« Dans la mouvance de l’abstraction lyrique »
Maria Elena Vieira da Silva, (1908 – 1992) peintre portugaise naturalisée française en 1956, d’abord figurative dans le milieu des années 1930, elle ébauche son style en forme de patchwork qui la rendra célèbre. Souvent à la frontière entre figuration et abstraction, elle a illustré de nombreux livres et contribué au renouveau du vitrail (cf. vitraux de l’Eglise St Jacques à Reims) « Une connaissance intime et instinctive de la transparence. Première femme à recevoir le Grand Prix National des Arts du gouvernement français en 1966, elle fut également nommée Chevalier de la Légion d’Honneur en 1979. Son tableau testament : « Bleu pour mes amies et amis » : « Je lègue à mes amis, un bleu céruléum pour voler haut, un bleu cobalt pour le bonheur, un bleu d’outremer pour stimuler l’esprit ».
Musique : Franz Schubert « Stabat Mater D 383 » Aria (basse)
Maria Helena Viera da SilvaClaude Roy
Ars mundi
(01/01/1900)
/5
3 notes
Résumé :
L’exposition, composée de plus de quatre- vingt œuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale. « La perspective est une manière de jouer avec l’espace. J’ai beaucoup de plaisir à regarder l’espace, les rythmes. L’architecture d’une ville a des ra... >Voir plus
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Vieira da Silva (1908-1992).
L'exposition, composée de plus de quatre-vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale.
L'exposition, composée de plus de quatre- vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale. « La perspective est une manière de jouer avec l'espace. J'ai beaucoup de plaisir à regarder l'espace, les rythmes. L'architecture d'une ville a des rapports avec la musique. Il y a des temps longs, des temps courts. Il y a de petites fenêtres. Il y en a de grandes ».Durant la saison France-Portugal 2022 et avec le soutien de la Fondation Gulbenkian, le musée Cantini propose, en collaboration avec les musées de Dijon et la galerie Jeanne Bucher Jaeger, une rétrospective de l'oeuvre de l'artiste de renommée internationale d'origine portugaise Maria Helena Vieira da Silva (1908-1992).
L'exposition, composée de plus de quatre-vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale.
L'exposition, composée de plus de quatre- vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale. « La perspective est une manière de jouer avec l'espace. J'ai beaucoup de plaisir à regarder l'espace, les rythmes. L'architecture d'une ville a des rapports avec la musique. Il y a des temps longs, des temps courts. Il y a de petites fenêtres. Il y en a de grandes ».
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
L'exposition, composée de plus de quatre-vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale.
L'exposition, composée de plus de quatre- vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale. « La perspective est une manière de jouer avec l'espace. J'ai beaucoup de plaisir à regarder l'espace, les rythmes. L'architecture d'une ville a des rapports avec la musique. Il y a des temps longs, des temps courts. Il y a de petites fenêtres. Il y en a de grandes ».Durant la saison France-Portugal 2022 et avec le soutien de la Fondation Gulbenkian, le musée Cantini propose, en collaboration avec les musées de Dijon et la galerie Jeanne Bucher Jaeger, une rétrospective de l'oeuvre de l'artiste de renommée internationale d'origine portugaise Maria Helena Vieira da Silva (1908-1992).
L'exposition, composée de plus de quatre-vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale.
L'exposition, composée de plus de quatre- vingt oeuvres, illustre les étapes clés de sa carrière marquée par un questionnement sans relâche sur la perspective, les transformations urbaines, la dynamique architecturale ou encore la musicalité de la touche picturale. « La perspective est une manière de jouer avec l'espace. J'ai beaucoup de plaisir à regarder l'espace, les rythmes. L'architecture d'une ville a des rapports avec la musique. Il y a des temps longs, des temps courts. Il y a de petites fenêtres. Il y en a de grandes ».
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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