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3,46

sur 281 notes
Avis mitigé pour ma part, je languissais le terminer, pour passer à autre chose...
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👥POURQUOI ON M👥
Au début, le monde avait pris ça pour une bizarrerie poétique. Un homme en Inde, avait perdu son ombre. 👥Les médias en avaient fait des gorges chaudes. Jusqu'à ce que l'Indien perde la mémoire, oublie le nom des rues, de sa mère, le sens des mots... Et partout sur la planète, le phénomène se propagea. Sans explication scientifique. Les souvenirs des sans-ombre se désagrègeaient. Déboussolés, ils sombraient dans la folie, la violence, finissaient même par oublier de respirer.

Dans ce monde en plein chaos, Ory et sa femme Max tentent de survivre. Mais cette dernière vient de perdre son ombre. Pourquoi elle ? Pourquoi pas lui ? Dans combien de temps va-t-elle l'oublier, lui faire du mal ? La perte de l'ombre est-elle une malédiction ou une chance comme le pense une secte d'illuminés ? "Le Livre de M" est à la fois un thriller post apocalyptique, une histoire d'amour singulière et un conte philosophique. C'est surtout un roman qui parle de la mémoire, de l'importance des souvenirs qui nous relient à ceux qu'on aime, des traces que nous laissons derrière nous. de la valeur de l'écrit aussi, puisque les livres y jouent un rôle essentiel. Les livres qui sauvent du néant... Pour son premier roman Peng Shepherd n'a pas choisi la facilité en mélangeant les genres. Malgré quelques passages un peu confus et ce petit côté mythologie indienne un peu tiré par les cheveux, on s'est laissées entraîner par cette histoire de résistance. Dans ces meilleurs moments, le récit nous a même évoqué Stephen King ou encore "La Planète des singes" de Pierre Boulle aussi...😉 Poétique, étonnant, captivant, "Le monde de M" vaut le détour. Sans l'ombre d'un doute!
Lien : http://dans-la-tete-des-peop..
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De Peng Shepherd,j'avais beaucoup aimé Les Cartographes. Et j'ai aimé encore davantage ce Livre de M . Dans le style post-apocalyptique, c'est une histoire bien plus originale que les autres, et les personnages qui la racontent ont une véritable "épaisseur", comme on le dit maintenant.

Sans vouloir tout dévoiler, quelques mots: une épidémie affecte les grandes villes de la planète, et s'étend progressivement .
On commence par perdre son ombre, on finit par perdre la mémoire. A tel point que l'on ne sait plus accomplir les gestes les plus simples, et que l'on finit par mourir , faute d'avoir pensé à se nourrir, à se vêtir, à respirer.
Pour échapper à cette fatalité, Ory et Max restent loin de tout, dans les bois, dans l'hôtel où ils fêtaient le mariage de leurs amis lorsque la ville d'Arlington a été placée en confinement. Voilà des années qu'ils survivent, qu'ils se terrent, qu'ils se préservent l'un l'autre.
Jusqu'au jour où Max perd son ombre.
Dans la crainte de perdre les souvenirs qui importent à leurs yeux, les amoureux ils ont établi des codes, des mots de passe, qu'ils répètent pour vérifier que tout va bien. Ory a trouvé un dictaphone et l'a confié à Max, afin qu'elle puisse tenir la chronique de ses journées en cas de besoin, et réécouter les informations qui lui seraient utiles. Chaque fois qu'il sort chercher de la nourriture, il tremble pour elle...
... à raison. Car un jour, il trouve l'hôtel déserté. Commence alors un voyage désespéré pour Ory, à la recherche de sa femme, à la découverte d'un pays dévasté qu'il n'avait plus revu depuis des lustres. Commence aussi pour Max un long récit, confié à son dictaphone. Celui que l'auteur nous donne à lire de temps à autre.

Je n'en dirai pas davantage pour vous laisser le plaisir de la découverte: pour ma part, j'ai trouvé ce roman très réussi, imprévisible jusqu'à la fin, et j'espère qu'il relancera quelque peu le genre.


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J'ai été happé par ce côté catastrophe et virus. Peut être parce que son histoire me rappelle le monde dans lequel je suis en train d'évoluer. Un monde que je n'ai pas envi de transmettre à ma descendance : un monde chaotique où l'humanité n'a « presque » plus sa place. Heureusement, que certains se battent pour la moindre des libertés (jusqu'à se sacrifier pour la bonne cause ?) alors que d'autres prônent le pouvoir, la haine et l'arrogance.
Dans ce livre, on différencie bien 2 camps. D'un côté, les « sans-ombre » qui perdent petit à petit leur souvenir jusqu'à devenir des personnages dangereux et insignifiants et de l'autre côté, des hommes encore munis de leur ombre se croyant, parfois, supérieurs aux autres. Mais tout n'est pas aussi manichéen. Les sans-ombre ne sont pas tous dangereux et les hommes munis de leur ombre ne sont pas tous aussi arrogants. Et on aperçoit rapidement l'Espoir d'une vie d'après.
Nous traversons cette lecture dans un monde post-apocalyptique où certains se résignent à ne plus avancer alors que d'autres n'ont aucune limite pour arriver à leurs fins. Les choix et la prise de décision se jouent en quelques secondes ce qui entrainent de nombreuses pertes. Tout doit se calculer, tout doit être minutieusement réfléchit et lorsque l'imprévu s'impose, notre instinct de survie doit reprendre le relai.
Les rebondissements sont nombreux, on craint pour nos personnages auxquels on accorde le plus grand des Espoirs. Pourvu qu'ils prennent la bonne décision au bon moment. On les suit dans les différentes quêtes et on les voit se métamorphoser sous nos yeux. Pour vous donner une idée cinématographique, on est clairement entre Walking Dead et le Livre d'Eli.

La science et l'humanité
Dans ce roman, les scientifiques tentent de comprendre le phénomène. On ne sait pas si c'est contagieux, si la perte des souvenirs est liée à la disparition de leur ombre, combien de temps le « malade » devient potentiellement dangereux, si l'on peut recouvrer la mémoire, si l'on peut retrouver son ombre, si le phénomène est permanent… On émet des théories, on évoque des légendes, on tente des expérimentations. Tout cela engendre de la peur, de la méfiance, de la violence mais aussi de l'espoir, de l'amour et de la solidarité. le lecteur jongle avec tous ses sentiments pendant sa lecture. On se met à la place des personnages en se demandant constamment comment nous aurions réagis à leur place.
Si vous voulez connaitre le pourquoi du comment de « cette maladie », rien n'est clair dans les explications de l'autrice. On nous laisse faire notre propre théorie. On passera par des contes légendaires indiens sur des éléphants aux contes de Peter Pan. Certains scientifiques essayeront de nous convaincre que ce phénomène est dû à l'emplacement du Soleil et de la Terre… Bref, l'autrice prend le partie pris de ne rien expliqué clairement sur les origines du phénomène. Pour moi, ce n'est absolument pas le plus important de cette histoire.
Tout est question de cheminement et d'évolution. Pourquoi est-on arrivé à ce moment-là ? Et si c'était à refaire aurait-on pris les mêmes décisions ? Quelles sont les solutions envisageables pour combattre l'Oubli ?

La narration et les personnages
J'ai particulièrement adoré la narration. L'autrice nous narre son histoire à travers les différents points de vue de ses personnages. Ainsi, elle construit au fil des pages leurs évolutions. Et j'aime découvrir leurs courages, leurs craintes, leurs amours, leurs échecs… On attend patiemment leur rencontre les uns avec les autres. Je ne saurai dire si j'ai apprécié un personnage au détriment d'un autre. Je les ai tous aimé aussi complexes soient-ils.
J'ai aimé le couple Ory et Max.
Max ayant perdu son ombre, enregistre sur des cassettes ce qu'elle vit lorsqu'elle décide de partir loin de son mari. Un choix qu'elle prend afin de préserver son mari de ses oublis. Que va-t-il lui arriver ? Comment va-t-elle survivre seule ? Fera-t-elle de bonnes ou de mauvaises rencontres ? On s'attache très facilement à cette femme aimante qui ne veut pas être un fardeau pour son mari. Via son magnétophone, elle communique avec son mari sur sa quête de l'Oubli.
Ory n'a qu'un seul but : retrouver sa femme. Comment réagira-t-il seul, face à des groupes de survivants qui ne pensent qu'à leur propre survie ? La passion de cet homme pour sa femme, dans un contexte comme celui-là, est juste poignant. Cet amour est renversant, il vous prend aux triples. J'ai adoré ce bouillonnement d'affection qui redonne à l'histoire son lot d'espoir et d'humanité.
On fera aussi la rencontre du premier cas dépourvu d'ombre Hemu Joshi. Si dans un premier temps, il éveille curiosité et l'envie auprès des scientifiques mais également auprès du grand public. Il sera rapidement craint et l'on tentera par tous les moyens de ne pas lui ressembler. Qu'arrivera-t-il à cet homme qu'on essaye de comprendre ?
Vous ferez la connaissance de plusieurs autres personnages secondaires tout aussi intéressants. Certains amèneront leur expérience pour avancer ensemble vers un même but pendant que d'autres ne joueront que sur leur égocentricité pour survivre.

Un coté fantastique
Oui il y a un coté fantastique dans le roman qui risque de surprendre et de ne pas plaire à tout le monde. Pour ma part, je trouve qu'il apporte de la légèreté au roman. Ça fait du bien. Bien évidemment, cela dépendra de votre perception du fantastique. Effectivement, l'histoire peut être perçue comme irréaliste et casser toute vraisemblance avec la réalité. Pour ma part, cela ne m'a absolument pas gêné. Certes, j'ai été plutôt surprise sans être déçue de la finalité de cette histoire.


Mon avis
Même si j'ai eu du mal à accrocher au début à cause de certaines tournures de phrases (dû surement à une mauvaise traduction), ce livre reste un merveilleux coup de coeur. J'ai partagé mes nuits avec ses personnages qui me manquent terriblement. J'ai été en adoration totale avec eux. Ils ont su me transmettre leurs peurs, leurs joies et leurs envies de vivre.
Le titre du livre « le Livre de M » prend tout son sens à la fin du roman et j'ai adoré cette notion poétique.
C'est un roman d'amour, de quête d'identité et d'humanité que je vous conseille sans plus tarder.
« Toute ressemblance avec la réalité est purement fortuite », vous y verrez ce que vous voudriez y voir.
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Quand le monde a affaire à une pandémie qui vous retire vos ombres et vous vide comme une clé USB que l'on reboot les survivants vont tout faire pour tenter de se raccrocher au moindre souvenir.
C'est comme ça que nos protagonistes entament leur exode vers la nouvelle Orléans pour trouver Celui-qui-rassemble.

J'ai trouvé l'histoire somme toute étrange, mais malgré tout bouleversante grâce à des personnages poignants qui luttent pour se souvenir et garder en mémoire ce qui fait d'eux ce qu'ils sont et leur êtres aimés.

J'ai beaucoup aimé la fin bien que cruelle à mon gout. J'ai donc passé un excellent moment mais je ne pense pas que ce livre me laissera un souvenir impérissable.
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Sur Terre, les Hommes perdent leurs ombres et à mesure que leurs doubles disparaissent, leurs mémoires s'effacent. Chaque humain contaminé par ce « phénomène », sombre petit à petit dans un monde où tous les repères sont brouillés et où les mots n'ont plus de signification... C'est dans cet univers chaotique et aux allures de « fin du monde » que Max et Ory tentent de survivre, reclus au fond des bois. Jusqu'au jour où Max est touchée par l'Oubli...
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Dans un premier temps, j'ai été aspirée par cette intrigue originale. Je dévorais les mots et engloutissais les chapitres pour en savoir plus sur l'histoire d'Ory et Max.
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Puis, est arrivé un petit moment de « flottement » au milieu du roman, qui, je l'ai compris maintenant, était dû à la frustration de ne pas en savoir plus... j'aurais aimé avoir quelques petites révélations au cours de l'intrigue. le moins que l'on puisse dire, c'est que ce roman m'aura appris la patience !
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Mais ma persévérance aura payé, car cette fin était incroyable. Je ne l'ai pas vue venir une seconde. Elle m'a touchée et aucune autre conclusion n'aurait pu me convaincre aussi bien que celle-ci.
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Difficile d'exprimer les sentiments que cette lecture a réveillés en moi. Ce qui est sûr, c'est que je n'oublierai pas Max et Ory. Enfin, sauf si je perdais mon ombre 🤔 Je vérifie d'ailleurs régulièrement !
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Une épidémie décime l'humanité : hommes et femmes perdent leur ombre, puis leurs souvenirs, jusqu'à oublier qui ils sont, et cet oubli s'accompagne d'effets magiques sur leur environnement - statue de la liberté meurtrière, alligators grands comme des paquebots... Ory et sa femme Max sont restés cloîtrés dans un hôtel depuis le début de cette épidémie, mais quand Max commence à perdre la mémoire elle décide de partir...
N'est pas Stephen King qui veut pour décrire un monde qui plonge dans l'apocalypse : comment les survivants trouvent ils de l'eau ou de quoi faire du feu, où le groupe de femmes trouve l'essence pour le camping-car, comment Ursula sait-elle encore conduire etc. Ces détails qui apportent de la cohérence, du réalisme et donc de la force à ce genre de récits sont importants. Malgré ces incohérences, on lit ce roman avec un certain intérêt grâce aux personnages riches et intéressants, très bien dépeints.
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Le livre de M de Peng Shepherd est un roman post-apocalyptique plus que réussi. Il met en avant un concept très original. Dans cette histoire, pas de zombies qui envahissent le monde ou de virus qui dissémine les populations. Ici, les humains perdent leur ombre. Comme ça, violemment, sans avoir fait quelque chose de spécial. Et avec leur ombre disparaissent leurs souvenirs. Ils oublient où ils vivent, qui ils aiment et même, qui ils sont.

Peng Shepherd fait fort pour son premier roman ! Elle met en avant des personnages terriblement humains qui, face à l'oubli, vont tout tenter pour ne pas se perdre eux-mêmes. C'est un livre que j'ai lu très rapidement et que je ne peux que recommander à celles et ceux qui souhaitent s'embarquer dans une aventure pleine d'originalité, de tristesse, de mélancolie, mais aussi de joie. En bref, une aventure purement humaine, triste, pathétique, mais aussi pleine de vie.
Lien : https://www.parlonsfiction.c..
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Je peux pas dire que j'ai été enthousiasmé de bout en bout. Je suis plutôt dystopie que science fiction pour ma part. Ici c'est le mélange des genres mais ça passe. L'idée de départ est intéressante, tu perds ton ombre et ta mémoire se fait la malle en suivant. C'était pas mal de voir ce qu'on pouvait faire de cette histoire. le récit est partagé à plusieurs voix, ça étoffe un peu aussi. Y'a bien des choses qui m'ont dérangés tout de même, les choses qui ne sont pas expliquées, pourquoi les billets deviennent blancs par exemple... les animaux qui prennent des formes différentes qui sortent de l'imagination des "sans ombres", bon pourquoi pas après tout. C'est dommage pour le lecteur qui veut toujours donner un sens à tout (comme moi ;-) mais bon, c'est le choix de l'auteur.
Donc oui j'ai quand même apprécié cette lecture, un peu longue il est vraie, mais je ne l'ai reçut d'aucun éditeur, et je pense pas avoir l'esprit trop mou pour autant ;-)
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Peng Shepherd est une autrice américaine qui signe avec le Livre de M son premier roman. Présenté comme du Post-Apocalyptique, rien dans la couverture ni dans le résumé ne laissent présager la part de fantasy que ce livre recèle.

Au coeur d'une Amérique déchue, Max et Ory ont trouvé refuge dans un hôtel situé en pleine forêt. Alors que le monde a sombré dans le chaos, ils semblent être les rares rescapés d'un terrible phénomène qui s'est abattu sur les humains. Un homme a commencé à perdre son ombre faisant de lui une célébrité et une curiosité scientifique. Mais ce qui aurait pu rester un événement isolé est devenu un problème mondial. Plus que de perdre leur ombre, ces milliards d'individus touchés perdent également leurs souvenirs jusqu'à même nier leur propre existence. Aux abois ceux qui sont devenus des sans-ombres sèment l'anarchie et menacent l'humanité toute entière. Max et Ory auraient pu rester cacher au fond des bois, même si la nourriture venait à manquer, mais tout bascule lorsque Max perd son ombre à son tour et disparaît. Pour Ory, c'est le début d'une course contre la montre pour la retrouver coûte que coûte, même si elle ne souvient plus de lui et quitte à courir de graves dangers. C'est donc sur un chemin tortueux qu'il s'engage sans réellement mesurer ce qui l'attend...

Le Livre de M est un récit très immersif qui nous entraîne dans une Amérique contemporaine fortement ébranlée lorsque sa population est menacée d'extinction. Impuissante à expliquer les raisons de cette disparition et surtout à l'inverser, la planète glisse peu à peu vers le trouble et la folie. Peng Shepherd explore avec beaucoup de pertinence les dégradations que subit la société moderne suite à une telle situation. L'inexplicable donne naissance à la panique et à l'instinct de survie, conduisant les hommes à commettre l'innommable. En effet, sans explication scientifique, la peur de la contagion prend facilement le dessus sur la raison et pousse les hommes à s'entre-tuer. le Livre de M est un texte troublant. L'ambiance qui s'en dégage est inquiétante. Hasard du calendrier éditorial sans doute, ce livre vient tout de même faire écho à la crise que notre monde actuel traverse. A l'image de la pandémie de Covid-19, la perte de son ombre entraîne également suspicion et psychose chez ceux qui la détiennent encore. Ainsi, la crainte de la perdre est autant exacerbée que celle de contracter le virus. Alors même si l'ordre règne encore dans notre société, on partage quand même des inquiétudes similaires à celles distillées dans ce livre. L'autrice met le doigt sur la fragilité de notre quotidien. Finalement avec elle on prend conscience qu'un seul grain suffit à rompre l'équilibre.

La force de ce texte réside également dans ses personnages. Il n'y a rien d'héroïques chez ces hommes et ces femmes qu'elle met en scène. Et pourtant ces gens ordinaires vont s'adapter, se dépasser, apprendre à devenir autre chose pour survivre, voire sauver le monde. Dans le Livre de M, Peng Shepherd met l'accent sur le clivage qui va diviser ceux qui veulent se souvenir à tous prix de ceux qui renient ce qu'ils étaient pour devenir plus puissants et accéder à quelque chose de plus grand. C'est là qu'entre en scène la fantasy de ce texte. L'apocalypse n'est donc pas le fruit d'une bombe atomique, du réchauffement climatique ou d'une quelconque bactérie meurtrière mais elle est plutôt le résultat d'une puissance magique qui transcende l'humanité. Cette magie se découvre au fil des pages, par petites touches discrètes. Elle contribue à modifier profondément les gens et modèle le monde en quelque chose de différent... suite sur Fantasy à la Carte.
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