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3,84

sur 249 notes

Critiques filtrées sur 5 étoiles  
Assumer.
Est-ce que l'on s'assume toujours? Plusieurs vont penser oui dans leur tête, mais est-ce vraiment le cas? Qui n'a pas déjà menti? Oh, pas un gros mensonge... juste pour ne pas déplaire? N'avez-vous jamais répondu à une invitation en disant que vous étiez déjà pris ailleurs alors que vous n'aviez rien? Pourquoi avons-nous de la misère à juste dire "non merci" sans essayer de se justifier? Pourquoi ne pas assumer ce que nous sommes?
C'est dans ce monde d'apparences, de mensonges et de bonne conscience que nous transporte le livre de Patrick Sénécal, FAIMS, avec ses personnages colorés, caricaturés, extrémistes et son vocabulaire cru, voire vulgaire.
On aime ou on aime pas Sénécal. Pour ma part, je l'adore parce qu'au-delà de toute la violence et la sexualité qu'on retrouve dans ses livres, il a le don de nous faire réfléchir, de décrire des émotions que l'on vit tous, mais dont on parle moins... nos frustrations, nos déceptions, nos désespoirs, et on s'y retrouve.
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À chaque fois que je me lance dans un roman de Patrick Sénécal, je sais que je vais souffrir. Il a un don assez exceptionnel pour creuser la noirceur humaine, les relations, les fantasmes et ici la Faim qui nous anime et nous rend vivant.

Pas la faim de nourriture. Non. Ce besoin viscéral qui fait vibrer chacun d'entre-nous. Différent pour toutes et tous. du sexe, de l'alcool, des bagarres, des meurtres, du sang… Alors quand une troupe de cirque vient s'installer dans une petite ville tranquille du Québec, d'emblée, je m'attends à tout sauf à un cirque classique avec des pirouettes, jonglages, clowns et bêtes sauvages. Quoique je me sois trompée sur ce dernier point mais pas sur le style de numéro. Les saltimbanques de la troupe le précisent en offrant quelques billets pour la première : c'est un cirque pour adulte !

Joël, flic marié à Martine, vétérinaire et leur deux enfants vivent une vie routinière et tranquille. le cirque et d'étranges meurtres abominables viennent perturber leur rythme. Joël retourne le temps d'une affaire vers la section criminelle qu'ils quitté pour être plus souvent à la maison et moi détruit par les affaires. Lui et sa femme ont été déroutés par le spectacle d'un genre plus que particulier de la troupe d'Humanus Circus. Après chaque représentation, certains spectateurs se posent des questions sur leur vie, leur rythme, leur routine.

Faut-il tout chambouler ? Comment rallumer la flamme de la jeunesse ? Quels travers et quelles perversions sont cachés pas si profondément chez les membres du cirque autant que chez les habitants de Kadpidi. Un roman amoral par moment mais qui fait réfléchir sur le sens de la vie. Décidément, Patrick Sénécal me remue et en fait un de mes auteurs incontournables. Je n'ai qu'une hâte : le rencontrer mi-mai au salon Rosny soit qui mal y pense à la Fnac de Rosny !
Lien : https://www.loeildeluciole.c..
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"Bienvenue à Kapidi une petite ville si tranquille située au coeur d'une région tranquille " Dans cette ville si tranquille, habite une famille normale sans chichis, avec son quotidien banal, il y a Joël le policier et le père de famille, Martine sa femme vétérinaire et propriétaire de sa clinique et leurs deux enfants Nicholas qui entrera au Cégep et Émilie qui entrera en troisième à la fin de l'été.

Pourtant, en second dimanche de juillet, la 32e édition du Bal du Chien-Chaud bat son plein au parc Woodyatt, la journée est normale et magnifique, or au même moment le " Humanus Circus " arrive en ville.

Bientôt tout ne sera plus si tranquille que ça à Kapidi ...

Bon sang, j'ai aimé ce roman, bien différent de ce qu'il a écrit auparavant, mais tout aussi claquant. Il est tellement dans l'air du temps, tellement ancré dans la réalité actuelle.

Je n'ai pas besoin de présenter l'auteur, un auteur qui arrive toujours à me sortir complètement de ma bulle.

" Faims " roman noir psychologique .

Ici place à la vie quotidienne de tous les jours d'une famille normale jusqu'à l'arrivée du "Humanus Circus ".

Tout arrive à Kadpidi, ville si tranquille en apparence.

Tout commence vraiment à déraper à l'arrivée du cirque.

Place à une famille qui se voit rattrapée par le quotidien, Joël policier marié depuis 20 ans qui trouve sa vie morose, trop paisible, trop tranquille, que les années passent et qu'il arrive de moins en moins à faire face à cette vie-là. Il se sent malheureux et dépasser.

Dans tout ça il y a le " Humanus Circus", un cirque pas comme les autres, où les acteurs sont des marginaux et sont loin d'être des enfants de choeur.

Un cirque qui pousse les gens à l'aide de numéros très spécial qu'ils réalisent à déclencher leurs " Faims ".

" Si la bête en vous à faim, nourrit là ".

Pourtant, ses gens, qui mènent une vie si tranquille dans leur ville , ressortent du spectacle avec plusieurs sentiments en eux, frustration, colère, dégoût, choquer, puis admiratif. Au bout du compte ses gens si frustrés parviennent à écouter leur " Faims " et assouvissent leurs pulsions ancrées en eux.
le " Humanus Circus " poussent les gens à être conscient que la vie tourne et que la " Faims " qui les démange doit être assouvie, qu'ils doivent écouter cet " Faims " et non la laisser pourrir en eux. de ne pas laisser leur vie sans saveur, la laisser gagner du terrain. Qu'ils ne doivent pas être spectateur, mais prendre les rênes et devenir acteur de leur vie.

Roman qui fait allusion à toutes les pulsions inavouées et à toutes nos " Faims " intérieur avec toutes ses frustrations qu'elle provoque.

Livre qui pousse à réfléchir au-delà de soi-même...

" Es-ce qu'une seule fois dans notre vie, nous n'avons pas eu un désir de " Faims " inavoué, nous titiller discrètement au cerveau, une envie de commettre une grosse " Faims ".

Quelle régalade ce roman noir très poussé sur la personnalité psychologique de tous ses personnages, et pourtant tout commence par une enquête de police dans une ville si tranquille.

À nouveau complètement bluffé par l'écriture de Patrick Senécal , qui arrive à créer des personnages aux pulsions ancrées en eux qui les mènent souvent à leur perte.

Oui, il y a quelque longueur dans le roman, mais le roman en vaut vraiment la chandelle !

Patrick Senécal ne fait pas dans les romans à l'eau de rose, donc ne pas s'attendre à roman de bisounours où tout le monde et beau et gentille et chante et parle d'amour à tue-têtes " Bisous Bisous ".

Non " Faims " tape fort, cogne fort et, frappe dans l'air de notre temps ^^.

Roman qui va aller rejoindre ses petits copains dans ma bibliothèque.

Ultra CONQUISE ^^ .
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Un cran en dessous de ce qui est selon moi ses 3 meilleurs romans (Les 7 jours du Talion, Hell.com et le vide), Faims n'en est pas moins un excellent roman, extrêmement agréable à lire et doté d'une formidable galerie de personnages. Peut-être moins abouti et extrême que le Vide, dont la thématique est très proche, il réserve néanmoins son lot de surprises, à commencer par la révélation finale qui, à l'instar de l'oeuvre de Sénécal, est d'une grande noirceur. Un excellent roman.
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Faims s'inscrit clairement dans la lignée du vide. Un de ces livres qui traite des pulsions humaines. Un de ces livres qui bouscule, qui percute, qui interroge, qui peut faire très mal...
On y retrouve avec plaisir Michelle Beaulieu et son histoire qui continue à la suite de 5150 rue des Ormes et Aliss. Une reine déchue qui n'en est clairement pas à sa fin.
Un hymne à la non-conformité. Ce que nous avons au fond de nous, ce que nous voudrions être, ce que nous voudrions faire de notre vie, ce que nous en avons fait.
Une interrogation sur la société et ses barrières.
Un livre qui nous met de drôles de trucs dans la tête et une boule dans le ventre. Un livre qu'on tourne et retourne dans ses mains en se demandant s'il n'a pas un pouvoir quelconque, comme tous les livres de Senécal d'ailleurs. Un livre limite ensorcelé, là pour nous pousser à nous remettre en question, à s'interroger !!!
Le truc qui pique juste là où ça peut faire mal et qui, par moment, peut donner envie de crier "putain ça suffit là...c'est bon...je peux plus"
Etre capable de combattre nos pulsions malsaines est, à priori, ce qui nous différencie des animaux. Mais est-ce que cela nous place vraiment au-dessus ?
Est-ce mal de céder à sa faim ? Ou est-ce que cela ne cadre simplement pas avec notre éducation et notre société ?
Je ne cesse d'être extasiée par l'énorme talent de Patrick Senécal. Cette capacité à toucher nos talons d'Achille, à nous remuer, nous bousculer...Dire que cela ne nous touche pas ou ne nous concerne pas du tout serait une grande hypocrisie.
Et cette plume, cet humour, ce franc parlé, ce j'ai peur de rien-je dis tout...c'est juste inexplicable !!!
Allez...Je le décrète haut et fort, un Dieu littéraire est apparu sur ma bibliothèque et j'ai pas de soucis à l'assumer...
Et vous ? Etes-vous prêts ?
Lien : http://www.sangpages.com/201..
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A l'occasion de noël j'ai décidé de lire que des livres super mignons et bienveillants (c'est complètement faux), j'ai lu Faims de Patrick Senecal, et j'ai beaucoup aimé !

C'est un roman noir / thriller psychologique de 600 pages qui nous emmène à Kadpidi, une petite ville dans la région du Québec, alors qu'un cirque ambulant vient d'y poser son chapiteau. Ce cirque n'est pas comme tous les cirques et propose des spectacles « pour adultes ». Fascinants pour les uns, révoltants pour les autres, quoi qu'il en soit personne ne restera indifférent et lorsque qu'une vague de meurtre va toucher la petite ville, coïncidant avec l'arrivée de la troupe, il va vite devenir évident que plus rien ne sera comme avant, pantoute!

C'est un roman très sombre sur la nature humaine, les pulsions et la faim qui sommeillent en chacun, c'est évidement un petit peu exagéré, sinon il y aurait pas de quoi raconter une histoire sur 600 pages mais dans l'ensemble j'ai trouvé le roman bien crédible tabernac.

La construction est intéressante, on suit principalement une petite famille (pas si) paisible et on assiste petit à petit à leur descente tout droit vers les enfers, mais également des personnages secondaires à qui il va arriver tout plein de malheur. Et on a également le droit à des tout petit chapitre au fur et à mesure du récit pour présenter les membres de la troupe de cirque. Et comme d'habitude chez Senecal, on retrouve un certain personnage récurrent (qui est horrifiquement génial) !

J'avais lu qu'il était moins aimé que d'autre mais pour le coup j'ai vraiment bien accroché.
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Alors ce roman !!! Que dire ?
Il est très étrange, il y a beaucoup de personnages, notamment ceux du cirque... Difficile de s'y retrouver au début. Mais finalement on y arrive très bien assez rapidement.
Il s'agit là d'une analyse un peu déprimante du couple, de la routine mais aussi de la société en général.
Ça paraît lent, mais en fait j'ai trouvé ça parfait, c'est le temps qu'il faut pour installer les personnages, les lieux, l'histoire.
Tout le monde a des secrets, des zones d'ombre, des frustrations.
Ceux du cirque, des marginaux, qui assument ce qu'ils sont, vont venir jeter un pavé dans la marre de toutes ces petites vies tranquilles, de tous ces gens qui pensent qu'ils n'ont pas si mal réussi leurs vies... qui pensent vivre un petit bonheur ordinaire. Vraiment ?
Pas si sur !
L'humanus circus va venir les brutaliser dans leur certitudes, dans leur aveuglement.
J'ai adoré ce roman, à tel point que je redoutais de voir la fin arriver.
Et puis il y a le parler québecois, que du bonheur pour moi !!! même s'il faut s'accrocher et aller un peu chercher sur internet, genre :
Non, mais on est un cirque ambulant, donc une gang de weirds, de marginaux, d'osties de fuckés... Houuuuuuu ! On est du monde ben louche !
Bref, roman captivant, dérangeant, qui m'a donné envie de lire tout Patrick Senécal.
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Qu'est-ce qui vous enflamme, vous ­passionne ou vous excite? Qu'est-ce qui vous déplaît, vous frustre ou vous ­indigne? Assouvissez-vous vos pulsions? Sont-elles bien enfouies dans votre ­inconscient, refoulées, ou sont-elles sur le point de se montrer au grand jour, lasses de rester cachées? Avez-vous faim de quelque chose en particulier? de richesses? de liberté? D'aventures? D'amour? de désirs charnels? de justice? de vengeance? de faire le mal?… Combattez-vous cette faim? Voulez-vous la calmer? Alors, qu'attendez-vous pour l'apaiser?

Dans le nouveau roman de Patrick ­Senécal, Faims, publié aux Éditions Alire, le « Humanus Circus » s'installe dans la petite ville de Kadpidi. À l'aide de numéros bien spéciaux (inusités et indécents), le cirque, composé de sept artistes marginaux, pousse les gens normaux de cette municipalité à être conscients de leurs « faims » et à, peut-être, les assouvir. Alors que bon nombre de spectateurs son ­choqués par la représentation symbolique, quelques-uns ont une révélation.

Ce thriller, surtout constitué d'une ­intrigue policière bien ficelée, s'attarde sur l'histoire de Joël, un enquêteur, un père de famille et un homme marié depuis vingt ans. À l'approche de la cinquantaine, il se rend de plus en plus compte que son train-train quotidien l'ennuie. Ses deux enfants sont des adolescents débrouillards et sa femme, propriétaire d'une clinique vétérinaire, travaille de ­nombreuses heures. le policier se contente donc de sa petite vie tranquille, sans remous, jusqu'au jour où il va au cirque.

À partir de ce moment, Joël ne peut plus ignorer sa « faim » : celle de la chair. Son insatisfaction sexuelle l'enrage et son ­désir, pour une autre femme, grandit. « Joël retrouve alors cette sensation ­oubliée depuis longtemps, tellement forte, tellement enivrante : une tension sexuelle à couper au couteau, qui donne l'impression d'être immortel, qui murmure que la vie ne devrait pas être que ça, en tout temps. En fait, la dernière fois qu'il a vécu un tel moment, c'est il y a sept ans, à ce congrès de policiers. Il lui ­arrive encore d'en rêver. Pas à la baise ­elle-même, qui s'était finalement avérée plutôt banale, mais à tout ce qu'il y a eu avant, au moment où il sentait que tout était possible. »

Pendant qu'il essaie de combattre ses tentations qu'il juge immorales, et de ­sauver son couple, le policier enquête sur une série de meurtres dans la municipalité où il vit. À l'aide de plusieurs enquêteurs, il soupçonne qu'il existe un lien entre les ­artistes du cirque et les meurtres. Il fait alors la connaissance de Francus, le ­propriétaire du « Humanus Circus », un être étrange qui affronte un tigre chaque fois qu'il entre en scène. Une relation ­tendue s'établit entre les deux hommes, qui, au fil des semaines, voient leur vie changer à jamais.

Faims expose la noirceur au quotidien. Loin d'être un livre d'horreur et d'épouvante (même si certains passages m'ont fait grimacer), le récit de Joël, et d'autres personnages, est une vaste réflexion ­sociale. Lors de ses entrevues, Patrick ­Senécal insiste sur le fait qu'il s'assure, en rédigeant, que le côté « réflexion » ne ­l'emporte jamais sur le suspense. En effet, le récit est avant tout un thriller, mais le lecteur ne peut s'empêcher de se poser des questions sur la société dans laquelle il vit et… sur lui-même, ses zones d'ombre, ses désirs tordus, puis ses « faims ».

Le 17e roman de Patrick Senécal est, selon moi, un de ses meilleurs. J'ai adoré les ­différentes histoires des sept artistes du cirque (particulièrement celle De Wulf et Laurus) et j'ai beaucoup aimé retrouver ­Michelle Beaulieu, la fameuse Reine Rouge de l'univers senécalien. Je dois aussi avouer que je me suis attachée à Joël, car Senécal, comme il l'a déjà spécifié, réussit à démontrer à quel point la routine ronge l'âme, les appétits et le corps. Mais mon personnage préféré reste Francus, le propriétaire du « Humanus Circus ». Jusqu'à la fin, il m'a intriguée et je me demandais toujours quel était son rôle. Celui du bon ou du méchant? À vous de le découvrir!

Somme toute, Faims est un roman confrontant. Même si l'auteur a expliqué qu'il a écrit un récit fictif, celui-ci est basé sur ses propres questionnements, ses peurs et ses doutes. Vous pouvez suivre Patrick Senécal sur son site Internet officiel : www.patricksenecal.net.
Lien : http://www.facebook.com/kimm..
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Une fois n'est pas coutume, ce livre est moins gore que certains Senécal, mais reste dans la lignée des très bons de l'auteur. Et à ma grande surprise, au vu des avis partagés, je le classe dans mon top 5 de ses livres.
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Plus psychologique, l'auteur joue avec nos émotions et nos sentiments, comme à son habitude, mais aussi avec nos frustrations, nos dégoûts, nos Faims inavouées.
Il fait germer cette idée que notre vie et le sens que l'on lui donne est-il le bon.
Assumons-nous toujours nos actes ? Pourquoi avons-nous déjà menti ? Pourquoi avoir besoin de se justifier sans cesse dans ce monde d'apparence et de bonne conscience ?
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Les mots, les pages, s'enchaînent comme un rouleau compresseur. Il nous emmène dans la noirceur de l'âme humaine, et nous y fait réfléchir.
Ces livres sont des expériences littéraires à vivre sans frein.
Son personnage, Joël, enquêteur de police, va en faire les frais, à ses dépends.
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📖 : Marie-Éve prend un crayon et le tourne entre ses doigts.
- Qu'est-ce que tu en sais ?
- Je le sais, c'est tout. Je la connais tellement.
- Et elle te connaît aussi. du moins, elle croit te connaître.
- Où tu veux en venir ?
- Je dis juste qu'on sait rien sur personne. On ne se connaît même pas soi-même autant qu'on le pense, alors imagine les autres..... "
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Et La reine rouge, qu'est-ce qu'elle vient faire ici ..........
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Bon, c'est avec Faims que j'ai closer mon petit marathon Senécal contenant le personnage de la Reine Rouge. J'ai apprécié la facilité de lire son livre, d'être incapable de deviner l'intrigue et même en être complètement surpris car cette fois, je l'ai pas vu venir! J'ai dévoré le livre comme je mange mes frites du Mcdo c'est-à-dire, comme un vraie cochon. La structure du livre était juste parfait, autant l'évolution de l'intrigue que la présentation du Humanus Circus! Et pour une fois, j'étais vraiment satisfait que ce soit le ‘mal' qui remporte car oui, je ne me suis pas attaché à la petite famille de Joel et Martine, mais bien à la famille du Humanus Circus.

Pour les fan de la reine rouge, si vous n'avez pas lu Faims, je vous le conseil fortement, vous allez découvrir ce qu'elle devient après son règne dans Wonderland.

PS : Michelle, tu m'auras pas déçu, jusqu'à calice de fin comme tu dirais.
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