AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,75

sur 13159 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Le Rouge et le Noir fait parti des chefs-d'oeuvre de la littérature française et on comprend pour.

Julien Sorel est un fils de charpentier mais qui a bien trop d'ambition pour suivre ce dessein. Ce roman découpé en deux parties nous fera voir des facettes différentes de son comportement et notamment de son orgueil sans limites.
La première partie relatant sa vie chez Monsieur de Rênal où il sera épris de sa femme, madame de Rênal et la deuxième partie quand il intègrera la maison de Monsieur de la Mole où il vivra une passion pour la fille de ce dernier, Mathilde. Malheureusement ses ambitions surdimensionnées et ses sentiments destructeurs le conduiront à sa perte.

J'ai apprécié certaines parties du roman et d'autres beaucoup moins.
La lourdeur de la description m'a un peu exaspéré et m'a fait décroché à de nombreuses fois.
Cependant l'histoire en elle-même m'a beaucoup plu.
L'opposition entre le paysan et le noble est très bien menée. le noble possède, certes, l'argent mais le paysan possède l'intelligence. Cela sera de nombreuses fois prouvées au cours de ce roman.
Pour ce qui concerne l'histoire en elle-même, j'ai trouvé cela assez intéressant de voir à quel point un homme aussi orgueilleux que Julien Sorel puisse arriver à commencer à détester une femme, se donner le challenge qu'elle tombe amoureux de lui pour au final être pris au piège de cet engrenage.
Il se rend compte bien vite que ce n'est pas avec l'église qu'il atteindra ses ambitions. Il utilise la femme pour pouvoir gravir les échelons de la société mais fini par y laisser des plumes.
Une fin qui nous bouleverse mais qui en dit long sur la politique de l'époque.

Une histoire qui a du caractère et qui peut être comprise de différentes manières notamment au niveau du titre et de ses différentes interprétations à travers ce roman.
Lien : https://fantasydaniella.word..
Commenter  J’apprécie          320

D'emblée, je dois avouer que je n'ai pas un attrait particulier pour les "classiques". C'est donc toujours avec une certaine appréhension que j'en ouvre un. Parfois, j'ai de bonnes surprises, parfois pas...
Et ici, ça ne l'a pas fait.

Qu'est-ce que je me suis ennuyée durant cette lecture, qui fût pour moi laborieuse au possible. Je me suis même littéralement endormie sur le bouquin à plusieurs reprises, même en cours de journée, ce qui ne m'arrive jamais.

Si Stendhal est parvenu à vraiment bien représenter le milieu petit bourgeois (principalement) du 19e siècle, il est aussi parvenu à dépeindre des personnages que j'ai détestés. J'ai trouvé Julien Sorel particulièrement exécrable, égoïste, auto-centré, jaloux, un peu mégalo, capricieux... Et même s'il a évolué au cours du roman, ce ne fût, pour moi, pas pour un mieux tombant parfois dans une mièvrerie agaçante.
Du côté des femmes, jusqu'au bout j'ai détesté Madame de Rénal et si j'ai trouvé Mathilde particulièrement idiote dans la première moitié du roman, elle est un peu remonté dans mon estime par la suite, sans aller bien haut tout de même.
Bref, un roman assez dense, surtout intéressant pour le contexte qu'il met en avant mais dont je garderai un souvenir embrumé.

Je suis quand même bien contente d'être arrivée au bout de ce pavé qui fait partie de ces oeuvres "qu'il faut avoir lus mais qu'on n'a pas envie de lire" pour paraphraser Twain.
Commenter  J’apprécie          3139
(Etre) Cesar ou rien ! Voilà Julien Sorel.

Rejeton chétif, né dans une famille de bûcherons et de charpentiers, sa santé ne lui permet pas de se joindre à l'entreprise familale. Son père lui reproche chaque bouchée qu'il avale, ses frères le battent. Tous le méprisent, lui les hait. Il trouve refuge dans les trois ou quatre livres qu'il a su se procurer. C'est qu'il sait lire, le petit prétentieux ! Il sait même le latin, que le curé lui a appris. Parasite, faineant... sale "liseux" ! On le bat d'autant plus fort. La rage au coeur, Sorel se réfugie dans ses précieux livres, surtout dans le "Mémorial de Sainte-Hélène". C'est ainsi que Napoléon devient une sorte de père, et de modèle. La fierté, le courage deviennent ses vertus, la solitude et le pouvoir nécessaire à son maintien sont ses objectifs.

Mais tout cela n'est que rêverie, jusqu'à ce que s'offre la possibilité de devenir précepteur des enfants du maire, petit noblieau de province sous Charles X. C'est sortir du cercle infernal des humiliations et des coups, manger mieux, être bien vêtu, même avoir un salaire ! Mais pour cet être à la fierté enragée, tout contact social se pose en termes de pouvoir. Tout lui est défi ou insulte. Il s'est enfermé dans le double rôle de victime et de vengeur. Non, il n'est pas insensible à l'amitié ou à l'amour, mais son incapacité à voir en autrui autre chose qu'un ennemi à pacifier par la conquête, rend l'amour même impossible. Les autres sont des objets à assujetir et à posséder. C'est là l'antithèse même de l'amour ou de l'amitié.

Doté d'une mémoire prodigieuse, fort intelligent, infatigable, cynique parfait, et tête brulée de surcoit, Julien réussit à continuer son ascension de l'échelle sociale, en changeant régulièrement de décor, pour que ses bévues ne le ratrappent pas, malgré l'appui de protecteurs. C'est, bien sûr, reculer l'échéance et augmenter la hauteur de la chute quand elle viendra. Elle sera, finalement, mortelle. Pour lui, et pour quelques autres.

La figure du jeune ambitieux n'est pas singulière - Lucien de Rubempré, par exemple, en était une autre. Mais si la carrière de Lucien était bien extraordinaire, elle pouvait, somme toute, passer pour possible. Celle de Sorel ressemble à un empilement d'invraisemblances. Tous seraient dupes presque jusqu'à la fin? Et qu'en est-il des talents de séducteur de ce jeune homme: il n'est de femme qui ne se pâme dès qu'il s'approche ? Malgré ses mauvaises manières, sa froideur hautaine, ses habits de curé même ? Allons donc ! Julien se prend pour Napoléon, et la chose bizarre est qu'on le croie. L'audace seule ouvrirait toutes les portes...

Les autres personnages principaux ne sont pas mieux conçus : Mme. de Rénal serait - bien que mère de plusieurs enfants - ignorante des choses de la vie au point de s'amouracher d'un jeune homme qui lui fait des bises sur l'avant bras - c'est l'extase immédiate ! Quelques pages plus loin cette prétendue dinde roule son mari autour de son petit doigt pour sauver Julien. Vraiment ! Mlle. de la Mole, quant à élle, n'est que le mirroir au féminin de Julien: hautaine, froide, perpétuellement ennuyée, elle n'a que mépris pour son entourage, qu'elle s'amuse à torturer au moyen de plaisanteries au vitriol.

Stendhal, comme Julien, était un homme qui haïssait son père. Il voyait sans doute en lui cet autre homme que sa mère aimait. Car Stendhal éprouvait pour elle cet amour fusionnel, exclusif qui lie les nourrissons à leur mère. Un lien absolu, qui sera rompu par son décès, quand Stendhal a sept ans. L'événement décisif de sa vie, il ne s'en remettra jamais. On lui dit que c'est Dieu qui a rappelé sa mère à lui - Stendhal devient athée. Son père reste l'ennemi, le concurrent. Son grand-père sera une figure paternelle de substitution. Dissipé, aimant la peinture et la musique, voulant écrire (mais quoi ?), il commence vers ses seize ans une vie aventureuse à Paris. Il cherche l'amour, la beauté, la richesse, le bonheur. Mais comment une femme pourrait-elle entrer dans ce coeur où la mère trône ? Comment devenir riche quand on vit en dilettante ? Comment connaître le bonheur quand vous manquent les gens et les moyens ? N'est-ce pas plutôt la recherche d'une mère, disparue, en d'autres visages et d'autres lieux ? La vie De Stendhal a t-elle été une errance ? Je le crois.

Après avoir lu Balzac ( sublime !), Victor-Hugo, Zola même, on se dit : que c'est mal fagotté ! Des successions interminables d'instantanés ( certains y voient la recherche d'une spontanéité), des énumérations poussiéreuses de dialogues, tout me paraît morne, gris, triste ( d'autres ont affirmé qu'il s'agissait de rendre la morbidité de la société sous la Restauration). Tout ceci ressemble plus à un journal intime qu'à un roman.

Comment noter cette composition ? Ai-je compris "Le Rouge et le Noir "? Ai-je saisi Stendhal ? Si un livre ne me plaît pas, il peut plaire à autrui. Je suis en général généreux, je ne me sens pas le besoin de démolir quelqu'un. Allons, bon, trois étoiles. Bien payé. Ne revenez pas.
Commenter  J’apprécie          283
Roman que j'ai découvert alors qu'il était imposé dans le cadre du programme de Français, j'ai fait sa connaissance en deux phases : une première, subie, où je me suis efforcé d'en tirer de quoi réaliser une fiche de lecture un peu construite, et une seconde, cette fois consentie, où j'ai pu en découvrir toute la profondeur et toute la richesse.
Un classique incontournable, repère dans la littérature française.
Commenter  J’apprécie          210
Je vous écris cette chronique juste après avoir terminé le Rouge et le Noir. Alors oui, Stendhal est tellement célèbre que mon avis de petite bloggeuse peut paraître bien insignifiant mais je vais tout de même vous raconter mon expérience avec ce gros classique et vous expliquer quelques petites choses à savoir avant de se lancer dedans !

Tout d'abord, il est vraiment gros. Et donc on met longtemps à le finir. Si vous avez déjà du mal avec les classiques, ce n'est surtout pas par là qu'il faut commencer. J'avais l'impression que je n'allais jamais arriver au bout de ce roman car je ne parvenais jamais à lire plus de 20 pages maximum à la fois. J'ai finalement réussi à le lire en à peine plus de deux semaines, mais je ne vous cache pas qu'il s'agit d'une lecture difficile. Il est entré en ma possession en classe de 1ère, nous avions le choix entre Bel-Ami et le Rouge et le Noir pour le même contrôle, j'avais acheté les deux et finalement choisi de lire Bel-Ami, et je pense que j'ai bien fait. Bel-Ami est un livre très prenant (je l'ai lu en trois jours) malgré le fait qu'il s'agisse d'un classique, et il est beaucoup plus facile d'accès. Si vous ne l'avez pas lu je vous le recommande vivement !

Le style d'écriture dans le Rouge et le Noir n'est pas si compliqué que ça : il n'est ni lourd, ni bourré de descriptions interminables. L'un des problèmes pour moi a été le nombre incroyable de références. Peut-être qu'au lycée, j'aurais été plus calée niveau références, mais là j'étais perdue. Entre les ultraroyalistes, les libéraux, les jésuites, les jansénistes, et toutes les références à des événements / noms célèbres de l'époque… je ne m'y retrouvais plus car ce n'est pas des thèmes familiers pour moi. J'ai lu la moitié du roman en version papier et il y avait des notes de l'éditeur assez utiles, mais j'ai lu l'autre moitié sur ma liseuse électronique et là, plus aucune aide. Déjà que je me perds avec les partis politiques et les références à des événements qui se passent de nos jours, je ne vous dis pas ce que c'est pour 1830 ! Il y a également pas mal de longueurs qui auraient pu être évitées et des passages pas très intéressants, notamment au séminaire ou les discussions sur la politique que je lisais sans vraiment réfléchir au sens des phrases sur lesquelles mes yeux passaient.

Vous le savez peut-être, mais le roman est divisé en deux livres. Dans le premier, l'histoire d'amour entre Julien et Mme de Rênal ne m'a pas vraiment touchée alors que les histoires d'amour interdit un peu tragiques m'ont toujours plu dans les classiques. Par contre, les 100 dernières pages, environ, m'ont énormément touchée et cette même histoire d'amour a pris tout son sens pour moi. J'ai beaucoup aimé la fin.

Julien restera l'un des personnages les plus complexes que je n'ai jamais vu. Il veut devenir riche mais méprise les riches. Il veut devenir prêtre mais méprise la religion. C'est un hypocrite et un ambitieux, bref pas un personnage super attachant, mais toutes ses pensées sont étalées et analysées, ce qui fait que l'on entre facilement dans son esprit, même si on y est perdu. Et Mathilde, folle amoureuse de lui, qu'il rencontre dans le deuxième livre, est complètement tarée. Elle est imprévisible, incompréhensible, et menée par la folie des grandeurs. Dans un chapitre elle se jette à ses pieds en se disant son esclave, puis dans le suivant elle lui déclare qu'elle ne l'aime plus, lorsqu'il la menace elle tombe à nouveau amoureuse, etc… Bref, on ne sait pas ce qu'elle veut et elle est complètement schizophrène ou bipolaire, et serait bien mieux dans un hôpital psychiatrique. Des personnages intenses, sombres et complexes qui appartiennent bien au courant du romantisme, même si le roman est à la frontière du romantisme et du réalisme. le seul défaut que je peux faire au niveau des personnages, c'est qu'il y en a un peu trop.

En tant que grande lectrice, je me disais que je me ‘devais' de lire ce classique incontournable qui fait partie du patrimoine de la littérature française. Il est souvent lu pour les cours, mais c'est un roman difficile et qui demande beaucoup de temps, de réflexion et de concentration, donc je comprends les collégiens et lycéens qui sont un peu dégoûtés de la lecture parce que c'est le genre de livre qu'on les force à lire. Loin d'être un supplice, c'est quand même un livre que j'ai apprécié mais qu'il vaut mieux lire à l'âge adulte. Je recommande également de le lire dans une période où vous avez du temps libre et dans un état d'esprit relativement détendu, car vous n'aurez pas envie de vous y plonger après une dure journée au boulot. En tout cas, il fait partie des livres que l'on doit lire une fois dans sa vie (enfin rien ne vous y oblige bien sûr). Etant donné que je lis beaucoup de livres jeunesse, j'essaie de lire tout de même un ou deux classiques chaque année pour me faire une culture littéraire raisonnable. Même s'il y a eu des moments où j'ai dû m'accrocher, j'ai un avis positif concernant ce roman.
Lien : https://marinesbooks.wordpre..
Commenter  J’apprécie          200
C'est un classique que j'ai étudié pendant mes années lycées, j'en avais gardé un bon souvenir, cette relecture fut un autre bon moment.

J'aime beaucoup l'écriture de Stendhall, riche sans être trop descriptif, il y a beaucoup de dialogue.

J'ai apprécié le personnage de Julien qui s'élève au sein d'une société qui ne veut pas de lui, à part les femmes ; il peut être orgueilleux et à la fois juste ou méprisant pour les gens de petites conditions, milieu d'où il vient ; c'est là toute la richesse de ce roman : les relations entre gens de différente classe.

Nous sommes dans les années Napoléon, la république s'installe mais les traditions et les rangs dans la société ont du mal à éclater encore. La fin tragique de Julien en est le résultat.

J'ai eu beaucoup de plaisir à relire ce roman culte.
Commenter  J’apprécie          200
Le Rouge et le Noir, ou l'histoire d'une ambition dévorante.
Assurément, l'écriture de Stendhal est immersive et parvient à dépeindre avec précision l'environnement, la mentalité et les moeurs du 19e siècle.
Le moins que l'on puisse en dire, c'est que ce n'est pas joli.
Julien Sorel n'a qu'un but dans la vie : "arriver". Tous les moyens lui sont bons.
Stendhal rend ce personnage détestable à souhait, si bien que j'ai eu plus d'une fois envie de fermer ce livre. Au point que, pour ma part, la fin du roman, très réussie, m'est apparue comme une vengeance personnelle.
Commenter  J’apprécie          192
Trois mois, c'est le temps que j'aurais mis à arriver au bout du "Rouge et le Noir".
J'ai fait des pauses (beaucoup) et lu d'autres livres entre temps.
Parce qu'il faut bien le dire, si l'écriture est somptueuse, l'histoire m'a prodigieusement ennuyée.
Le pauvre Julien Sorel n'attire pas du tout l'empathie : fat et arriviste, il a une haute idée de lui-même, basée on ne sait trop sur quels critères. En effet, excepté sa capacité de mémorisation, l'homme n'a aucune qualité. Et il ne sait absolument pas ce qu'il veut. Il entre au séminaire mais ne croit pas en Dieu, séduit des femmes pour mieux les abandonner... Bref, le pauvre n'a pas grand-chose pour lui.
Et ces "je t'aime" - "moi non plus" dignent d'une sitcom... ne sont définitivement pas pour moi ! Au moins le Georges Duroy de "Bel-Ami" a le bon goût d'être cynique de bout en bout.
Si je n'ai pas abandonné, c'est principalement pour le style et l'ironie De Stendhal. Car c'est tout de même un grand plaisir de lecteur.
Je me souviens m'être aussi beaucoup ennuyée en lisant "La Chartreuse de Parme" pendant mes études. Pas sûr que je lui redonne une chance dans l'immédiat !
Commenter  J’apprécie          186
classique ... Voilà un des livres que l'on donne aux élèves en France ;) ma question : mais qu'y a t'il à étudier dans ce livre ??? Quand nos enfants sauront qui entre madame de rênal et mademoiselle de la mole, notre héros julien aura choisi, ils seront bien avancé dans la vie !!! j'ai entendu plusieurs personnes me dire en bref l'histoire c'est un homme ambitieux qui se sert de son charme auprès des femmes pour arriver à s'élever .... mais sincèrement pour arriver à quoi ??? où est l'ambition de cet homme ??? Pour moi, il s'agit d'une simple romance des années 1800 ! rien de plus … La force de ce livre, la plume de l'auteur ??? Ben non :( aucune poésie, aucun charisme … Un langage soutenu certes, puisque d'époque mais rien de touchant pour moi ! grosse déception
Commenter  J’apprécie          188
Ce n'est pas toujours facile d'aborder Stendhal, qui peut être rebutant aux premiers abords. Pourtant, son histoire est riche en rebondissements et en intrigues (ambition, ascension sociale, jeune homme qui cherche désespérément sa place dans la société, amour impossible, défaite, etc.), elle offre un portrait réaliste de l'époque, mais il faut lire le roman rapidement pour ne pas se lasser. La qualité de l'écriture, la subtilité des personnages et la puissance de cette histoire d'amour justifient cette lecture.
Commenter  J’apprécie          180




Lecteurs (58618) Voir plus



Quiz Voir plus

Le Rouge et le Noir

De quelle ville est originaire le héro dans le Rouge et le Noir ?

Besançon
Paris
Verrières
Londre

13 questions
348 lecteurs ont répondu
Thème : Le Rouge et le Noir de StendhalCréer un quiz sur ce livre

{* *}