Tellement de modernité dans un texte du plus de 4 siècles !
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Un de mes favoris. Traité au cinéma par Akira Koroswa.
Un Roi qui croit à la reconnaissance de ses enfants face à l'héritage de son pouvoir .
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Une grande tragédie. Des personnages que l'on observe sombrer à cause de leurs passions, que ce soit ambition, folie, amour, pureté... J'ai été bouleversée par la représentation théâtrale que j'ai vue.
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Un classique de la littérature anglaise. Évidemment la lecture n'est pas très simple, il y a des tournures de phrases, des expressions et des termes anciens qui peuvent être difficiles à comprendre. Cependant il n'est pas nécessaire de comprendre chaque phrase pour saisir les informations utiles à la poursuite de la lecture. L'avantage étant que cette pièce est très courte donc je n'ai pas eu le temps de saturer à ce niveau.
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Ici, un père maudit sa fille préférée. Ici, un autre veut la mort du fils qu'il devrait aimer – tandis que son autre fils complote contre lui et le livre à ses ennemis pour qu'ils lui arrachent les yeux. Et au coeur de ce maelstrom, il y a le fou royal : Lear lui-même, dépossédé peu à peu de tout, et par sa propre faute, jusqu'à en perdre la raison – et au-delà. Tout explose, rien ne fait plus sens. Fidélité, Amitié, Amour, Pitié. Monter Lear, ce n'est pas répondre à des questions, mais s'engager dans l'aventure qui consiste à se les poser. C'est essayer de rendre un peu d'éclat à ces questions, et à ces lumières d'humanité, en les rendant sensibles, visibles, incarnées.
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Les tirades du roi Lear sont formidables, notamment celle où il maudit Goneril. J'ai vraiment apprécié cette tragédie.
Même si le genre présageait de la fin, la surprise reste toujours la même et le plaisir de lecture sublimé.
L'inversion des rôles est également des plus subtiles, n'est pas fou celui que l'on croit !
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