cependant, avec des personnages intrigants mais dès que l'amour s'en mêle, le sexy et mystérieux tribun et la belle brune piquante et atypique (pour les femmes de la Rome antique) deviennent des idiots patentés et obsédés. Toute l'histoire tourne autour de cette histoire d'amour et les personnages secondaires, pourtant intéressants parfois, sont peu développés. Il y a bien une petite intrigue qui peut-être arrivera à rattraper la suite mais je n'en suis pas complètement convaincue.
A réserver aux amateurs du genre.
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Pétrifiée de stupeur, d’admiration et d’appréhension, la patricienne perdit son latin devant la singularité de la grotte et la beauté de l’eau sur laquelle glissait paresseusement sa barque et dont le bleu intense, d’une nuance qu’elle n’avait jamais vue ailleurs, était difficile de définir. Cette couleur ne pouvait qu’être la source de quelque magie impénétrable à l’œil humain et soulignait le caractère sacré de ces lieux divins. Avec un peu d’imagination, elle se serait crue dans un extrait des récits homériques, perdue auprès d’Ulysse dans les périples de son voyage, s’égarant dans les charmes de la magicienne Circé.
Sa bouche s’écrasa contre la sienne en guise de ponctuation et la dévora avec une fougue étourdissante qui lui fit perdre tous ses repères. En étouffant un gémissement de surprise contre les lèvres viriles, Laelia se raccrocha à ses larges épaules, vibrante d’un désir qui la rendait flageolante, ouvrit les lèvres sous l’intrusion d’une langue lascive et répondit enfin à ce baiser passionnément. Dans sa poitrine, son cœur ressemblait à une galère malmenée par les vagues impitoyables de Neptune, quand sa bouche découvrait pour la première fois de son existence le goût d’un homme.
Le corps gracieux de la jeune femme se plaqua contre celui du soldat et le contact de leurs deux chaleurs les embrasa sauvagement, surtout lui, en sueur et la proie d’un désir brutal qu’il ne pouvait évacuer en elle, comme il le fantasmait depuis si longtemps. En toute honnêteté, s’il n’avait été qu’une bête vorace et dénuée de scrupules, il l’aurait étendue sur le sol dès l’instant où il l’avait remarquée dans les corridors tamisés, vulnérable et ensorcelante dans ce bout de lin fragile, pour la posséder avec toute la passion qu’elle lui inspirait.
Sans préambule, il la plaqua ensuite contre son torse solide et l’embrassa avec ce désespoir passionné qui donnait le ton à leurs amours interdites. Leurs cœurs battirent la chamade, leurs pulsations explosèrent dans leurs tempes en répandant leurs vibrations jusqu’à l’extrémité sensible de leurs orteils. Le délice de cette étreinte se confondit à l’excitation d’être découverts, pris en faute dans l’abri humide et sombre de cette grotte, au risque de tout perdre pour cet instant de plaisir défendu.
Si on le comparait d’ordinaire à un pilier de marbre, sa solidité, sa hauteur et sa discipline lui donnant souvent l’air peu engageant, le tribun se sentit soudain d’argile et crut qu’un seul souffle de cette créature le réduirait à l’état de poussière. Elle donnait l’impression d’être aussi dévastatrice qu’une catastrophe naturelle, alors même qu’elle était si petite et délicate en face de lui, enveloppée tel un bouquet de fleurs fraîches dans quelques morceaux de tissus…