Ce roman est adaptation du scénario de
James V. Hart dont Coppola a tiré son film Dracula.
J'ai adoré le film mais ce n'est pas ici qu'il tient d'en faire une critique.
Par contre on peut comparer l'humanité de ce Dracula avec celui de Stoker.
Le Dracula d'origine, celui de Stoker, est un monstre qui n'a plus eu ou même jamais eu une once d'humanité.
Par contre celui qui nous est présenté ici est devenu un monstre suite à la perte de son amour et au fait que la religion condamne le suicide alors qu'il l'a défendue des "infidèles".
A sa mort, Mina voit se dessiner un sourire sur son visage... Il est délivré.
On ressent de l'empathie voire même de la pitié pour ce Dracula.
N'oublions pas non plus le sous-titre du film : "Love never dies".