La parole féminine a longtemps été maudite. Pour oser écrire « je », les femmes ont donc dû vaincre des obstacles intimement liés à leur condition dans la société.
À l’aube des temps modernes, les premières à prendre la parole furent Christine de Pizan, Marguerite de Navarre puis Mme de Sévigné, ouvrant l’espace où une écriture féminine sera possible. Plus tard, conscientes des problèmes de leurs contemporains, Mme Roland, Flora Tristan et même Georg...
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