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Et si on faisait le coup de la panne en ce dernier jour de 2020 ? Pas la panne d'essence mais la très grosse panne d'internet ? En débranchant des câbles qui passent dans la mer ou sur terre près des Data Center ? C'est l'idée de quelques personnages de ce roman. Birgit, la Danoise, qui propose un usage d'internet plus responsable, Pénélope qui fabrique des produits cosmétiques bio et les mets en vente sur ce réseau, June, l'américaine d'origine coréenne, qui vit en trouple avec Evan et Oliver est programmatrice, Kuan qui travaille sur le port à Shanghai et son fils Lu Pan qui reste constamment dans sa chambre à créer des jeux vidéos. Tout ce petit monde va se préparer pour mettre en pratique cette idée complètement dingue. Ils ne sont pourtant pas contre ce réseau planétaire mais veulent voir ce que cela ferait si internet n'existait plus...retour au début du 20e siècle.
Même si je ne suis pas une férue d'informatique, comme beaucoup de monde, j'utilise internet via le téléphone portable pour faire cette critique sur le site de Babelio. Maintenant que nous avons pris l'habitude de l'utiliser, il serait plus difficile de s'en passer. Et là, je ne parle que de l'usage domestique et privée mais à l'échelle des entreprises, à l'échelle mondiale, cela serait catastrophique.
Ce que j'ai bien aimé dans ce livre : c'est la prise de conscience des humains face à internet. Cette pollution numérique que l'on développe en utilisant le réseau. Rien qu'en envoyant un mail professionnel, la signature électronique pollue énormément autant qu'un trajet en avion Paris New York !. Si c'est vrai, et je pense que cela l'est, c'est énorme !
Ce roman que je qualifierai d'anticipation, est très bien écrit et documenté. le fait d'avoir lu ce livre les derniers jours de l'année 2020 donne une dimension encore plus forte et irréelle à la fois.
La narration qui se découpe en quatre parties, donne un rythme au récit : d'abord très technique et lent et plus on s'approche de la fin, le rythme s'accélère jusqu'au compte à rebours.
Je vous le conseille bien volontiers.
Bon réveillon à tous !
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Tout part d'un câble déroulé au fond de l'océan et que l'auteure nomme FLIN mais on l'oubliera un peu par la suite pour s'intéresser à tous ses semblables qui permettent à cette fameuse toile de rayonner un peu partout sur notre planète.
En nous mêlant au quotidien de quelques personnages vivant dans des lieux très éloignés, Aude Seigne réussit un roman à lire absolument pour prendre conscience de la réalité de l'internet et des risques encourus en cas de panne géante.
Pendant que Pénélope et Matteo survolent l'Inde, à Portland (Oregon) : « June conçoit le matin, réalise l'après-midi. » Avec Oliver et Evan, ils forment un trouple. Au Danemark, Birgit milite dans une ONG pour un usage responsable d'internet. Enfin, Kuan orchestre les mouvements des bateaux, de Shanghai à Singapour. Il voit passer 90 000 conteneurs par jour alors que son fils, Lu Pan vit enfermé dans sa chambre, passant sa vie sur internet où il est une star.
Au fil des pages, est distillée la réalité d'un usage qui nous paraît de plus en plus normal et que nous exigeons en oubliant toutes les conséquences subies par l'environnement.
Pendant que Matteo installe des câbles en mer de Chine, Evan visite un data center en Californie où le plus gros problème est de refroidir l'air chaud dégagé par son fonctionnement. Mais le pire est en Chine, en Mongolie intérieure, à Baotou, où Kuan constate : « À Baotou, on dirait que deux tendances sont poussées à leurs extrêmes : la pureté de l'harmonie mathématique et ses forces de destruction. » C'est là qu'on extrait ces fameuses terres rares. Un lac toxique voisine la ville. On y déverse les déchets des matières premières extraites dans la région ce qui a un impact terrible sur la santé des habitants.
Une question se pose : « Comment se fait-il que la région soit si peu connectée alors que la plupart des matériaux, qui constituent internet - le germanium des fibres optiques, l'indium des écrans tactiles – viennent d'ici ? »
Birgit explique à June : « Et parce que être connecté devient aussi naturel que respirer de l'oxygène, les gens pensent que c'est immatériel, qu'il n'y a pas d'impact sur l'environnement. »
Arrive alors la quatrième partie, la plus romancée : un monde vivant depuis cinq mois sans internet suite à une série de sabotages. Les conséquences sont multiples, certaines bénéfiques, d'autres terribles. Une toile large comme le monde a le mérite de nous ouvrir les yeux.

Enfin, le fait que l'auteure, Aude Seigne, fasse partie du collectif AJAR n'est pas anodin. Cela se ressent dans son écriture, précise, elliptique parfois mais toujours captivante donnant un roman étonnant.


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Qui n'y a pas songé parfois, de débrancher Internet, ce réseau chronophage, vecteur de nouvelles violence et de nouvelles pollutions ? Mais sans penser ni que se soit possible ni réellement souhaitable.
Mais c'est ce que vont coordonner 4 personnes, dont les métiers dépendent pourtant du réseau. Et hop ! retour au XXème siècle !
Si l'idée est intéressante et interroge vraiment notre usage et notre rapport au réseau (et le temps qu'on y passe, touça touça) je trouve que le roman d'Aude Seigne manque de vie et d'incarnation. Les personnages ont des trajectoires, mais pas de corps, ils sont désincarnés et j'ai eu du mal à m'y attacher pour les suivre (sauf peut-être Birgit, celle dont on connait le plus la vie, les aspirations et les envies) ; le câble FLIN a plus de consistance. Sans doute est-ce voulu. Ce qui est bien réussi en revanche, c'est de montrer le manque d'anticipation de ce que cause la rupture du réseau : même ceux qui en dépendent ne se sont pas rendu compte de toutes les implications de leurs actes. Et ça, c'est quand même une grande force.
En fait, le roman fourmille de bonnes idées qui auraient toutes pu être développées : les conséquences de la déconnexion, l'intrication de nos vies dans le réseau, la désincarnation des relations... Mais il manque un souffle épique qui aurait achevé de me convaincre complètement.
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Ce roman laisse après lecture un sentiment étrange, notre monde actuel tellement fragile, pour tout dire artificiel semble à la merci de milliers de câbles sous-marins .
Dès le premier chapitre(et celui qui m'a le plus accrochée) on apprend que 145 millions de mails sont transportés sous l'océan à travers le monde à chaque seconde.
A plus de 3000m de profondeur des câbles sont posés et définissent ainsi la « Toile ».
Et bien sur, ce réseau , grand mystère pour la majorité des utilisateurs, a ses experts, bien conscients eux des aspects positifs et négatifs de ce flux, de la pollution qui en résulte, voire de l'aliénation qu'il provoque.
Difficile de ne pas déflorer le roman , mais on peut dire que si un bon nombre de hackers de la planète drivés par quelques experts bien sous tous les rapports, voulaient tuer ce monde virtuel, ce serait vite et bien fait.
Et retomber dans le « vrai » monde où il est plus difficile de rêver, où tout est plus difficile d'ailleurs, serait une bonne solution ?
Deux femmes , deux hommes , ayant leurs propres problèmes, entourés ou pas, aux quatre coins de la planète vont essayer de changer leur vie et la nôtre .. .
Beaucoup de questions après la lecture de ce joli livre des Edts ZOE, mais je n'ai pas ressenti dans l'écriture l'excitation, le vertige qu'un tel sujet aurait pu engendrer, à mon humble avis.
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Lecture en demi-teinte pour ce roman qui s'attaque à la toile la plus large du monde : le World Wide Web…

Toutes les activités liées à ce phénomène mondial sont ici évoquées : booster commercial, place boursière, jeu en ligne, échange de mails, réseaux sociaux, outil professionnel, blogs, plateforme de rencontre ou pornographie… Aude Seigne fait un inventaire méticuleux de tous les domaines qui profitent aujourd'hui de l'outil internet. Mais en sage exploratrice, elle n'en oublie pas pour autant les travers de ce gigantesque phénomène, réputé écolo et dont on loue la modernité non polluante… il n'en est rien et l'auteure n'hésite pas pour cela à nous emmener sur les lieux cachés de l'économie du web : le lecteur visite l'un des plus gros DATA-Center, et est propulsé au coeur d'un village décimé par l'extraction des matériaux nécessaires à la fabrication de nos petits bijoux connectés. Au passage, il croise un certain nombre de câbles, souterrains et sous-marins, que l'auteure transforme, pour l'occasion, en monstrueux cétacés fourmillant d'informations.

Et Aude Seigne ne se contente pas de nous faire visiter… elle agit, tissant patiemment une toile à la hauteur de la Bête à achever et imaginant une action de démantèlement du réseau internet mondial. Les conséquences dépassent de loin les protagonistes et leurs motivations somme toutes très personnelles et on est forcés de reconnaître qu'une telle éventualité serait une véritable catastrophe pour le genre humain…

Si ce roman montre avec exactitude tous les ressors du www, je reste peu convaincue, néanmoins, par la narration, rêche et impersonnelle, qui passe d'un personnage à un autre (et il y en a une multitude !) sans crier gare et sans en creuser véritablement la psychologie. Dommage, ça aurait dû être un roman grandiose !

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Pénélope est programmeuse informatique le jour et hackeuse la nuit. June est auto-entrepreneuse et fabrique des produits cosmétiques à partir de produits naturels. Birgit est membre d'une association cherchant à sensibiliser au coût énergétique d'internet. Kuan est ingénieur portuaire et se demande comment renouer le lien avec son fils Lu Pan, gameur mondialement connu grâce à ses vidéos. Quatre existences complétement différentes mais pourtant identiques sur un point : la présence quotidienne et omniprésente d'internet. Quatre personnages que tout sépare mais pourtant reliés par des immenses câbles dont ils ont à peine conscience. Et pourtant, leurs routes vont se croiser, leurs destins s'entremêler, à travers un projet aussi colossal qu'incroyable : le désir de libérer leur vie de cette Toile qui dirige et contrôle tout. Un plan étourdissant à l'impact assourdissant.

Dès le premier chapitre, je me suis laissée entrainer par une narration atypique, mêlant une certaine neutralité proche de l'impassibilité et une touche d'ironie discrète mais bien présente. Une certaine complicité s'installe rapidement entre le lecteur et ce narrateur sans nom, qui s'exprime parfois à la première personne pour commenter, analyser, faire des remarques, mais qui reste toutefois en dehors de l'histoire. Les descriptions sont concises, apportent tout juste ce qu'il faut de détails et de précisions, sans en dire trop toutefois : il m'a été à la fois facile d'imaginer les décors et les ambiances et difficile de me représenter véritablement les personnages. J'en suis finalement venue à me dire que, peut-être, l'important ici n'était pas les personnages, que ces derniers pourraient finalement être n'importe qui d'autre sans que cela ne change fondamentalement l'intrigue.

Une intrigue qui m'a par ailleurs immédiatement captivée. le premier chapitre, très mystérieux, conduit le lecteur à faire la connaissance de FLIN, un immense câble serpentant au fond de l'Atlantique. J'avais beau m'attendre à un récit ciblé sur l'immense réseau planétaire qu'est internet, je ne m'attendais pas à une telle entrée en matière, qui a drôlement attisée ma curiosité ! Et tandis que défilaient les tranches de vie des personnages, tandis que leurs histoires avançaient parallèlement les unes les autres, tandis que s'affirmait progressivement l'omniprésence de la Toile, je me demandais sans cesse quand allait se produire le point de rupture, quand allaient se rencontrer ces différents protagonistes aux intérêts divers et aux existences si différentes les unes des autres. Je sentais que quelque chose de grand allait arriver, mais impossible de deviner quoi ni quand.

Et j'admets bien volontiers avoir été particulièrement surprise par ce « quelque chose ». Surprise, car je ne m'étais pas attendu à un projet aussi colossal, aussi radical. Lorsque le résumé annonçait que les personnages désiraient « mener une existence hors de la Toile », je m'attendais à un changement de mode de vie, à un choix de se déconnecter et de revenir aux valeurs fondamentales. Pas une seule seconde il ne m'était venu à l'esprit que ce « plan vertigineux » allait avoir de telles conséquences, de telles répercussions. Rien ne m'avait préparé à cela, et une fois la surprise passée, je fus très reconnaissante à l'auteur d'avoir fait ce choix. Pour quelqu'un qui, comme moi, voit parfois d'un mauvais oeil l'importance qu'a pris internet dans notre existence, c'est particulièrement réjouissant de voir un auteur tenter de répondre à la question que l'on se pose régulièrement …

Je dois toutefois admettre être restée légèrement sur ma faim en voyant la fin arriver : c'était peut-être un peu idéaliste de ma part, mais j'espérais que ce livre mènerait à une prise de conscience. Je regrette souvent ce qu'est devenue notre société : un monde dirigé par cette immense toile invisible mais omnisciente, une toile qui était censée créer des liens mais qui en a détruit tellement d'autres. Combien de fois ai-je vu des lycéennes s'échanger des sms plutôt que de se parler de vive-voix, alors qu'elles ne sont éloignées que de deux mètres à peine ? J'espérais vraiment que ce livre allait dénoncer cela, que les personnages allaient désirer revenir à une vie plus authentique, plus « humaine », moins « informatisée ». Mais non. Finalement, à part nous prouver à quel point tout dans notre monde est entièrement dépendant du réseau, ce livre ne mène nulle part. Tout au plus nous prouve-t-il la fragilité de ce système sur lequel repose toute notre existence : l'économie mondiale, les transports, l'éducation, mais aussi le système de santé et l'administration civile (j'ai toujours en tête l'histoire de ce pauvre monsieur qu'un bug informatique avait déclaré comme décédé et qui n'avait donc plus aucun droit, que ce soit à la propriété ou à la sécurité sociale …). Un livre alarmant, peut-être, mais pas le livre contestataire que j'attendais.

En bref, Une toile large comme le monde est un roman qui malgré sa petite taille a su m'intriguer par sa thématique très actuelle mais que l'on rencontre rarement en littérature, me captiver par sa plume si originale qui confère à l'ensemble une ambiance très particulière et me surprendre par ce choix si inattendu et si inimaginable. Cependant, je regrette que l'auteur se soit arrêtée à ce point de vue si « matérialiste » : finalement, ce livre ne remet nullement en question la légitimité de la Toile, ne parle à aucun moment de ses conséquences néfastes sur le lien social - et même familial -, mais se contente d'affirmer avec force son importance dans notre société. Et finalement, ça, je le savais déjà. En dépit de ce détail, je dois admettre avoir passé un très agréable moment de lecture : impossible de lâcher le livre une fois celui-ci commencé !
Lien : http://lesmotsetaientlivres...
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Un roman d'une auteure genevoise.
Conseillé par ma libraire, je n'ai pas été déçue.
Le texte commence par parler des câbles déposés au fond des océans pour passer la fibre optique d'un continent à l'autre. Ensuite, l'auteur nous fait découvrir plusieurs personnages aux quatre coins du monde qui finiront par être reliés d'une manière ou d'une autre, je n'en dis pas plus... Un livre avec un rythme assez soutenu qui passe d'un personnage à l'autre en lien avec internet et ce que cela implique dans la vie de ces personnages. J'ai vraiment beaucoup aimé!
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Internet est partout dans nos vies, que ferions-nous sans lui ? Pénélope, développeuse le jour et hackeuse la nuit, n'aurait plus ni travail ni passe-temps. Lu Pan devrait cesser de vivre dans des jeux vidéos. June ne pourrait plus vendre ses produits de beauté respectueux de l'environnement, et Birgit n'aurait plus besoin de prêcher la prise de conscience de l'impact écologique du numérique. Oliver verrait les ventes de sa librairie monter en flèche, Mattéo le plongeur trouverait des activités plus agréables que d'installer des câbles sous-marins... etc. etc.
La valse de très nombreux personnages rythme ce petit livre autour de quelques images marquantes : le cheminement des câbles sous-marins au milieu des animaux des profondeurs, le lac de pollution de Mongolie, lisse noir et brillant comme un écran, les empilement de containers dans les ports...
"Est-ce qu'on pourrait l'arrêter" ? se demandent innocemment chacun de ces personnages à un moment ou à un autre. Question un peu folle et naïve, qui devient une recherche Google, qui devient un projet. Internet contiendrait-il la recette pour arrêter Internet ? Et si oui, que se passerait-il après ?
Ce petit roman, entre pamphlet appelant à la prise de conscience et dystopie miniature, n'est pas vraiment un chef d'oeuvre littéraire mais c'est sans doute mieux comme ça. On n'en sort pas en se disant "j'ai passé un bon moment" ou "qu'est-ce que c'était beau" mais plutôt "il fallait le lire". Si l'idée d'arrêter Internet paraît lointaine et farfelue, difficile de penser qu'on n'en viendra pas un jour à poser cette question sérieusement... à moins que certains n'agissent radicalement, comme l'imagine Aude Seigne.
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" Une toile large comme le monde » d'Aude Seigne, une réflexion dystopique dérangeante sur la dépendance de nos sociétés contemporaines aux réseaux internet (world wide web !)
Lu Pan, Birgit, Pénélope, Evan ou Matteo ont des vies ultra-connectées. Au gré des rencontres et des hasards germe l'idée d'une panne gigantesque de ce système extrêmement vulnérable ...
Poétique (superbe chapitre d'ouverture sur un câble transatlantique !), enlevé, vertigineux et vraiment troublant !
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Un livre qui aborde la part polluante de toute notre vie numérique. On apprend ainsi comment s'organise la distribution des réseaux, le stockage des données et la facture payée par la planète pour notre usage du numérique qu'on pense à tort immatériel. On apprend qu'il a un prix environnemental.
Le thème est très intéressant, la façon de le traiter l'est bien moins. On peut glaner ça et là des informations et réfléchir à l'impact d'internet sur les relations intergénérationnelles en passe de devenir muettes.
De nombreux thèmes sont jetés au vent mais tout est survolé. le roman manque d'ancrage, de profondeur. Cette impression est décuplée à la fin du roman où la connexion internet est rompue... Exit internet. le nouveau monde est décrit avec brièveté, balayé en moins de deux...On reste sur sa faim.


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