AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,51

sur 699 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Eileen et Simon sont amis depuis toujours. Alice et Eileen entretiennent une relation épistolaire. Alice tente l'aventure d'une vie de couple avec Regis, bien que tout les sépare. Alice est une autrice connue et célèbre, Regis partage sa vie entre l'entrepôt d'expédition de colis et ses soirées au pub. Tout au long du roman, nous assisterons aux échanges multiples, souvent à distance, jusqu'à ce que le hasard ou la volonté les ramènent à se rencontrer tous les quatre.

C'est surtout au travers de la correspondance entre Eileen et Alice que Sally Rooney nous propose sa vision du monde actuel, sur les thèmes des relations homme-femme, de l'amour, de l'amitié, de la religion ou de l'injustice et de la part de hasard qui construit les destins. Sans oublier les affres de la production littéraire et les conséquences de la célébrité.

Il règne dans ce roman une ambiance nihiliste certaine, sur le thème du c'était mieux avant, à présent tout est laid, tout est corrompu, et l'homme ne mérite pas d'être racheté. Certes la simple écoute d'un bulletin d'information suffit s'il en était besoin pour constater la dégradation de nos conditions de vie, mais le passé n'est pas forcément un paradis perdu.

C'est sombre, tristounet, et les quelques parties fines ne relèvent pas la marasme général.

Découverte de l'autrice, mais pas convaincue par le propos.

384 pages L'Olivier 19 août 2022

Lien : https://kittylamouette.blogs..
Commenter  J’apprécie          591
Où es-tu, monde admirable est un roman contemporain qui pose le problème de la vie dans notre société actuelle.

Sally Rooney a écrit un roman épistolaire relatant les échanges entre deux amies d'université, centré sur quatre personnages, un manutentionnaire, voyou au grand coeur, un attaché parlementaire, entre ange et démon, une écrivaine, riche mais esseulée et une assistante éditoriale, brillante mais sans but. Il est question de sexe, de politique, de religion, d'amitié, de culture, de relations familiales. La civilisation s'effondre, mais la vie dans ses individualités se poursuit.

Cette question est certes contemporaine, mais peut-être pas tant que cela : de tout temps, les jeunes ne vivent-ils pas à travers de grandes idées et les trentenaires ne s'assagissent-ils pas en revenant à des réalités plus matérielles ?

Ce roman m'a fait penser à Nos espérances d'Anna Hope sur le récit d'une vie trop ordinaire. J'aime qu'un roman ait un axe historique, géographique ou thématique en faisant sortir du quotidien, pour permettre de se questionner sur le monde et qu'il véhicule de fortes émotions qui laissent une marque à long terme. Je n'étais donc sans doute pas le bon public pour ce roman qui aborde par touches des sujets profonds à travers beaucoup de légèretés.
Commenter  J’apprécie          250
Chronique vidéo https://www.youtube.com/watch?v=wXDsmDSFKEQ

Je vais pas parler de déception, je ne sais pas si c'est le terme parfait, mais j'attendais que Sally Rooney se renouvelle un peu, ce qui n'est pas le cas dans ce livre. Autant, son style est encore dans une sorte d'épure ouatée que j'aime beaucoup, avec presque un côté didascalique (on voit qu'elle réfléchit en termes de scénographie, que les gestes et ce qu'ils véhiculent sont aussi importants que les mots). Mais ses personnages ont l'air d'être à chaque fois les fantômes de ses précédents livres, ce qui fait que, j'étais muée par un ennui poli dans celui-ci — j'y retournais pas en me pourléchant les doigts, quoi. Il y a le côté un peu agaçant du millenial tel que peint par un Christophe Barbier (tu as 33 ans, Sally !) (j'ai du mal à les concevoir de la même manière qu'elle — on a envie de les décoiffer avec leur sérieux neurasthénique) ; ils portent la misère du monde sur les épaules, parlent socialisme de manière amorphe dans des mails entre deux rendez-vous tinder aussi amorphes — est-ce que ça parle vraiment d'eux ? N'est-ce pas un moyen d'avoir la pastille « voix générationnelle » sur la jaquette de la couverture ? Enfin, elle pourrait avoir des personnages un peu différents pour changer ! Pourtant, il y a des choses qu'elle décrit bien, la gêne entre les personnes, les blancs, les silences, mais j'aimerais voir ça dans d'autres situations. J'aime sa singularité, j'aime comment elle peint l'imperfection des relations, l'incommunicabilité entre les gens, la solitude moderne, mais je ne peux m'empêcher de penser qu'elle pourrait tout aussi bien traiter les mêmes sujets avec d'autres profils (argument de très mauvaise foi, je le sais, elle a écrit un roman et je pleurniche parce que c'est pas exactement le roman que j'attendais, mais quand même que si, mais quand même que pas tout à fait).

C'est désaturé, inodore, on dirait une voix monocorde qui arrive pourtant à dire des choses profondes, à croquer un réel évocateur — le scrollage, les monosyllabes qui sont le langage usuel, l'environnement urbain sous plastique — et d'autres choses moins réalistes (ce qu'on pourrait appeler l'anxiété écologique par exemple, que je n'ai jamais rencontrée en vrai pour ma part, sauf dans des bannières de BFM pour parler de la jeunesse. La manière dont les conversations doivent forcément avoir une portée politique (que j'avais déjà trouvé agaçant de Conversations with friends — le côté « sommes-nous vraiment conscients de nos privilèges ? » qui a un fort potentiel memesque). Je sais pas, moi j'aime bien parler politique, mais je trouve qu'ils en parlent sans saveur, comme si on lisait un tract avec des dessins libre de droit, y a pas de passion, pas d'émotion, juste une éternelle remise en question, qui confère presque au nombrilisme. S'il y a cohabitation avec un mec, il faut qu'il y ait un historique de porno découvert et qu'on parle exploitation des femmes, si elle veut acheter un truc, elle va culpabiliser et penser à l'exploitation des pauvres, (et d'ailleurs, je m'aperçois que je dis elle de manière indéterminée, parce qu'à vrai dire, je ne sais plus qui est Alice et qui est Eileen tant elles se ressemblent.) Y a des scènes qu'on a déjà vu dans ses anciens livres, les scènes de sexe mi-figue mi-raisin où ils dévisagent le plafond (manque plus que la lumière qui perce à travers le store). D'ailleurs, les scènes de sexe, parlons-en. Je pensais que ça allait remettre un peu de couleurs dans tout ça, mais que nenni. Un aperçu du cul post metoo « Alice, je peux te demander si tu aimes faire des fellations ? Ce n'est pas grave si tu n'aimes pas. En retirant ses doigts de sa bouche, elle a répondu oui. Tu m'en fais une, si ça te va […] Tu veux venir sur moi ? a-t-il demandé. Elle a acquiescé. On garde nos vêtements ou on se déshabille ? » Derrière le message que le consentement, c'est important, y a une vision presque puritaine, dans le contrôle de la sexualité, qui nie le torrent que ça peut-être, et qui en tout cas, après Emma Becker, laisse de marbre. On peut quand même trouver un juste milieu, non ? On dirait Pascal Praud ou Elisabeth Levy qui écrivent une scène de cul pour se foutre du sexe post metoo. (je me souvient d'ailleurs que Quotidien disait pour un de ses autres livres qu'elle réinventait les scènes de sexe en plaçant la question du consentement au centre — elle a pris le compliment au mot et a forcé le trait jusqu'à devenir une caricature d'elle-même.

C'est aussi un hommage à la respiration en pleine conscience, que ce soit les scènes de sexe, les scènes de réflexion, les scènes de contemplation, y a toujours un moment où elles vont se concentrer sur leur souffle — ça en devient même amusant. Ou a la réactivité de la peau humaine, selon l'émotion, l'humidité ou la fraicheur de l'air. (que j'avais déjà noté dans Normal people)

Et donc voilà, un témoignage d'une jeunesse souffreteuse, ennuyée et ennuyeuse, privilégiée et culpabilisant de l'être. En tant que membre de la génération croquée je ne me suis pas du tout reconnu. Et c'est l'écueil que doivent éviter les voix générationnelles, celui de s'enfermer dans une peinture de moeurs irréaliste, avec des personnages doubles des personnages déjà peints ou de l'auteur. Sally Rooney est vu comme une ermite, ce serait bien qu'elle se mélange un peu à la foule pour trouver de nouvelles inspirations. En tout cas, ça me fait m'interroger sur la littérature, comment cela se fait-il que des livres restent définitivement fermés (je les imagine comme des planètes avec une atmosphère hostile) et que d'autres se fondent et fusionnent en nous ? Que certains soient une perte de temps et d'autres nous procurent un sentiment de gratitude ?

Car il parait qu'être écrivain, c'est essayer d'écrire à chaque fois le même livre, ben Sally Rooney, j'aimerais bien qu'elle prenne cette maxime moins littéralement.

Lien : https://www.youtube.com/watc..
Commenter  J’apprécie          200
Je sors du dernier roman de Sally Rooney tout à la fois intéressé, impressionné et parfois un peu...ennuyé.
Tout d'abord ce qui m'a frappé dans ce livre, c'est la capacité de Sally Rooney de penser et d'incarner notre époque, notre modernité. Interrogations sexuelles, complexités amicales, inquiétudes écologiques, réflexions sur le sens de la vie, condamnation du capitalisme, questionnement sur la place de l'art, il y a beaucoup de choses dans ce roman, peut-être parfois un peu trop car certains passages sont purement théoriques.
Nous suivons deux amies Eileen et Alice dans des chapitres consacrés à l'une ou l'autre, mais également dans leur correspondance.
le livre est très déconcertant parfois, les dialogues sont curieusement présentés et il faut parfois s'y reprendre à deux fois pour les saisir pleinement. Les personnages sont très bien campés et il me semble que c'est dans leurs relations amoureuses, sexuelles et amicales que le livre est le plus fort, même si parfois le lecteur a compris largement avant les personnages que ce qu'ils mettent des heures à se dire, c'est qu'ils ont peur de s'engager...
Aucune couleur locale irlandaise ou si peu, Sally Rooney est un peu de ce point de vue, le pendant transatlantique d'un Bret Eston Ellis qui mêle portrait de génération et incarnation de l'époque. Un livre parfois ennuyeux, , parfois prenant. Plus intéressant globalement que vraiment séduisant. mais tel n'est sans doute pas le but de Sally Rooney...
Commenter  J’apprécie          120
Un roman en partie épistolaire qui s'écoute un peu. Beaucoup de vent brassé entre des trentenaires certes consentants mais qui n'ont pas grand chose à dire. Je me suis ennuyée ferme pendant une bonne partie du récit. Dès le départ, Alice et Félix ne m'ont pas accroché : je les ai trouvés superficiels et peu attachants. Eilen et Simon m'ont plu davantage car leur amitié est profonde dès le départ. Mais leur relation reste longtemps enlisée.
Mais dans ce livre, tout est mis sur le même plan, la narration comme les réflexions des personnages. Un peu compliqué à suivre. Et puis ces trentenaires sont tellement « clichés ».
Bref, un livre qui ne restera pas dans les annales. Je me suis demandée si la traduction était maitrisée ou si le texte original était lui aussi un peu pénible à lire.
Commenter  J’apprécie          101
Un ami m'avait parlé avec beaucoup d'enthousiasme de Sally Rooney et son roman Normal People. Quand j'en ai eu l'occasion, j'étais donc ravie à l'idée de découvrir son écriture, même si c'était avec un autre livre. Et je dois dire que mon avis est mitigé.
J'ai trouvé les relations entre les personnages assez triste. le premier rencart Tinder entre Alice et Felix est réaliste. Triste mais réaliste. Et la suite de leur histoire l'est tout autant. Il y a peu d'échanges, pas la moindre étincelle, on dirait une relation "faute de mieux", et c'est triste. le sexe est triste aussi, bien souvent, dans ces pages. Côté Eileen et Simon, cela ressemble aussi à beaucoup de gâchis, ces gens qui ne savent pas se parler. Triste et réaliste aussi. Tout comme l'amitié entre Alice et Eileen, qui se disent meilleures amies, mais n'échangent pas de vive voix, se voient très peu, et ne donnent pas toujours l'impression de parler de l'essentiel, de ce qui compte.
Je ne dirais pas que je n'ai pas aimé, ni bien au contraire que j'ai été indifférente. Bien au contraire, cette lecture va me rester. Mais je n'avais pas envie de cette tristesse des relations en ce moment. Je trouve qu'il y en a beaucoup trop déjà dans la vraie vie.
Commenter  J’apprécie          70
Je n'ai pas été emballée par cette lecture. Je suis quand même allée au bout, parce que je voulais savoir ce qui arrivait à nos deux héroïnes. Mais je m'attendais à quelque chose de plus novateur. J'avais beaucoup entendu parler de cette autrice à la sortie de son précédent roman Normal People, qui a été adapté en série. C'est la raison pour laquelle je me suis penchée sur ce roman à sa sortie. Mais j'ai trouvé ça très anecdotique, les amourettes de nos héroïnes n'ont rien de très original. Et l'écriture ne m'a pas non plus paru particulièrement innovante. Les deux amies communiquent par mail, on a donc une partie du roman qui est constituée de leurs échanges de mail. Les dialogues sont intégrés au texte et ne sont pas matérialisé par un retour à la ligne et un tiret.
Voilà, j'ai lu les aventures amoureuses, certes très actuelles, avec rencontre par application, échange de SMS, de deux trentenaires. L'arrière plan social est aussi très contemporain, entre les questions politiques, la paupérisation des actifs, la perte de sens au travail, des choses comme ça. Mais à part ça...
Commenter  J’apprécie          70
Où es-tu, monde admirable/ Beautiful World, Where are you 2021
Sally Rooney
roman
traduit de l'anglais (Irlande) par Laetitia Devaux
Editions de l'Olivier, 2022 , 380p



Deux filles, deux garçons, la trentaine, entre Dublin et la campagne, dans un grand presbytère, à quelques 300 km de la capitale. Ce sont les années d'aujourd'hui avec le Brexit et la pandémie. Ces quatre personnes ne sont pas satisfaites de la vie qu'elles mènent.
Les deux filles sont les meilleures amies du monde ; l'une, Alice, écrivaine à succès, vient de faire une dépression psychiatrique, l'autre, Eileen, rédactrice dans une revue littéraire, et grande lectrice qui lit James, Dickens, Ginzburg, tandis qu'Alice lit Ernaux, et Simon, Anna Karénine, hommage est ainsi rendu aux écrivains, a une vie sentimentale chaotique, parce qu'un des garçons, Simon, qui travaille au Parlement, lui a fait une forte impression quand elle avait quinze ans, et demeure toujours dans ses pensées. le dernier des quatre, Félix, est un gars de la campagne, il a rencontré Alice par un réseau social, il travaille comme manutentionnaire, il ne semble pas avoir fait d'études, il aime sa chienne, c'est peut-être pour cela qu'il plaît à Alice, parce qu'il la change de son milieu littéraire.
Comme dit Félix, tous les trois sont des gens compliqués, lui aussi du reste. En tout cas, les quatre recherchent le bonheur, dans l'amitié, dans l'amour et la stabilité. Les deux filles correspondent par mails, et discutent, outre de leur vie quotidienne, de sujets comme l'amitié, la beauté, l'art. Simon est dans une attitude charitable, toujours gentil avec autrui, et Félix, brut de décoffrage, jette ses quatre vérités au visage d'Alice, détaille bien le physique d'Eileen, et ne se priverait pas d'une aventure avec Simon. Il se demande pourquoi ces gens, qui s'aiment tant, ont tellement tardé à se revoir.
le narrateur extérieur se complaît dans la description si précise des gestes de chacun, ouvrir le réfrigérateur, diriger le chariot dans l'entrepôt, fumer, des changements de physionomie. Il ne se passe pas grand-chose, et l'on s'ennuie en se demandant si enfin ce quatuor va régler ses problèmes, peut-être si les personnages lâchent leur portable qu'ils consultent à tout moment. Comme dit Eileen, le roman contemporain, à de rares exceptions, est sans intérêt. On repense à l'exergue, avec une citation de N.Ginzburg, qui dit qu'elle sait qu'elle est un tout petit écrivain, mais qu'importe. Heureusement qu'il y a la respiration de la mer, et les jeux de lumière.
Commenter  J’apprécie          50
J'ai tellement tellement tellement aimé le combo “roman + série” Normal People que je savais impossible d'égaler ce coup de coeur. Je ne me suis pas trompée.
Si on retrouve l'extrême justesse des analyses psychologiques que mène Sally Rooney lorsqu'elle dépeint ses personnages, leur génération et la société, je n'ai pas été touchée par leurs histoires… pour ne pas dire qu'elles m'ont laissée totalement indifférente. Je les ai trouvés un peu trop mélo… Un peu comme si elle avait repris ses personnages précédents (et dont je suis toujours amoureuse) Marianne et Connell et qu'elle les avait rendus prévisibles… ennuyeux.
Nécessairement générationnel, ce roman a pourtant manqué de luminosité, d'éclats, de finesse. Allant même parfois jusqu'à me donner l'impression de se transformer en leçon de morale. La relation au monde du travail, à l'amour, au sexe, à la politique, à l'écologie… Tout y passe et plus encore comme si l'ambition cachée de ce livre était de faire passer les théories propres au “bon trentenaire de 2022”.

En fait, j'ai apprécié sa lecture un peu comme on aime feuilleter un magazine people. Et ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : je ne compare ni la forme ni le fond des deux objets, simplement le ressenti à la lecture… Sorte de plaisir coupable… On aime ce qu'on lit, on se dit que c'est quand même une drôle de société que celle qui nous entoure, on se compare, on sourit de se reconnaître, on se rassure vachement en constatant que les autres sont bien plus tordus et compliqués que nous-mêmes… puis on pose le texte et on l'oublie.
Lien : https://www.instagram.com/p/..
Commenter  J’apprécie          54
J'ai choisi ce roman pour son prix Awards en Irlande avec l'espoir de plonger dans la vie irlandaise. Côté personnage, c'est un huis clos avec deux hommes, deux femmes, deux riches et deux fauchés. Peu de chose à l'extérieur : une fête banale, des regards sur la célébrité de « la riche », le frère de l'amant entrevu qui attend son héritage. L'amant de l'écrivaine, rencontré via un site va faire un petit tour à Rome, pour apercevoir, le métier de l'écrivain en promotion. Une première déception. Il est question de sexe et de questions techniques sur le sujet. le reste du roman se cantonne à des échanges verbaux ou par mail sur la complexité du monde : l'amour et/ou l'amitié, la religion avec ou sans croyance, la richesse et la difficulté financière ou professionnelle, le poids de la dépression, l'éloignement des amis, la beauté avec ou sans cosmétiques, etc. C'est bien long toutes ces prises de tête qui débouchent sur pas grand-chose. Un roman plaintif qui m'a semblé bien long.

Commenter  J’apprécie          40




Lecteurs (1563) Voir plus



Quiz Voir plus

Quiz de la Saint-Patrick

Qui est Saint-Patrick?

Le saint patron de l’Irlande
Le saint-patron des brasseurs

8 questions
251 lecteurs ont répondu
Thèmes : fêtes , irlandais , irlande , bière , barCréer un quiz sur ce livre

{* *}