Certains sont passionnés de mécanique.
Nic Sirkis, elle, aime les mots et, encore plus, les histoires…
La contrainte oulipienne saugrenue de ce jeu littéraire (écrire une nouvelle de 2000 à 8000 caractères contenant la phrase « Un matin, j'arrive à la boucherie de Dédé pour y prendre mes andouillettes. ») offre à son esprit un cadre invisible. Elle nous conte la Géorgie caucasienne, nous promène à Paris, Dédé en bandoulière. Je me suis laissée porter sur ses chemins singuliers, le sourire aux lèvres.
Michèle Wilisch