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3,64

sur 180 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Je pense en toute honnêteté que j'aurai pu adorer un tel livre à sa sortie mais là le twist n'a pas fonctionné sur moi et j'ai trouvé l'écriture très mécanique. L'efficacité c'est bien mais je préfère l'émotion.
Avec ce roman, les braises n'ont pas prises.
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La lecture est facile et l'histoire se déroule bien. Les personnages sont attachants. le personnage du général Dun Cadal Daermon est particulièrement réussi, profond et beau dans ses défauts et ses contradictions. Je trouve qu'il y a encore du travail sur le personnage de Grenouille, encore un peu light, on sent que l'auteur veut le faire évoluer dans les tomes suivants.
L'histoire est un constant aller - retour entre présent et souvenirs de Dun Cadal et Grenouille. le récit est bien orchestré dans la première partie du livre mais devient un peu pesant dans la seconde partie... beaucoup de suspense dans l'histoire mais un peu essoufflé par des retours dans le passé moins bien amenés. Cependant voir l'évolution du vieux Général entre sa période de grandeur et sa décrépitude après dix années d'errance et de beuverie étoffe l'histoire.
J'avoue qu'en tant que maman il y a quelques passages assez durs notamment sur l'histoire de Grenouille et sa relation avec Dun Cadal, mais l'auteur ne se vautre pas non plus dans les détails de batailles sanglantes ce qui pour ma part est une qualité, savoir raconter et suggérer mais ne pas être trop cru est une qualité chez un auteur.
On trouve ici un premier roman assez réussi, pas parfait, pas renversant non plus, mais plutôt bien mené. D'abord parce que l'histoire tient la route et que l'on veut connaitre la suite. Je me demande d'ailleurs comment sera le tome 2 car on ne pourra pas retrouver le même schéma à deux temps que celui sur lequel repose l'architecture du tome 1. Puis, parce qu'on sent qu'il y a de la place pour que les personnages évoluent et pour que l'histoire prenne plus d'ampleur.

Jolie première fois pas transcendante mais agréable! Beaucoup de promesses à concrétiser dans le tome 2 du Livre et de l'épée.
Lien : http://chutmamanlit.blogspot..
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Si le cadre est extrêmement intéressant (fin de l'Empire, début d'une République balbutiante), que Dun Cadal est un personnage loin d'être lisse (mais pas toujours exploité au mieux), et que le procédé d'aller-retour présent-passé est géré de manière très fluide dans un procédé très cinématographique (au moins pour la première moitié, c'est plus grossier ou maladroit par la suite), ça reste au final assez classique.
Le style, entre le bon et le passe-partout, m'a provoqué une overdose de points de suspension (sérieusement, pas une seule page ne doit être épargnée, et il doit y en avoir quasi systématiquement à chaque dialogue).
Mais bon, le point le plus embêtant, c'est qu'on voit venir le twist du midpoint à des kilomètres (en fait, dès le début), si bien qu'une bonne partie de la seconde moité du roman perd énormément du sel qu'elle était censée avoir.
Une lecture sympathique mais au final assez quelconque, dont j'attends quand même le deuxième tome (en poche), mais je m'attendais vraiment à mieux vu comment Bragelonne l'avait poussé.
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Ayant débuté ma lecture avec un a priori plutôt mauvais (j'avais lu plusieurs critiques négatives de ce roman), j'ai finalement été assez gâtée. Certes, j'aurais une myriade de critiques à adresser à ce livre, que j'ai retrouvées en partie dans d'autres critiques : le duo principal reste trop campé sur ses positions pour évoluer avec efficacité, les personnages secondaires sont pour la plupart trop vite brossés, les personnages féminins sont réduits à de tristes décorations ; et les répétitions sont parfois lassantes entre les deux parties du roman. de plus, l'auteur réutilise à satiété les mêmes procédés, les italiques qui rapportent les fortes paroles de jadis, l'interruption d'un flashback par un appel dans le présent... des techniques qui ont fini par me lasser, à force d'être reprises.
En revanche, j'ai apprécié la construction intéressante du roman (en dépit des longueurs qu'elle crée), le style solide De Rouaud et l'intrigue bien ficelée. Sans avoir été conquise, j'ai finalement apprécié ce roman pour toutes les idées intéressantes que j'y ai trouvées.
Ma critique complète (et bien mieux organisée) se trouve sur mon blog (lien ci-dessous).
Lien : http://confiserie-des-livres..
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L'histoire est divisée en deux parties dont les chapitres sont bien calibrés : ni trop court ni trop long. C'est un chassé croisé entre présent et passé.

Dans la première partie, il s'agit de l'histoire d'un personnage, Dun-Cadal. Tout tourne autour de lui. Ainsi l'univers ou les personnages secondaires sont pas ou peu approfondis.

Ces flashbacks, qui sont au final au centre de l'intrigue, esquissent l'apprentissage du jeune grenouille dont il faudra attendre la seconde partie pour en connaître l'histoire.

Les scènes entre Dun-Cadal et son ancien apprenti Logrid sont les plus intéressantes de la première partie, créant un pont entre présent et passé. Il est d'ailleurs dommage que ne voulant se consacrer que sur deux personnages, l'auteur n'ait pas un peu plus développé celui de Logrid.

Il faut attendre la fin de la première partie pour voir apparaître un premier rebondissement en partie prévisible car logique. Ce dénouement est également la résolution de l'intrigue principale du roman. Enfin, c'est avec ce double rebondissement que l'auteur amorce la seconde partie du livre : l'histoire du personnage de Grenouille.

Les redites de la première partie sont en réalité passé assez rapidement, l'auteur se concentrant sur les pensées de grenouille ou les faits extérieurs de sa relation avec Dun. Ainsi, la répartition passé présent est un peu plus équilibrée dans cette seconde partie.

Le dénouement de cette partie et du roman est là encore assez prévisible et efficace. Il permet de relancer l'intrigue pour le second tome. le sort réservé à Dun, dans ce dénouement, peut laisser certains lecteurs quelque peu perplexe au vue de l'importance du personnage dans la première partie.

Pour finir, on peut saluer la prise de risque de l'auteur de faire un roman atypique non pas sur son fond mais sur sa forme. A voir si cela n'en décourage pas certain de lire la suite.
Lien : http://audelbooks.eklablog.c..
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J'ai beaucoup aimée le style d'écriture de ce livre. On se plonge véritablement dans le cheminement de vie de Dun-Cadal. C'est à la fois un témoignage touchant d'un personne aux certitudes inébranlable, et la vérité caché d'un enfant un sombre destin. Toutefois, je suis mitigée sur la fin. A mon sens, cela ne donne pas envie de lire la suite. le livre se termine là, avec tout ses composant résolu. Plus de mystère ou de réel rebondissant. On se doute que Laerte ne cessera jamais de suivre la voie de la colère. Je trouve ce premier tome trop prévisible.
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Je ne me reconnais ni dans les avis de ceux qui ont adoré ni dans ceux qui n'ont pas aimé. Je ne me suis jamais ennuyé, mais je ne me suis pas vraiment emballé non plus. Et comme le disait un ami, parfois c'est long un livre quand ne vient pas le moment qui fait tilt.
J'ai lu dans les critiques des comparaisons avec le sempiternel GRR Martin, Patrick Rothfuss et Scott Lynch. Pour une fois la mention des auteurs bankables du moment n'est pas totalement usurpée.
Comme dans le "TdF", on retrouve des complots, des jeux de pouvoir, des ambitions, des trahisons. Mais la Fantasy à intrigue existait avant GRR Martin, et cela me navre vraiment de devoir le rappeler trop souvent.
Comme dans "Le Nom du Vent", on retrouve un chroniqueur venu confronter un homme à sa légende dans une ambiance volontiers intimiste. Sauf qu'ici ce sont deux hommes confrontés qui sont confrontés à leur légende respectives et que le procédé existait bien avant Patrick Rothfuss.
Comme dans "Les Salauds gentilshommes", on retrouve une ambiance Fantasy à capuche avec d'incessants allers et venues entre le présent et le passé. Sauf que la Fantasy à capuche et la structure en flashbacks existaient bien avant Scott Lynch.
Perso avec cette jeune fille rousse venue chercher une vieille gloire désormais complètement déchue pour sauver un régime au départ idéaliste des intrigues qui le mine… j'ai pensé à la très bonne BD "Le Banni".

Oui mais non. Si on devait comparer Antoine Rouaud, cela serait à Pierre Pevel (d'ailleurs la compassion avec le tome 1 de "Haut Royaume" s'impose). Mais à l'image d'une Robin Hobb il a plutôt axé son roman sur les sentiments de ses personnages principaux comme l'avait fait précédemment chez le même éditeur Henri Lovenbruck ou Magali Ségura. Encore qu'entre Ancien Régime en perdition et République en formation, on sent bien qu'on pioche dans une certaine littérature romantique du XIXe siècle.
Car dans une ambiance très capes et d'épée, Antoine Rouaud transpose une tragédie à la Shakespeare, auteur auquel le naming fait des clins d'oeil (Oratio, Iago…), dans une révolution française fantasmée. Bien fantasmée d'ailleurs puisque la magie du Souffle fait inévitablement penser à la Force de "Star Wars" (il y a quelques situations ou des dialogues qui forment de sympathiques clins d'oeil). D'ailleurs le récit se développe autour d'une lutte entre impériaux rebelles donc acte !

Il brouille les pistes avec des inversions, mais difficile de ne pas voir derrière la révolte des Salines celle de chouannerie, derrière les hésitations d'Asham Ivani Reyes celle du roi Louis XVI et puis au final la récurrence de la phrase « ce n'est pas une révolte mais une révolution » est assez pour ne pas dire très explicite...
On oppose tout au long du roman quel que soient leur camp des gens qui ont des valeurs et qui se battent pour elles et des gens qui ont des intérêts et qui font se battre d'autres personnes à leur place. Tandis que d'un côté on navigue entre optimisme et désillusion, d'un autre côté on retrouve des émules de Fouché, Talleyrand et autres grands résistants de 1946 qui soutiennent un régime avant de trahir au moment opportun pour mieux se recaser dans le suivant… 0 conviction, 0 moralité comme la plupart des dirigeants actuels soit dit en passant.

Le récit se construit autour de la relation mentor / apprenti entre Dun-Cadal le général et Grenouille le chevalier : chacun de leur POV constitue une partie du roman. Ils se complètent ou se recoupent, chacun essayant de remplir le vide de son coeur et de son âme, chacun s'accrochant l'un à l'autre. Cette relation prendre la forme d'une structure en flashbacks à la "Lost" d'une belle fluidité qui ne se contente pas comme tant d'autres d'une alternance à chaque chapitre. Cela se lit si facilement et si rapidement qu'il m'a fallu quelques temps avant de comprendre que les phrases en italique étaient les signes avant coureurs d'un retour au présent…

Mais j'ai eu du mal à accrocher à leur basculement : la manière dont l'ancien assassin de l'empereur s'attache à Grenouille me paraît un peu forcée, et la manière dont Grenouille bascule du pacifisme à une quête de vengeance aussi. La galerie des personnages secondaires moins bien traitée est et c'est bien dommage : la haine au coeur de Logrid, l'homosexualité de Gregory de Page, l'esclave espion Rogant, le généralissime rebelle, le timorée empereur… auraient tous mérité d'être approfondis, sans parler des personnages féminins (Viola, Mildred, Esyld) qui frôlent la poticherie et les méchants trop brutes de décoffrage pour faire trembler un seul instant.
C'est d'ailleurs pour cela que je n'ai jamais réussi à me prendre au jeu : le worldbuilding est trop limité, le dramatis personnae est trop restreint et les différentes figures du roman manquent par trop de tassiture pour que le twist principal basé un gros whodunit ainsi que les autres rebondissements ne fonctionnent avec moi. Il faut malheureusement aussi signaler quelques maladresses qui n'aurait jamais du passer le stade des corrections : la métaphore de la grenouille d'Erain est trop appuyée, quelques tournures tombent à plat comme dans le discours des comices agricoles de "Madame Bovary", 7 regards torves certes, mais aussi des femmes qui sentent lavande et un suremploi des points de suspension qui hache certains passages…

Bref, Antoine Rouaud nous offre un 1er roman assez solide qui ne ménage pas ses efforts pour éviter les écueils du traditionnel tome d'exposition. Loin des stéréotypes voire des classiques du genre, il peut plaire au plus grand nombre : action et émotion, batailles et intrigues, fantasy épique et fantasy à capuche, thématiques politiques et religieuses, développement des psychologies et des sentiments… Un auteur qu'il va être intéressant de voir évoluer !
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Un livre agréable pour les vacances, mais il ne m'a surpris en aucune façon. En même temps j'ai tellement lu de fantasy qu'il est très difficile pour moi de trouver un livre ou un cycle qui parvienne à sortir du lot.
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Pas mauvais, voire bon, mais absolument rien de nouveau dans le paysage... à conseiller aux néophytes, largement superflu pour les amateurs du genre.
(critique détaillée sur la Yozone)
Lien : http://www.yozone.fr/spip.ph..
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Un grand général qui n'est plus que l'ombre de lui-même, c'est le point de départ de notre histoire. Depuis la chute de l'Empire qu'il servait avec dévotion, Dun-Cadal passe sa vie à se soûler au fond d'une sombre taverne. Jusqu'à sa rencontre avec une jeune historienne qui va faire revenir à la surface ces souvenirs qu'il aurait préférés oublier. Au fil de ses confessions, la situation va changer et la jeune République va se retrouver menacée.

C'est une histoire en deux temps que nous allons découvrir derrière cet ouvrage. Dans la première partie, nous allons découvrir le passé de Dun-Cadal, ce héros tombé dans l'oubli et qui a sacrifié sa vie pour un Empire qu'il aimait et respectait. Les batailles qu'il a vécues vont nous être raconté comme si leur narrateur les vivait une nouvelle fois avec une certaine intensité... jusqu'à celle qui faillit lui être fatale et qui mettra sur la route un jeune garçon, qu'il prendra sous son aile : Grenouille. Un passé assez sombre pour ce héros un peu malgré lui. Parallèlement à ces souvenirs, on va découvrir un peu mieux la Réplique dans laquelle nos personnages vont vivre leurs aventures : un groupe de notable la dirigeant... et qui vont bien vite se retrouver au coeur d'une série de meurtre. Crimes sur lesquels notre ex-général va vouloir lever le voile, tout comme le lecteur. Un récit qui se construit donc en deux époques qui s'alternent de manière assez régulière et qui a su me captiver, j'étais souvent très curieuse de retrouver dans le passé afin d'en savoir encore plus sur ce que nos personnages ont vécu.
Puis, il y eut la seconde partie, et là c'est un peu retombée comme un soufflet. On va poursuivre l'histoire toujours en compagnie de Dun-Cadal, mais aussi de Grenouille... Et là, nous allons revivre toutes les scènes du passé du général (que l'on connait déjà de la première partie) du point de vue du jeune homme. Une redite qui apporte certes de nouveaux éléments à l'histoire, mais sans plus. Après, je comprends le pourquoi du comment de sa démarche, ce qui dans le fond n'est pas une si mauvaise idée. du coup, je reste assez sceptique sur ce choix de construction.

En ce qui concerne l'univers dans lequel nous allons évoluer, il va surtout se concentrer sur une seule partie de ce monde : l'Empire et la République (qui au final sont identiques niveau géographique, mais organisé différemment d'un point de vue politique. Je dois dire que j'ai trouvé assez bonne l'idée d'une révolution qui a permis de changer radicalement le régime au sein duquel les personnages vont vivre. Certains détails sont un peu passés sous silence (par choix ?) mais au final le rendu est assez bon et je me suis totalement régalé dans ce pays.
Le roman appartenant au genre de la Fantasy, il était donc obligatoire de trouver de quoi le rattacher à ce genre. Et là, c'est un peu léger à mon sens puisqu'il n'y a qu'une seule chose que l'on peut y rattacher. Enfin, plutôt deux, j'oubliais les fameux dragons que Dun-Cadal et Grenouille vont croiser dans leurs souvenirs. Ces derniers ne font qu'un bref passage dans l'histoire, ce que je déplore un peu, je pense que l'on aurait pu les développer un peu plus au lieu de les réduire à de simples brutes épaisse qui apportent le chaos sur les terres où ils vivent. le second élément fantastique que nous allons croiser est un peu plus subtil et sera plus présent : il s'agit du Souffle, une sorte d'état second que les militaires atteignent et qui leur permet d'accroître leurs capacités. Si j'ai un peu eu de mal à le comprendre lors de sa première apparition, l'enseignement de Dun-Cadal à Grenouille nous permettra de mieux le cerner. Une sorte de don très utile pour ces personnages, mais qui n'est pas sans conséquence pour eux. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé le fait que s'il leur accorde de la puissance, il les faiblit par ailleurs.

Côté personnage, ils sont je dois le dire assez peu nombreux au final. Ceux qui nous resteront le plus facilement en mémoire seront Dun-Cadal et Grenouille dont nous allons découvrir le passé commun (ou pas) tout au long du roman.
Le premier était un grand général à qui tout souriait. Fier de servir son Empire et son Epereur, vivant toute sa vie sur les batailles qu'il n'a pratiquement jamais perdues. Puis vint sa chute et cette de l'Empire qu'il a tant chéri. Dun-Cadal devient alors un homme de l'ombre, mystérieux et renfermé qui attend son heure dans les tréfonds d'une taverne où il passe son temps à se soûler. Ah il est loin le beau héros connu de tous. Un peu bourru, c'est un personnage avec qui j'ai eu beaucoup de mal au départ vis-à-vis de son comportement, mais ce qui m'a encore plus dérouté est la facilité avec laquelle il va se confier à notre chère Viola. Pour un homme qui ne veut pas revenir sur son passé, je l'ai trouvé assez bavard. Puis vint le temps des révélations, et là notre regard sur ce personnage change radicalement et on le trouvera au final bien plus naïf qu'autre chose. Je reconnais également qu'à quelques reprises, j'ai cru retrouver un peu le même genre de personnage que l'on retrouve dans les romans de David Gemmell (un auteur du genre que j'aime beaucoup).
Grenouille est un jeune garçon dont nul ne sait rien. Il garde le mystère tout autour de lui tant sur son passé que sur son identité. Si l'on se doute un peu de certains éléments d'autres ne seront pas surprenant lorsque l'on découvrira l'histoire de son point de vue.
Les personnages secondaires de leur côté sont globalement agréables quoiqu'assez sous-exploités à mon sens et n'apporte que peu de choses à l'histoire. La majorité étant le plus souvent là à titre de prétexte afin de garantir l'enchaînement des évènements, mais sans plus.

Enfin, le style d'écriture de l'auteur est globalement satisfaisant. On suit les aller-retours dans le temps avec grand plaisir et l'on est curieux de voir à quel moment les deux époques vont se rejoindre. L'écriture est fluide et se lit assez rapidement malgré la densité d'informations qui nous est proposé. On notera également que les personnages ont un vocabulaire pas franchement fleuri lors de toutes les conversations (et je ne parle pas de certains de leurs comportements), si cela prête à sourire au début, cela en devient quelque peu lassant au final.
Lien : http://fantasy-princess.ek.l..
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