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3,72

sur 388 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
La Suède, l'autre pays du polar.
Emelie Schepp, récompensée récemment dans son pays, est l'auteure d'une trilogie dont, Marquée à vie est le premier volet.
Un haut responsable de l'immigration abattu, son présumé assassin, un enfant, retrouvé mort lui aussi, c'est une enquête difficile qui commence pour la police de Norrköping. Jana Berzelius est nommée procureure en charge de l'affaire.Une enquête qui va livrer bien des secrets et au cours de laquelle, Jana va se trouver mêlée étroitement.
D'ailleurs, qui est elle vraiment ?
La personnalité atypique et perturbée de son héroïne peut décontenancer le lecteur. Celle qui est censé être le personnage central de l'histoire, peut effectivement paraitre plus passive qu'active, un peu floue, ce qui laisse la place à une sensation d'inachevé, mais n'oublions pas qu'on nous annonce une trilogie.
J'ai refermé ce livre avec une seule idée en tête, le suivant, vite la suite... c'est addictif.
Pari réussi donc, pour celle qui est annoncée comme la nouvelle reine du polar suédois.
Emelie Schepp, retenez bien ce nom.

Merci à Babélio et aux Editions Harpper Collins pour cette belle découverte.
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Découverte d'Emelie Schepp, nouvelle auteure suédoise, jolie jeune femme au demeurant, qui vient renforcer encore l'impressionnante cohorte nordique d'écrivains de polars. Ah, le polar…toujours un problème pour moi que les romans policiers n'emballent généralement pas pour deux raisons essentielles : la pure qualité littéraire, les belles phrases poétiques ou riches de vocabulaire imagé ne sont pratiquement jamais au rendez-vous (et après tout, cette littérature n'est pas faite pour ça), et d'autre part, je n'aime pas me prendre la tête sur des intrigues trop compliquées pour mon sûrement trop modeste QI doublé d'une capacité de concentration en dents de scie. Cependant, j'aime bien de temps en temps tenter l'aventure. Merci donc à Babelio et Harper Collins de m'avoir offert cette nouvelle livraison.

Sans résumer l'histoire, disons que l'héroïne, procureure à Norrköping, est confronté au meurtre par balle à son domicile du directeur de l'Office d'immigration, Hans Juhlén…dont on découvre assez vite qu'il a dû être tué par un enfant, mais aussi qu'il abusait de femmes immigrées en leur faisant du chantage, faveurs sexuelles contre papiers. On l'a supprimé parce qu'il en savait trop sur un système criminel bien en place, gênant toute une nébuleuse locale (trafiquant, exploitant et tueur, secrétaire, ami…). La brigade criminelle va déployer son enquête…mais Jana Berzelius revoit de curieuses images, comme des flashs du passé, d'une petite fille sortie d'un container maritime devenue orpheline suite à l'exécution de ses parents, sous ses yeux, et déjà entourée de sang, de mort et de violence, conditionnée et entraînée au combat pour user de cette violence aux côtés d'autres enfants…Or Jana porte sur la nuque une scarification, un prénom, Kér…Et si ces flashs étaient des souvenirs ? Au fur et à mesure, Jana comprend qu'elle est directement et personnellement impliquée dans cette histoire, qui pourrait bien être la sienne. Au risque d'encourir de gros ennuis, elle va mener une enquête solitaire et parallèle, pas toujours très orthodoxe ni très réglo…

Je sors de cette lecture avec une assez bonne impression générale.
Parmi les bons points :
- une intrigue originale, dans l'air du temps car mêlant le thème classique du trafic de drogue avec le sujet brûlant d'actualité des clandestins et notamment du sort des enfants, exploité par des adultes sans scrupules.
- L'angle de traitement est original : nous suivons une procureure, et non une policière, Jana Berzelius, en apparence une sorte de fille à papa puisque ce dernier fraîchement retraité officiait déjà dans ces fonctions. Cela nous change du flic quelque peu caricatural, solitaire, alcoolique et/ou misogyne auquel nombre de maîtres du polar nous ont habitués.
- Autre parti pris intéressant, l'auteure suit au travail une équipe d'une demi-douzaine de policiers et autre médecin-légiste, personnages parfois typés comme Mia Bolander, flic mal dégrossie, fauchée et volontiers faucheuse d'ailleurs, jalouse de Jana, ou ce couple instable formé par deux des membres de l'équipe. Cette approche a le mérite de colorer le récit et de relâcher un peu la pression, et surtout de mettre en valeur le caractère collectif du travail d'enquête criminelle.

J'ajoute que le rythme est soutenu, que les chapitres courts voire très courts, ainsi que le système d'alternance entre le temps présent de l'enquête et les flashs nous ramenant dans le passé dans la tête de la petite fille dynamisent le récit. On ne s'ennuie pas. L'intrigue me semble bien menée et pas trop complexe.

Cependant, cette histoire manque un peu de sel, d'effet de surprise. de plus, si en soi une telle histoire pourrait pourquoi pas exister dans la réalité, tellement les hommes sont capables d'exploiter la misère humaine et les enfants pour des buts cupides et criminels…j'ai eu parfois du mal à croire au double visage de Jana : la belle femme bien comme il faut et un peu raide et froide, qui maîtrise ses nerfs à merveille et ne semble pas sportive aux yeux de ses collègues…et celle qui hérite d'un bien lourd passé dont encore une fois je tairai les détails, et dont les pratiques actuelles en sous-main sont assez glaçantes.
Le contraste est tellement fort que la crédibilité de l'histoire en prend un coup. Au passage, si les thèmes des trafics de drogue et d'enfants clandestins sont présents et mêlés, c'était une bonne idée, ils ne sont finalement traités que très superficiellement. On croit déduire que le trafic d'humains via les containers dure depuis plusieurs décennies, mais c'est bien vague, et surtout on ne sait pas quelle est l'origine géographique de ces immigrés qui accostent en mer baltique. Vu l'actualité, j'aurais attendu un traitement plus ambitieux, plus instructif, s'appuyant peut-être sur l'existence de filières de passeurs ou autre…en fait, lorsque Jana se lance dans sa propre enquête, elle devient peu à peu l'unique vedette d'un film d'action ou des scènes de bagarres et traîtrises viennent supplanter les aspects plus psychologiques, ce que j'ai regretté.

En conclusion, j'ai passé un bon moment de lecture, mais pas au point de me convertir en fan de polars…Mais encore merci à l'équipe de babelio pour sa confiance, et à l'éditeur Harper Collins.
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Une belle découverte que cette auteure. Pris par hasard dans une bouquinerie à cause de la quatrième de couverture alléchante, je ne suis pas du tout déçue. Il faut dire également que le fait d'avoir un enfant meurtrier n'est pas si commun dans les lectures que je fais… d'autant plus intéressant ! Et au fil de la lecture, on se rend bien compte que ça cache une histoire encore plus horrible. Je n'en dis pas plus, parce que… ben ça gâcherait votre plaisir de découvrir ce bouquin. J'ai bien également la construction des personnages, pour qui la part d'ombre et parfois aussi grande que la part de lumière. Bref, une bonne lecture !
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On présente déjà Emelie Schepp comme «la nouvelle reine du polar suédois». Sans aller jusque-là, il faut bien reconnaître que ce premier thriller à mettre en scène la procureure Jana Berzelius s'inscrit avec un vrai pouvoir addictif dans la lignée des Viveca Sten et des Stieg Larsson. du reste, le scénario emprunte la géographie de l'une et l'histoire de l'autre. Nous sommes à quelques kilomètres de la Baltique et ses centaines d'île, dans un port propice à tous les trafics, de l'alcool à la drogue en passant par les êtres humains.
Le récit débute par la découverte d'un cadavre. Hans Juhlen, le chef du service de l'immigration, est retrouvé assassiné à son domicile par son épouse. Les déclarations contradictoires et les mensonges avérés de cette dernière ne seront toutefois pas suffisants pour l'inculper. D'autant que des empreintes digitales et les enregistrements d'une caméra de surveillance mettent en cause un enfant.
Quand un peu plus tard, on découvrira le cadavre d'un garçon sur la plage, il sera aisé d'établir que ses empreintes coïncident avec celles trouvées sur le lieu du crime.
Toutefois, la découverte du meurtrier de Hans Juhlen pose davantage de questions qu'il n'en résout. Quel est le mobile du crime ? Qui s'est débarrassé du garçon ? Que signifie l'inscription «Thanatos» gravée dans la nuque de ce second cadavre ?
Jana Berzelius pourrait peut-être apporter un début de réponse à l'équipe de police de Norrköpping chargée de l'enquête. Car sa nuque porte également une inscription de ce type. Les trois lettres «Ker» qu'on y a gravé sont aussi issues de la mythologie grecque, Ker ou plus précisément les Kères étant les soeurs de Thanatos, dieu de la mort. Il se trouve cependant que la procureure n'a aucun souvenir de l'époque où elle a été ainsi Marquée à vie.
Le lecteur, quant à lui, peut prendre un peu d'avance sur les enquêteurs. Emelie Schepp insère en effet le récit originel – l'arrivée de clandestins dans un container sur les côtes suédoises – au fil de l'enquête, si bien que l'on comprend très vite que Berzelius est le nom des parents adoptifs de Jana et que son parcours est bien loin d'être aussi lisse que ses collègues peuvent le penser, elle qui a pris la succession de son père dans la fonction.
L'enquête va dès lors se dédoubler. On découvre d'une part que Hans Juhlen possédait lui aussi une part d'ombre, usant de son pouvoir pour forcer les immigrées à avoir des relations sexuelles avec lui, contre la promesse d'un permis de séjour. Jusqu'au jour où le frère d'une victime décide de le faire chanter après avoir pris des photos compromettantes. Sa femme se chargera de payer les 40000 couronnes mensuelles réclamées en échange du silence du maître-chanteur.
Dans l'ordinateur du fonctionnaire-violeur une série de chiffres et de lettres intriguent aussi les enquêteurs. Ils finiront toutefois par trouver la clé de cette énigme : ces codes sont des immatriculations de containers venant du Chili et qui ont mystérieusement disparu.
Jana, qui depuis le choc de la découverte de «Thanatos» mène sa propre enquête, va finir par retrouver son histoire ainsi que les acteurs du drame qu'elle a vécu. Au fur et à mesure que le filet se resserre sur les commanditaires des crimes, il va lui falloir jouer sur du velours. Pourra-t-elle assouvir sa vengeance avant que les enquêteurs n'arrêtent le chef du réseau ? Ne va-t-elle pas finir par devoir tomber le masque et révéler qu'elle fait partie des victimes de ce réseau ?
Avec un vrai sens de l'intrigue et quelques rebondissements qui viennent contrarier l'évolution par trop prévisible de l'enquête, on comprend que ce thriller ait trouvé un très large public et qu'il soit traduit dans près d'une trentaine de pays. le personnage de Jana Berzelius, qui a dû se construire après l'assassinat de ses parents et une éducation au meurtre – il fallait tuer pour survivre – offre en outre suffisamment de coins secrets pour rendre non seulement cette enquête passionnante, mais également la suite que l'on attend déjà avec impatience !
Lien : https://collectiondelivres.w..
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Dans ce polar suédois a deux temporalités, j'ai été captivé par l'intrigue dès le début. Bien qu'écrit il y a quelques années, les thèmes (que je ne veux pas spoiler) qui émergent de l'histoire sont -malheureusement- toujours d'actualité.
Les personnages ne sont pas des super-flics mais des hommes et femmes avec leurs caractères, leurs failles et leurs particularités. Celle qui sort du lot, c'est la procureure Jana Berzelius, la protagoniste. Une femme froide, distante, sombre pour laquelle on ne ressent -à priori- pas beaucoup de sympathie. Ce n'est que quand son passé émerge peu à peu du brouillard, expliquant ses actes (condamnables ! mais compréhensibles) et pourquoi elle est devenue ainsi, qu'on s'attache à elle.
Malgré quelques improbabilités, ce premier tome à l'écriture fluide et dans lequel le rythme croissant et les rebondissements de la deuxième partie augmentent encore la tension, est pour moi, un bon début d'une série que j'aimerai suivre.
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Encore une belle découverte de polars scandinaves.

Ici, une touche d atypisme car la saga qui commence avec ce roman s'articule autour de Jana Barzellius, procureure.

Alors qu'elle est appelée sur une scène de crime, ses cauchemars l assaillent et l'amène à revoir les choses : et si c'était des souvenirs, que cela veut il bien dire ?

Un meurtre et pour suspect principal un enfant autour de 8 à 10 ans. Un enfant qu'on va retrouver lui aussi assassiné d'une balle dans la tête. Mais ce n'est pas tout : cet enfant est marqué à la nuque par le nom d'une divinité.

Et c'est là que Jana bascule car son secret est qu'elle aussi est marquée dans la nuque du nom d'une divinité mais alors pourquoi ne se souvient elle pas ?

De fil en aiguille on avance dans l enquête et dans le passé de Jana qui ne manque pas de sang froid si j'ose dire.

Un personnage central ambigu avec laquelle j'ai eu un peu de mal à l attachement et pourtant, pourtant j'ai envie de connaître la suite.

Bonne lecture à vous.
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Je ne connaissais pas l'auteur. Une promo, ma curiosité piquée au vif, me voilà partie dans la lecture de ce policer.
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dedans mais après quelques chapitres, je me suis laissée happer par l'histoire, son horreur. La fin m'a un peu déçue car trop rapide à mon goût.
En conclusion, je dirai que c'est un livre qui se lit bien mais qui pour moi n'est pas équilibré entre ses différentes parties.
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Ayant été sélectionnée pour lire Sommeil blanc, le dernier né d'Emelie Schepp, je me devais de lire le premier volume de sa trilogie avant tout: Marquée à vie.

Jana Berzelius est procureur, une femme qui a de la classe, une parfaite maîtrise de ses émotions et de sa profession. Mais ses nuits sont cauchemardesques avec des rêves atroces d'une enfance mystérieuse. Et si ces rêves étaient la réminiscence d'un passé oublié?
Surtout quand un enfant retrouvé assassiné, suspect du meurtre de Hans Juhlén, haut fonctionnaire de l'Office d'immigration en charge des dossiers de demande d'asile, porte le même de scarification qu'elle…

Étant assez frileuse, une fois n'est pas coutume, avec les auteurs du Grand Nord, j'aborde toujours un nouvel auteur avec précaution par peur de tomber sur une plume trop lente. Mais là, quelle excellente surprise!

Deux histoires se croisent et s'entrecroisent: l'enquête sur l'assassinat et les révélations sur la vie privée de Jana.

L'occasion de tracer le portrait d'un personnage charismatique qui se révèle bien plus complexe au fil des flash backs et des découvertes de l'enquête: Jana.
Comme dit plus haut, c'est une belle femme, froide, professionnelle, tout en maîtrise de soi, élevée au sein d'une famille aisée mais peu démonstrative. Ses relations sont tendues et si Jana éprouve la nécessité de s'adapter à des comportements sociaux classiques, elle est fondamentalement solitaire et un poil asociale.
J'adore!

Par le biais de l'enquête, nous découvrons une équipe de flics bien sympathique:
Gunnar Öhrn, chef du Département des enquêtes criminelles, est un anxieux un brin maniaque, qui ne cesse de rompre et de se rabibocher avec sa compagne, Anneli Lindgren, de la police scientifique.

L'inspecteur en chef Henrik Levin adore son boulot mais doit filer droit avec sa femme et ses deux enfants qui lui réclament plus de temps et veillent à ce qu'il ne prenne pas trop de liberté.

Et Ola, le geek de service, discret, alors que le lieutenant Maria Bolander, Mia pour les intimes, en fait des tonnes…

J'aime beaucoup la misogynie affichée par Mia envers Jana, un reflet très fidèle de beaucoup de relations féminines! le jugement à l'emporte pièce de Mia est teintée d'agressivité et donne lieu à des échanges savoureux, n'ébranlant en rien la confiance en soi de Jana qui toise sa collègue avec une indifférence polie. Mia est une femme paumée, pas très honnête, instable, un brin vulgaire et toujours fauchée. L'exact opposé de Jana qui renvoie l'image d'une femme de caractère, droite, altière et posée.

L'intrigue est originale et captivante. Un enfant meurtrier, ce n'est pas banal. Et la victime soulève un tas de questions qui relèvent davantage d'un simple abus d'influence de part sa profession. le trafic révélé est horrifique et surprenant. Entre drogue et immigration, les découvertes réalisées au fil de l'enquête mettent à jour une organisation d'ampleur insoupçonnée et déstabilisent nos enquêteurs.

Cela ne m'a pas gênée de faire rapidement la relation entre le passé de Jana et l'enquête, au contraire, j'avais hâte de tourner les pages pour ajouter les petits détails à sa trame personnelle. Et découvrir que Jana n'avait pas qu'une tête bien faite mais aussi des aptitudes au combat qui dépoussièrent son travail de bureau est le top pour poser la miss tout en haut de mes personnages féminins livresques préférés avec Eden de Candice Fox ou Lise de Jacques Olivier Bosco!

Suspense et revirements de situations avec un rythme nerveux, le ton est donné pour cette trilogie et je suis conquise!
Je ne vais pas me faire prier pour enchaîner avec Sommeil blanc!
Lien : http://livrenvieblackkatsblo..
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Attiré par les bonnes critiques sur ses livres ,
j'ai voulu découvrir cette écrivaine .
Tant qu'à faire , autant commencer par son premier roman .
On est plongé dans l'action dès les premières pages .
Pas un seul temps mort ; je ne me suis pas ennuyé un instant .
On découvre la personnalité et le passé hors-norme de la procureure Jana Berzelius . En chapeautant l'enquête sur le meurtre d'un haut-fonctionnaire , elle va revivre son enfance et trouver des explications
à ses cauchemars . On découvre aussi peu à peu la vie personnelle
des policiers mais sans que ce soit pesant .
Le seul bémol que je puis apporter est le nombre de personnages ( et leurs noms suédois ....) .
En résumé , un bon premier livre d'Emelie Schepp qui donne envie de poursuivre la série .
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Je crois que le qualificatif le plus approprié à ce thriller est efficacité.
Un piege pour ne pas aller se coucher,
Je veux finir,
Je veux savoir....
Addictif sera aussi un bon terme.
Je n'ai pas trouvé une prose élégante, avec de bons mots à reprendre avec plaisir dans une citation, juste des mots simples, de la psychologie et une remontée dans le temps et dans la mémoire.
De la drogue, du trafic de drogues bien sûr mais aussi du trafic d'êtres humains.
C'est une trilogie alors ... nous attendrons encore quelques temps pour pouvoir renouer tous les fils de l'histoire.
Ce sera bien agréable de retrouver Jana, avec ou sans mémoire.
Sommeil blanc vient de sortir alors à bientôt pour la suite.
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