Sixième roman que je lis de cet auteur.
Celui-ci je l'ai trouvé un peu "longuet" avec une multitude de noms nordiques à retenir, et je ne parle pas des noms à rallonge des rues dans lesquelles Varg Veum nous entraîne, avec s'être enfui de la prison où il est incarcéré en préventive, pour une affaire de pédopornographie.
Une "évasion" quelque peu tirée par les cheveux - à tel point que je me suis dit que les flics locaux l'avaient laissé partir pour qu'il puisse mener tout seul son enquête-, une fin quelque peu tirée par les cheveux et le montage des photos incriminantes (où apparaît notre détective) de même que leur "venue" dans son ordinateur portable pas assez sérieusement traîtées!!
Et le roman est rendu quelque peu complexe par le nombre également d'histoires, différentes mais parfois liées entre elles, qui se croisent et recroisent.
Bon, pas très emballé par ce Varg Véum, mais ce n'est qu'un avis tout à fait personnel.
Et puis je pense que je commence à avoir un peu de mal avec tous ces flics, policiers et détectives, dépassés par les évènements, leur vie, leur quotidien. Qu'ils ont parfois cheché... A force de vouloir les rapprocher de leurs lecteurs et lectrices, leurs auteurs (res), en ont fait des anti-héros, et c'est bien dommage. Car la liste s'est allongée depuis quelques décennies, entre le Adamsberg de
Fred Vargas, le
Verhoeven de
Pierre Lemaitre, le Rebus de
Ian Rankin, Tomar Kan de Takian, Marlin de Mons Kalentoft....