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4,24

sur 156 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Printemps 1994, Rose, une jeune femme tutsi muette, écrit tous les jours à Daniel, son mari médecin.
Elle lui raconte ses journées avec leur fils Joseph, et lui adresse des lettres d'amour.
Obligée de fuir leur maison, Rose continue d'écrire et de raconter son histoire. Tel que la voisine qui ne lui adresse plus la parole, parce quelle est tutsi, la disparition de sa mère, son agression, et comment elle a perdu trace de Joseph.
Sacha est une journaliste française envoyée en Afrique du sud pour couvrir les premières élections démocratiques post-apartheid, accompagné de Benjamin qui est photographe. Suite à un accident de voiture avec un camion, ils découvrent que celui-ci transporte des machettes, qui ont pour destination le Rwanda.
Aussitôt, elle décide de partir à Kigali où elle fait la connaissance de Daniel, qui est à la recherche de Rose. Ils vont être témoin de l'horreur de ce génocide.
Ce livre est raconté d'une part, par Rose sous forme de journal et sous forme d'enquête par Sacha.
Deux femmes au fort caractère, deux destins.
Yoan Smadja nous livre entre autre une page d'histoire concernant la guerre civile au Rwanda entre les hutus et les tutsis, qui nous en apprend beaucoup sur le génocide qui s'est déroulé dans ce pays. D'autre part, il nous montre le difficile travail des reporters en temps de guerre.
Un roman magnifique avec des personnages bouleversants, une histoire d'amour, un livre très dur qui ne laisse pas indifférent.
Un réel plaisir de l'avoir lu.
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Yoan Smadja, J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi - 2019 - ⭐️⭐️⭐️⭐️

Très beau roman sur le génocide rwandais et la rivalité ethnique entre les Tutsis et les Hutus. Je n'ai pas compris toutes les références et allusions politiques, comme d'habitude, mais assez pour apprécier la grandeur et la beauté de l'oeuvre. Il y a un beau contraste entre l'histoire de Sacha, la journaliste, déjà dans la mêlée, et celle toute douce de Rose et Daniel jusqu'à ce que la réalité du Rwanda de ce moment-là les rattrape. C'est tranquillement qu'on entre dans l'horreur et dans l'émotion. Il ne faut pas s'inquiéter des cinquante premières pages, l'histoire nous rejoint et nous happe dans ce que nous avons de plus humain. Un moment de grande émotion, de compassion aussi.
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CE CRI MUET, JE L'ENTENDS ENCORE ...
Bouleversant
- C'est en avril 1994 que j'ai demandé à Dieu de divorcer -
Un jeu subtil de dialogues. Un tambour, celui de la guerre, celui de la poésie, celui des images et des odeurs. Sarah et Rose. Récit bicéphale sur l'horreur du génocide au Rwanda. Sans pathos sans sensiblerie. Dévoré en une soirée. A essayer ce 1er roman de Yoan Smadja

"Printemps 1994. le pays des mille collines s'embrase. Il faut s'occuper des Tutsi avant qu'ils ne s'occupent de nous.
Rose, jeune Tutsi muette, écrit tous les jours à Daniel, son mari médecin, souvent absent. Elle lui raconte ses journées avec leur fils Joseph, lui adresse des lettres d'amour... Jusqu'au jour où écrire devient une nécessité pour se retrouver. Obligée de fuir leur maison, Rose continue de noircir les pages de son cahier dans l'espoir que Daniel puisse suivre sa trace.
Sacha est une journaliste française envoyée en Afrique du Sud pour couvrir les premières élections démocratiques post-apartheid. Par instinct, elle suit les nombreux convois de machettes qui se rendent au Rwanda. Plongée dans l'horreur et l'indicible, pour la première fois de sa vie de reporter de guerre, Sacha va poser son carnet et cesser d'écrire"
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Un roman dur et lumineux à la fois. Une écriture parfois poétique, parfois presque documentaire, mais toujours juste. le lecteur se sent au coeur de l'action, toujours. C'est ce qui m'a régulièrement fait stopper la lecture pour quelques jours: j'avais besoin d'air et d'insouciance avant de me replonger dans l'enfer du génocide rwandais. En effet, ce roman m'a fait prendre la mesure du drame qui se jouait alors, et ce fut pour le moins dérangeant.
Toutefois, je ne regrette pas d'être allée jusqu'au bout, même si j'ai quelquefois ouvert le livre avec réticence, me demandant à quelle horreur j'allais encore être confrontée. Car au bout du chemin, c'est la vie qui gagne, inévitablement.
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Difficile après tant de bons commentaires (je pense en particulier à celui d'Afleurdelivres) d‘ajouter ma petite pierre à l'édifice de louange qui couronne la venue du premier roman de Yoan Smadja.
Je remercie tout d'abord les éditions Belfond pour l'envoi de ce texte dans le cadre de l'opération Masse Critique de Babelio.
C'est un livre de 270 pages qui comprend quatorze chapitres et les dix premiers sont suivis d'une lettre de Rose à Daniel. Sacha Alona, une journaliste de guerre, attachée au journal le Temps, et qui a couvert quelques-uns des conflits les plus tragiques des années 1980/90, quitte brutalement les pages internationales du quotidien pour devenir critique gastronomique.
Vingt ans plus tard, elle reçoit un colis contenant un carnet noir, une photo et une lettre.
Commence alors le récit de la dernière mission africaine de Sacha en tant que grand reporter. Ce qui n'aurait pu être qu'un grand roman d'aventure se double d'une belle histoire d'amour : celle de Rose, une Tutsi attachée à l'Ambassade de France par son père, et de Daniel Kobeyisi, le médecin particulier de Paul Kagame, le chef du FPR.
Et les histoires d'amour finissent mal en général, ce n'est pas moi qui le dit, c'est la chanson.
On a déjà beaucoup écrit sur le génocide perpétré au Rwanda, un affrontement interethnique entre Hutu et Tutsi. J'ai lu en 2005 Une saison de machettes de Jean Hatzfeld qui était très clair à ce sujet. En 1994, au Rwanda, 800 000 Tutsis ont été massacrés, en douze semaines, par leurs concitoyens hutus. Soit près de 10.000 personnes par jour, principalement à la machette. Comment les Hutus ont pris leur revanche sur l'ethnie des Tutsis qui avaient tenu les clefs du pouvoir pendant une longue période. J'ai aussi lu en 2016 Petit pays de Gaël Faye qui parle aussi avec beaucoup de chaleur du drame rwandais. Gaël est né Tutsi de par sa mère et son témoignage prend un son tout à fait authentique. Mais je pense qu'on pourra écrire encore et encore sur cette tragédie sans vraiment comprendre ce qui a poussé deux ethnies cohabitant dans le même pays à s'entretuer.
Le roman de Yoan Smadja est novateur dans le sens qu'il raconte l'histoire d'un bel amour qui aurait pu s'épanouir s'il avait été transposé dans un autre pays. le fil conducteur du récit est la quête de l'amour enfui : Daniel cherche Rose, Rose cherche Joseph (son fils)… J'ai suivi le récit avec beaucoup d'intérêt jusqu'à la fin, belle à en couper le souffle.
Tant qu'il y aura des poètes qui sauront nous charmer par de belles histoires, l'histoire, la vraie, celle qui meurtrit, celle qui tue perdurera dans nos mémoires.
Que le souvenir de ces atrocités fasse que nos enfants se disent : plus jamais cela !
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"J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi" de Yoan Smadja: un premier roman bouleversant d'(in)humanité.

"C'est en avril 1994 que j'ai demandé à Dieu de divorcer".

Sacha est Française. Alors qu'elle est dépêchée en Afrique du Sud pour couvrir la préparation des premières élections depuis la fin de l'apartheid, la reporter de guerre aguerrie est impliquée dans un étrange accident de la route. La dimension du convoi, le volume et la nature de la cargaison l'intriguent, l'incitant à se rendre en douce au Rwanda. Sombre et glaçant présage de la barbarie à venir!

Rose est Tutsi. Fille du chef cuisinier de l'Ambassade de France à Kigali, mère d'un petit garçon et épouse d'un médecin membre actif du Front patriotique rwandais. Muette et écrivaine accomplie.

"J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi", c'est l'histoire de Sacha, de Rose et du Rwanda. L'histoire de deux femmes et d'un pays qui sombre dans la folie meurtrière.

En alternant les styles journalistique et épistolaire, le vécu de Sacha sur le terrain et celui de Rose à travers les lettres qu'elle adresse à son mari souvent absent, Yoan Smadja confronte deux visions de ce que furent les premières semaines du génocide: une vision globale à travers les yeux d'une journaliste étrangère et un ressenti plus intime à travers les yeux d'une épouse et d'une mère.

L'atmosphère est ainsi tour à tour glaçante, lourde de menaces et empreinte de douceur, d'amour et de poésie. Mais aux souvenirs de Rose, aux images et aux odeurs associées à une époque heureuse désormais révolue succédent peu à peu la stupeur, l'incompréhension, l'ahurrissement, l'effroi et la peur panique face au déferlement de rage et de fureur humaines.

C'est avec beaucoup de pudeur et de retenue que l'auteur raconte l'indicible.

C'est avec beaucoup de sensibilité et de poésie qu'il dit la grandeur de l'amour.

Oscillant entre amour et haine, lumière et ténèbres, "J'ai cru qu'ils enlevaient toute trace de toi" est un très beau premier roman.
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Jusqu'en 1994 Sacha a été grand reporter sur zones de guerre. Après ce qu'elle a vécu au Rwanda, le pays des mille collines, Sacha est devenue critique gastronomique pour se réfugier dans quelque chose de plus doux. " C'est en avril 1994 que j'ai demandé à Dieu de divorcer" c'est ainsi que Sacha a titré un jour un de ses articles.

Vingt ans plus tard Sandra reçoit un colis contenant les lettres que Rose, une jeune femme Tutsi muette, a adressées à son mari David, un médecin souvent absent. Elle lui racontait sa vie à l'ambassade de France à Kigali où sa famille était employée depuis quarante ans. Elle lui racontait leur fils Joseph jusqu'au jour où ses lettres ont pris un tour dramatique lorsque le président du Rwanda a été assassiné lors d'un attentat en avril 1994, un assassinat qui a été l'élément déclencheur du génocide des Tutsis que le Hutu Power n'hésite pas à dénommer " les cafards".

Lorsque ces événements dramatiques se sont déroulés, Sacha se trouvait en Afrique du Sud pour couvrir la préparation des premières élections démocratiques depuis la fin de l'Apartheid. La découverte de camions remplis de machettes l'avait amenée à soupçonner un transport massif d'armes et de machettes, visiblement encadré par des soldats rwandais. Des machettes spéciales aux deux côtés coupants... Son instinct l'avait alors poussée à se rendre au Rwanda avec son photographe Benjamin.

Cette fiction est basée sur des faits historiques dramatiques. Yoan Smadja nous livre une page d'histoire horrible de ce pays rongé par la haine, en guerre civile depuis des années. Yoan Smadja raconte le vécu de deux femmes fortes. Rose, une tutsi dont nous découvrons le destin au travers les lettres qu'elle a adressées à son mari Daniel et Sacha, une journaliste française, confrontée à la pire horreur que son métier lui ait jamais fait côtoyer... Les lettres de Rose et les articles de Sacha témoignent de ce génocide, de cette extermination systématique de masse au cours de laquelle un million de personnes ont péri en trois mois. La journaliste pour qui jamais rien ne sera plus pareil, pour qui ce reportage constituera une blessure ineffaçable, constate que ce génocide a été prémédité, que tout a été préparé car le gouvernement rwandais s'est procuré des armes auprès de différents pays avant le massacre. Sacha est également témoin de l'immobilisme de l'armée française et des casques bleus... Plongée dans l'horreur et l'indicible, témoin de tueries dans des églises, pour la première fois de sa vie de reporter de guerre, Sacha va poser son carnet et cesser d'écrire...
Ce roman est une belle illustration des conditions dans lesquelles les journalistes travaillent pour témoigner "Il faut poursuivre, écrire, raconter, témoigner de ce à quoi nous assistons." Les dernières dizaines de pages sont complètement bouleversantes.
Lien : https://leslivresdejoelle.bl..
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Le soir du 6 avril 1994, les présidents rwandais et burundais, le chef d'état-major rwandais et une dizaine d'autres personnalités, meurent, avec l'équipage de trois Français, dans un attentat visant l'avion présidentiel rwandais. Dès le lendemain, la première ministre, Agathe Uwilingiyimana, et d'autres personnalités politiques hutu démocrates sont assassinés. Dix militaires belges de la Mission des Nations unies (Minuar), qui étaient chargés de la protection de Mme Uwilingiyimana et qui ont été arrêtés par la garde présidentielle, sont peu après assassinés. Simultanément débute le génocide des Tutsi dans plusieurs provinces du pays. Sacha, journaliste et correspondante de guerre, est au Cap pour rendre compte des premières élections en Afrique du Sud. Dès qu'elle apprend ce qui se passe, elle décide de rejoindre au plus vite Kigali pour couvrir les évènements rwandais avec son photographe. de son côté, la jeune Rose, mère d'un petit garçon appelé Joseph, écrit des lettres à son mari Daniel en déplacement dans le pays. Elle vit avec ses parents dans l'enceinte en principe protégée de l'Ambassade de France. Elle se retrouve bien vite seule car ses parents sont parmi les premières victimes du génocide. Rapidement viendra son tour d'être menacée…
Cet ouvrage est présenté comme un roman sans doute dans la mesure où les personnages sont fictifs. Pourtant, tout le contexte, tous les évènements, toutes les horreurs décrites sont bien réelles. À ce titre, ce pourrait être un document, un reportage. Tout est dit avec rigueur et efficacité. le lecteur ne peut qu'être horrifié, bouleversé par un tel déferlement de haine aussi gratuite qu'imbécile. L'auteur s'est longtemps demandé s'il y avait eu d'autres shoahs. Avec ce génocide, en voilà une bien répugnante. Et ce n'est pas la seule. La liste est longue des peuples qu'on a voulus éradiquer de la surface de la terre (Arméniens, chrétiens d'Orient, Vendéens, Tibétains, Indiens d'Amérique et tant d'autres.) La bête est féconde. Les mécanismes de déclenchement de cette spirale de l'horreur sont bien connus : le peuple à faire disparaître est minoritaire. le pouvoir politique est d'une autre ethnie. Vacillant, il a besoin de se consolider. Les médias aux ordres (Radio des Mille collines) manipulent les esprits en multipliant les appels à la tuerie. Il n'y a plus qu'à distribuer armes et machettes pour que le massacre démarre. Un livre dur, prenant, mais qui n'apporte rien de nouveau sur la question si ce n'est le très beau personnage de Rose, sorte de nouvelle Anne Frank africaine. Si l'on veut vraiment s'informer sur cette horrible affaire, il est quand même préférable de lire les livres de Jean Hatzfeld ou ceux de Scholastique Mukasonga et de Gaël Faye. (Livre critiqué dans le cadre d'une opération « Masse Critique »)
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Plusieurs raisons font qu'il n'est pas facile de rentrer dans ce roman bouleversant. le processus de narration, comme une tresse mêlant les voix des acteurs, spectateurs ou victimes d'un génocide monstrueux au sein d'un Rwanda éventré, torturé, tailladé, sans raison et sans logique. On écoute la voix de Sacha, journaliste pourtant aguerrie, en totale sidération et impuissance, à la recherche d'explications impossibles, on pleure en lisant les lettres lumineuses de Rose, en totale amour pour son époux et son enfant, impuissante, bouleversante, résistante, résiliente, dont la flamme ne s'éteindra pas malgré le pire des épreuves malgré les mots impossibles. On se rassure de la présence du solide de Benjamin, photographe au coeur généreux, et on tremble d'espoir en suivant Daniel, époux de Rose, qui recherche sa femme et son fils au travers des charniers, tout en marquant chacune de ses haltes par une rose gravée dans la pierre ou le bois. Totale émotion, total sentiment de révolte devant la folie meurtrière, l'innommable et l'absurde. Il n'est pas facile non plus de sortir de cette narration qui résonne plus comme un reportage de guerre ou comme un témoignage que comme une fiction. Ici rien n'est gratuit, tout coûte le prix de la vie. Coup dans le coeur, plutôt que coup de coeur. Ce roman est remarquable, profondément nécessaire, comme tous les textes qui nous encouragent à ne jamais oublier de quoi les êtres sont capables lorsqu'ils ont oublié d'être des hommes.
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Je remercie les éditions Belfond et leur collection Pointillés ainsi que Babelio pour ce livre reçu dans l'opération Masse Critique personnalisée.
Ce livre est construit de façon double, une partie "journal" sous formes de "lettres" d'une femme Tutsi à destination de son mari, en espérant qu'un jour il puisse les lire, avoir des traces... Cette femme décrit son parcours, ses moments de vie avant et pendant les monstrueux crimes, le génocide au Rwanda en 1994.
L'autre forme est celui d'un roman classique. Avec pour personnage central une journaliste qui va (dé-)couvrir l'horreur, elle aussi.
L'auteur décrit assez bien les moyens, les processus qui ont mis en place, permis le génocide, le fait que l'héroïne est une journaliste orientant évidemment ce point de vue.
L'histoire hors Histoire, est celle d'un couple Tutsi et leur enfant qui vont être séparés, chacun espérant la survie des autres.
Les personnages sont assez touchants. La thématique ne peut être critiquée...
On peut alors parler du style, très clair, net, précis, parfois d'une belle qualité littéraire. Rien à redire.
J'ai lu ce livre assez vite, et dans ce cas-ci, c'est plutôt une bonne chose, il m'a intéressé.
Bien que je trouve que d'autres livres sur le génocide rwandais étaient plus fouillés et même plus fort 'Une saison de machettes' de Jean Hatzfeld, ou plus décalé et parfois drôle et peut-être plus poignant encore 'Petit Pays' de Gaël Faye... Et je ne parlerai pas de tous les livres sur la Shoah qui m'ont touchés.
J'aurais sans doute plus profondément apprécié ce livre si je n'avais pas lu les deux précités.
Si vous ne connaissez rien ou pas grand chose de ces événements historiques invraisemblables, vous apprécierez beaucoup ce livre. Si vous connaissez très bien, vous apprécierez ce livre à une juste mesure.
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