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C'est parti pour la critique tant attendue !! : )). Un livre du Francophone Romain Ternaux aux éditions Forges de Vulcain « Underdog Samurai » Broché, 288 pages, Janvier 2022.

Mon bienfaiteur, Julien L. qui m'a offert ce livre en a choisi un récent ; ) bien. Ça me donne la sensation d'être in the move.

C'est l'histoire d'un héros anonyme passionné d'arts martiaux, battu par son grand-père, et arnaqué sur internet, qui veut se venger. Il entend un genre de prophétie comme quoi il serait promis au destin exceptionnel de meilleur guerrier au monde, et compte bien la réaliser!

Ce livre fera plaisir aux férus d'arts martiaux (Dragon Ball, Naruto…).

À qui ça n'est jamais arrivé d'acheter « une super affaire » sur le Dark Net, et de se retrouver avec de la camelote… Mais là, le personnage ne l'entends pas de cette oreille et compte bien aller se venger au Japon. Il va demander l'aide de son idole, Hervé Ply, et sera déçu…. le protagoniste rencontrera heureusement Robert, qui l'entrainera.

Il faut dire que quand on achète quelque chose sur le deep web, 99% du temps, c'est des conneries…

« Une bonne soirée c'est une soirée dont t'as aucun souvenir » Je crois qu'on doit attribuer cette punch line à Orelsan. Les bières se suivent et ne se ressemblent pas x)… Beaucoup d'alcool dans cette oeuvre! : )

Il y a là un humour puissant, un peu absurde et digne de film séries Z Américains d'action à petit budget ^__^°…

Papy serait il à Underdog Samurai ce que Rogue est à Harry Potter ?! ; )

J'aime bien la profusion de personnages divers et variés hauts en couleurs ! : )).

L'antagoniste absolu fabriquant de faux sabres s'appelle donc Vittore… Cela mènera il les héros jusqu'aux USA?! : O

Sauvons la fille à la DMC 4 !! x)…

*DMC4= Devil May Cry 4 (jeu vidéo).

Du looser au puissant guerrier…

Heureusement que je parle Anglais! ; ). Il y a beaucoup d'anglicismes
Lien : https://charlyyphoenix.wordp..
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Attiré à la base par des sushis, mais bien trop fauché pour pouvoir m'en payer, je m'suis rabattu sur l'opé masse critique pour m'offrir du poisson découpé à la japonaise à moindre frais.
Vous connaissez le Fugu ? Ce poisson qui s'il est mal taillé se révèle toxique? Malaise.

Toujours un peu délicat ce type de critique, on vous offre un livre qui à priori devrait vous plaire, puisque vous vous êtes porté volontaire pour le recevoir. Une fois les hypothétiques emplettes terminées, il y a l'attente fiévreuse du tirage au sort, l'euro million du bibliophile, c'est le moment pour recroire en votre divinité favorite et de tenir la porte que vous claquez habituellement à la tronche de votre voisine infecte, ou de donner l'aumône au clochard que vous faites semblant de ne pas voir alors que vous claquez une petite fortune pour soigner un chat qui vous déteste. Une petite semaine pour s'attirer la baraka lors de l'attente pénible du mail annonçant le jugement divin : on passe du statut de quidam défavorisé par la bonne fortune à celui d'élu choisit pour s'exprimer sur un ouvrage qui à besoin de visibilité.
J'ai vécu ça.

Telle une commère de bas étage j'ai guétté le facteur et lui levait le troisième doigt lorsque je revenais bredouille d'un aller-retour vers la boite aux lettres désespérément vide agrémentée d'un autocollant "STOP PUB, SAUF FOIRE AU VIN."

Pitié, petit dieu de la poste, faites que ce démon de facteur ne perde pas cet ouvrage qui me revient de droit.

Et puis c'est l'arrivée, j'extrais l'ouvrage à la superbe couverture d'une enveloppe de papier à bulle que je m'empresse de reluquer. J'ai oublié le synopsis, tant mieux.J'attaque la lecture candide.

C'est l'histoire d'un gonze un peu à la che-ra qui claque son RSA dans un sabre sur le dark web, mais si vous savez, ce sont ces profondeurs abyssales des internets ou vous pouvez trouver tout ce qui se monnaie, y compris de la charentaise tombée du quotidien.
Bon lui il achète un katana, sabre maousse japonais. Après quelques mouvs' foireux, notre apprenti samouraï discount va disloquer sa « merde in china » en effleurant une bibliothèque de marque suédoise.
Il vient de se faire rouler comme un nem chez l'asiat' en bas de chez toi. Qu'à cela ne tienne, il va chercher vengeance en territoire ennemi.

Si le pitch est plutôt chouette, j'ai vite déchanté sur la qualité de la forme, l'écriture un peu facile m'a lassé après une trentaine de pages. La temporalité saccadée m'a foutu en vrac comme une bouteille de mauvais saké. le ramassis de cliché sur l'ensemble des personnages était aussi fadasse qu'un plat asiatique réchauffé de buffet à volonté. Ça sentait le déjà-vu et la sauce miso-gyne.

Je déplore un peu l'absence de travail expurgatoire d'une maison d'édition qui à pourtant publié de la qualité. C'est peut-être laisser un peu trop carte blanche à un auteur pourvu d'un sens aigu de l'imagination, qui aurait gagné à être tempéré ci et là par des remarques bienveillantes pour driver un récit dont le vulgaire et la temporalité agaçante fatigue.

J'adore le déjanté et le foutraque, vraiment, mais je l'ai trouvé ici surfait et mal amené, porté part un héros irrévérencieux sans classe ni éclat. C'est grivois et certains termes choisis et bien amené sont dilués dans une surenchère d'absurde.

Une petite dose de fantastique vient petit à petit ancrer le récit dans une dimension fantasy polluée par un abus de termes japonais qui surdosés s'accordent mal avec la grossièreté des propos et la caricature trop grasse de l'ensemble du casting.

Overdose de japoniaiseries ?

C'est un spectacle d'ombres chinoises joué sous Parkinson avec des moufles.

J'vous épargne le c'était « nippon ni mauvais », je pense juste que je n'ai pas su apprécier à sa juste valeur ce roman qui a su plaire à d'autres.

Pour une dose d'humour et d'action vraiment déglinguée, je m'en retourne vers Tim Dorsey et son inénarrable Serge Storms dans Florida Roadkill, Triggerfish Twist ou le reste de ses aventures.

Je remercie tout de même Les Forges de Vulcain de laisser autant de place à auteurs et récits si éclectiques, et jure que cette parution qui m'a moins plu ne remet pas en cause l'intérêt que j'ai pour le travail qu'ils fournissent.

J'remet donc le hara-kiri à plus tard car vos aventures publiées valent le coup d'être lues.
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L'auteur nous embarque dans un road movie international tumultueux entre fables des temps modernes et thriller haletant.

Comment se conduire lorsque l'on est un jeune homme mal dégrossi, introverti, arnaqué par un vendeur en ligne installé à l'autre bout du monde ?

Le héros spolié crie haro sur les yakusas qui l'ont pris pour un lapin de six semaines. Il décide de leur demander réparation sur place jusqu'à leur faire rendre gorge s'il le faut, avec le concours inattendu d'un grand-père d'outre-tombe et d'un médecin repenti de la mafia.

J'étais prévenue du non-conformisme de l'auteur, de son écriture trash, pétulante, vive ; je me suis laissée emporter par l'humour, les personnages dont l'outrance n'a pas de bornes et l'histoire qui vous capte jusqu'à l'épilogue.

Romain Ternaux nous offre une fable impossible à quitter tant les rebondissements sont nombreux, improbables, délirants. L'action y est omniprésente. L'anti-héros persuadé d'être un être d'exception s'acoquine avec un médecin toxicomane, un sumo attaché à une armure ancestrale, pour sauver celle qu'il aimerait voir devenir sa dulcinée et obtenir compensation de son préjudice. Un grand-père et un Okaï pour superviser et interférer dans toutes les péripéties que le pauvre garçon va nous faire vivre.

L'auteur réalise la prouesse de livrer une histoire totalement déjantée qui donne tout de même envie de savoir comment le héros peut s'en sortir après tant d'événements invraisemblables.

Ce livre est un remède à la morosité.
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Dans ce roman, nous suivons un jeune homme qui achète un katana prétendument authentique sur internet et qui se rend très vite compte qu'il a été dupé. Hors de lui, il va décider de se rendre au Japon pour se venger des yakuzas qui ont eu l'audace de l'arnaquer. Mais attention, son chemin sera semé d'embûches (et de yokaï en tous genres).

Je ne connaissais pas du tout l'auteur mais d'après ce que j'ai pu lire sur ses autres romans, celui-ci est plutôt représentatif de son oeuvre. Bonne nouvelle pour vous si vous avez appréciés ses anciens romans ! Quoi qu'il en soit, je n'avais, pour ma part, lu que le synopsis avant de me décider à découvrir ce roman donc je suis parti un peu à l'aveugle. Pour le coup, le résumé m'avait bien attiré puisqu'il laissait présager une histoire un peu déjantée, ce que j'aime assez.

Bon, dans les faits, dire de ce roman qu'il est déjanté est un doux euphémisme. On est largement au-delà de la notion de déjanté. J'ai vu le mot « burlesque » utilisé pour qualifier le roman et j'imagine que c'est un bon choix de mot. On est clairement dans de l'absurde poussé à l'extrême et dans la surenchère d'une manière générale.

Très clairement, ce roman n'est pas pour tout le monde (et de toute évidence il n'était pas pour moi). Je n'ai rien contre la violence dans les romans mais ici c'était un peu trop systématique et gratuit pour moi. Je n'ai rien non plus contre les blagues de mauvais goût et l'humour noir (bien au contraire d'ailleurs) mais je suppose que mon seuil, pourtant assez élevé, a été dépassé ici. ⠀

Certains jeux de mots m'ont bien plu (et ils démontrent clairement la culture et la vivacité d'esprit de l'auteur), mais j'ai eu du mal à les apprécier pleinement au milieu de cet humour souvent scabreux. Certains passages m'ont d'ailleurs semblé trash juste pour le plaisir d'être trash (je garde à l'esprit une description particulièrement fleurie d'un herpès génital que j'aurais préféré ne jamais lire, d'autant qu'elle n'apportait rien à l'histoire).

Ceci étant dit, il y a un vrai parti pris, et si je me base sur les avis que j'ai vu pour le moment, ca plaît énormément à certaines personnes (et c'est tant mieux). Mon but n'est donc pas de vous dire de ne pas lire ce roman mais plutôt de vous en dire un peu plus sur son registre pour éviter les mauvaises surprises si vous n'êtes pas réceptifs, comme ça a été mon cas, à ce type de littérature. Et si vous pensez l'être, foncez !

Bon et au-delà du registre, je dirais quand même que le roman est très rythmé et qu'il est bourré de références pop culture très sympa. Par contre, ne vous attendez pas à suivre un personnage principal attachant, ce n'est clairement pas ce que vous trouverez ici. le protagoniste est odieux du début à la fin, et c'est complètement assumé.
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Frénétique, adrénaline fois mille !
« Underdog Samurai » est un roman trépidant, viril et nuancé. Sous les faux-airs d'une farce, les signaux vifs d'une souffrance sociétale et humaine.
Un jeune homme, décalé, marginal, paresseux, un raté en somme est le fil rouge de ce récit mordant et acide.
Il vit avec son grand-père étrange, un peu fou voire possédé qui le déteste depuis sa plus tendre enfance.
Notre anti-héros s'imagine en samourai, masque et faux-semblants. Vainqueur enfin de ses souffrances et d'un mal-être qui l'étouffe. Il va voler de l'argent à son grand-père, et commander via internet un sabre japonais. Ce dernier est une fausse joie. C'est une copie, le double emblématique de notre apprenti samurai.
Rêve brisé et lame de fond d'une désillusion, la satire prend forme.
Nous sommes dans un espace où notre personnage vit ses propres résistances et plonge dans un évènementiel qui flirte entre le thriller, la fable et l'absurde.
Il rencontre un SDF, son double cornélien, qui devient son complice et son compagnon des mauvais chemins et des désenchantements. Ils vont crier vengeance. Partir pour Tokyo et régler leurs comptes. Mais n'est pas yakuza qui veut !
L'ambiance n'est pas sereine mais réussie. Romain Ternaux est doué et maîtrise l'histoire comme un yakuza convaincu. Entre les pieds de nez, les dérisions, les violences abyssales, il y a des percées de tendresse.
« Underdog Samurai » est un roman serré comme un café fort, étonnant et sombre. C'est une quête existentielle parsemée d'humour noir.
Mouvementé, il ne s'accorde pas un seul moment de repos. de sabre, de sumotoris et de yokais « Underdog Samurai » mérite la ceinture noire. Original. Publié par les majeures Éditions Aux forges de Vulcain.
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Je n'irai pas par quatre chemins : ce livre est l'un des plus dingues que j'ai lus ces dernières années. Il ne s'y passe absolument rien de conventionnel, d'attendu ou de rationnel. le héros principal est plutôt détestable et les péripéties qu'il traverse absolument improbables. On peut parler de grotesque oui, d'absurde sûrement, d'humour trash évidemment mais il y a surtout une bonne dose de culture pop là-dedans !
On visualise parfaitement les combats à la sauce kung-fu, ou encore les scènes cracras dignes du cinéma gore, on lève les yeux au ciel aux très nombreuses blagues potaches et on est pris au dépourvu par les apparitions surnaturelles d'un esprit grand-paternel vengeur dans une mythologie japonaise parodiée.
Bref, l'histoire de ce jeune français aspirant samouraï, complètement fauché, alcoolique sur les bords et plutôt méchant, n'a rien d'un conte de fées. Il a commandé le sabre japonais dont il rêvait sur le dark net (avec la carte bleue volée à son petit papi chez qui il vit). Sauf que c 'est un Katana made in China qu'il reçoit, et là de s'être fait refourguer de la camelote, ça le met en fureur ! Après un rapide combat au nunchaku avec son grand-père (oui oui oui) il part à l'aventure, retrouver les yakuzas qui l'ont escroqué.
Ainsi se déroulent les aventures invraisemblables et ininterrompues d' «Underdog Samuraï », de l'arrière-cour d'un gymnase de banlieue au dortoir d'une écurie de sumos au Japon, jusqu'au sommet d'un building au Texas. Romain Ternaux ne nous laisse pas un instant de répit dans ce roman archi-décalé.
Si je n'ai pas été particulièrement sensible à cette forme d'humour, je ne peux que le conseiller aux curieux, avides de fictions bizarres (c'est un genre apparemment, le Bizarro Fiction). A défaut de me marrer, j'ai apprécié l'aventure littéraire à des kilomètres des sentiers battus proposées par les excellentes éditions Les Forges de Vulcain.
Avis aux amateurs d'OLNI (Objet Littéraire Non Identifié)!
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Que les choses soient claires dès le début : le style de Romain Ternaux n'est pas consensuel.
C'est d'ailleurs presque une caractéristique chez Aux Forges de Vulcain d'éditer des auteurs clivants.
D'ailleurs, Céline, Houellebecq, Bukowski et consorts ne sont pas consensuels non plus. Ils n'en demeurent pas moins des grands noms de la littérature française.
Romain Ternaux n'en est pas encore arrivé là parce que sa notoriété n'est pas assez établie mais ça viendra. Assurément.
Underdog Samurai est représentatif du talent de Romain. Il s'empare d'une thématique, ici le folklore populaire japonais, et nous livre une histoire déjantée à sa sauce, dérangeante, surprenante, inclassable, jamais tranquille, jamais neutre, jamais maussade.
Si la vulgarité vous horripile, si vous détestez sortir des sentiers battus, si vous aimez vous cantonner dans le conformisme et le politiquement correct, ne lisez pas Underdog Samurai.
Ne le lisez surtout pas.
Maintenant, si vous ne vous reconnaissez pas dans le portrait ci-dessus, offrez-vous au Samurai, vous allez vous faire défoncer.
Mais qu'est-ce que c'est bon !

Lien : https://christophegele.com/2..
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Romain Ternaux n'est pas l'arrière-petit-fils caché de Marcel Proust : Dans "Underdog Samurai", les transitions sont très (parfois trop) rapides. C'est dommage, on finit le livre comme on finit un jogging : le souffle court.

Autres points négatifs : le passage dans l'heya des sumos casse l'histoire, car beaucoup trop long et les multiples apparitions du grand-père du héros sont pénibles à la longue.

Mais sinon, quelle imagination !
Une lecture rafraîchissante
Un roman extrêmement drôle, un humour trash trop rare dans la littérature moderne.
Un objet de pop culture à découvrir.
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Il est rare qu'un roman une fois terminé me laisse des doutes sur l'interprétation à en tirer ; c'est le cas de ce singulier roman aux inspirations pulp et pop, volontiers cynique et mordant d'ironie. Reste à savoir si ce personnage principal détestable l'est à des fins de satire, de parodie, ou d'un humour auquel je ne saurais souscrire.
Faute de pouvoir être sûr du bilan à tirer, je demeure dubitatif, je l'admets.
Lien : https://syndromequickson.com..
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Romain Ternaux confirme avec Underdog Samurai qu'il maîtrise à la perfection le style foutraque, largement exubérant, chaotique et plutôt vert. Âmes sensibles s'abstenir ! Ce livre est l'équivalent d'une série Z produite par Troma au plus fort de son succès. Si vous avez aimé The Toxic Avenger ou Tromeo and Juliet, ne cherchez plus, vous avez trouvé le livre qu'il vous faut.
Une fois de plus, ce roman met en scène un personnage de loser qui raconte ses aventures à la première personne, et n'étant pas du tout le plus fiable des narrateurs. Ici, il s'agit d'un fan d'arts martiaux et de films de kung-fu, obsédé par le Japon (et donc pas très doué en géographie, mais également très obsédé par la serveuse du restaurant japonais) qui s'est fait délester de quelques milliers d'euros pour acheter un « authentique » dans les bas-fonds du Web. Las, ce n'était que du toc. Et, ni une, ni deux, le tocard décide de devenir un pur génie du combat pour aller réclamer son dû aux yakuzas responsables de l'arnaque. Rien que ça…
Encombré d'un vieux grand-père alcoolique et d'un clochard alcoolique en guise de sensei, il se lance dans une quête qui le conduira de la banlieue parisienne à Dallas en passant par les bas-fonds de Tokyo. Saupoudrez le tout de quelques sumos, d'un docteur ayant un sérieux problème de drogues et ajoutez y un affrontement millénaire entre yokaïs. Vous obtiendrez un récit épique qui, s'il est loin de sentir la rose, aura au moins le mérite de vous faire rire. le protagoniste va y vivre des aventures de plus en plus rocambolesques et hallucinantes jusqu'à perdre de vue son objectif premier et le descendre en flamme. Étrangement comme l'auteur, qui donne l'impression avec sa fin abrupte d'avoir atteint son quota de pages et de loufoquerie. Dommage, un peu de rabs n'auraient pas été de refus, après un petit passage à la douche ?


Lien : https://www.outrelivres.fr/u..
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