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EAN : 9782717714845
BNF - Bibliothèque Nationale de France (30/11/-1)
5/5   1 notes
Résumé :
Ce catalogue a été publié en 1979 à l’occasion de la Donation de Staël au Cabinet des Estampes de Paris et de l’exposition de l’œuvre gravé de l’artiste à la Bibliothèque Nationale. Etabli par Françoise Woimant et l’épouse de l’artiste, le catalogue répertorie les 107 planches que Nicolas de Staël grava sur la période 1949-1954, dans les cinq dernières années de sa vie ; 42 d’entre elles parurent dans des livres, parmi lesquels les célèbres « Poèmes » de René Char e... >Voir plus
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Vidéo de Nicolas de Staël
Sur Nicolas de Staël (1982 / France Culture). Émission “Documentaire du vendredi”. Photographie : Nicolas de Staël dans son atelier, 1954, par Denise Colomb. 1ère diffusion sur France Culture le 19 mars 1982. Par Jérôme d’Astier. Avec André Ravaute, Étienne Hajdù, Louttre.B et Georges Simonka. Nicolas de Staël, baron Nikolaï Vladimirovitch Staël von Holstein (en russe : Николай Владимирович Шталь фон Гольштейн), né le 23 décembre 1913 (5 janvier 1914 dans le calendrier grégorien) à Saint-Pétersbourg, mort le 16 mars 1955 à Antibes, est un peintre français originaire de Russie, issu d'une branche cadette de la famille Staël von Holstein. La carrière de Nicolas de Staël s'étale sur quinze ans — de 1940 à 1955 —, à travers plus d'un millier d'œuvres, influencées par Cézanne, Matisse, Van Gogh, Braque, Soutine et les fauves, mais aussi par les maîtres néerlandais Rembrandt, Vermeer et Seghers. Sa peinture est en constante évolution. Des couleurs sombres de ses débuts (“Porte sans porte”, 1946 ou “Ressentiment”, 1947), elle aboutit à l'exaltation de la couleur comme dans le “Grand Nu orange” (1953). Ses toiles se caractérisent par d'épaisses couches de peinture superposées et un important jeu de matières, passant des empâtements au couteau (“Compositions”, 1945-1949) à une peinture plus fluide (“Agrigente”, 1954, “Chemin de fer au bord de la mer, soleil couchant”, 1955). Refusant les étiquettes et les courants, tout comme Georges Braque qu'il admire, il travaille avec acharnement, détruisant autant d’œuvres qu'il en réalise. Nicolas de Staël meurt à 41 ans en se jetant de la terrasse de l'immeuble où il avait son atelier à Antibes. Il est enterré au cimetière de Montrouge. Par son style évolutif, qu'il a lui-même qualifié d'« évolution continue », il reste une énigme pour les historiens d'art qui le classent aussi bien dans la catégorie de l'École de Paris selon Lydia Harambourg, que dans les abstraits ayant inspiré les jeunes peintres à partir des années 1970, selon Marcelin Pleynet et Michel Ragon, ou encore dans la catégorie de l'art informel selon Jean-Luc Daval. Il a maintes fois créé la surprise notamment avec la série “Les Footballeurs”, entraînant derrière lui des artistes d'un nouveau mouvement d'abstraction parmi lesquels Jean-Pierre Pincemin, et les artistes du néo-formalisme new-yorkais, ou de l'expressionnisme abstrait de l'École de New York, parmi lesquels se trouve notamment Joan Mitchell.
Sources : France Culture et Wikipédia
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