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3,81

sur 61 notes
Une nouvelle lecture d'Adrien Tomas dans le cadre du #challengesfff2022 après avoir lu Notre Dame des Loups que j'avais énormément apprécié. Cette trilogie me faisait de l'oeil et j'ai bon espoir de la terminer ce mois-ci. Une nouvelle fois, ce fut une très bonne lecture proche du coup de coeur et il me tarde d'entamer le prochain opus.

Pourquoi devez-vous absolument lire ce premier tome ?

- les personnages: il y en a une multitude et j'avoue qu'il m'a fallu une bonne centaine de pages pour m'y retrouver. La présentation des différents clans en début de livre permet d'appréhender plus facilement le contexte: certains dominent, d'autres sont des clans mineurs avec des objectifs et des emblèmes différents. Une fois chaque personnage bien identifié, c'est réellement un grand plaisir de les voir évoluer, grandir, interagir les uns avec les autres. Vous découvrirez ainsi la princesse Ithaen dont le point de vue a toujours été exposé par l'intermédiaire du récit de ses camarades : Ysemir (le prince guerrier), Merisia (la princesse archère et apprentie du maître apothicaire), Solheim (le prince nécroman) mais également Vermine (jeune sauvageonne disposant des pouvoirs d'un esprit nommé Ténèbre) et bien d'autres (dont le fameux Projet 68) C'est clairement le point fort du roman: des personnages riches, profonds, complexes, attachants (Vermine reste ma chouchou pour l'instant).

- L'histoire: je viens de terminer et j'ai très envie d'enchaîner sur le deuxième tome. C'est très addictif, une fois dedans c'est très difficile d'en ressortir. Nous sommes sur un territoire difficile à unifier, un projet de création d'un royaume rêvé puissant et juste et qui pourrait faire face aux autres opposants du continent. L'auteur distille de manière judicieuse les différents éléments de compréhension de l'intrigue tout au long de la lecture et nous tient en haleine en permanence. de plus, le suspense est constant et nous avons à coeur de connaître la manière dont Ithaen va manoeuvrer pour arriver à ses fins.

- L'organisation du roman: à l'instar de notre Dames des Loups, l'auteur annonce le personnage qui va à être à l'honneur dans les pages à venir et alterne régulièrement les différents protagonistes donnant du dynamisme à son récit. Cela permet également au lecteur de stopper sa lecture quand il le souhaite et de replonger sans trop de difficulté dans le roman. Cependant, l'écriture reste à la troisième personne dans ce premier tome, et comme mentionné précédemment, Ithaen qui est LE personnage central ne dispose pas de parties dédiées contrairement à ses épines au travers desquels nous en découvrirons plus sur la princesse. de mon point de vue, une belle manière très originale d'écrire que j'ai beaucoup affectionnée, qui m'a littéralement transportée tout du long.

Une très belle découverte pour moi. Hâte de découvrir la suite et comment Vermine (et Ténèbre) va grandir et participer à l'unification et la protection du Royaume Rêvé.
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Livre de fantaisie à l'univers très fourni. Il y a des elfes des nains, des magiciens et aussi des créatures mystères. Ce tome nous présente l'univers ainsi que les clans du nord "humains" qui se querelles mais les héritiers de ces clans ainsi que d'autre personnes veulent réunifiée en une seule nation. Et ces pour cela que les héritiers sont élevés. A la fin de ce tome il reste encore plein de zone d'ombre qui je l'espère sera levé avec la suite.
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Tout d'abord je veux vous parler du livre objet qui a une couverture très explicite puisque c'est une scène du roman qui est représentée. Puis lorsque vous ouvrez vous avec des rabats qui donnent une jolie finition au livre et qui permettent d'avoir une carte de cet univers avec une couleur de parchemin. Je suis tout de suite entrée dans cet imaginaire. On retrouve cette carte après la page de titre et avant la présentation des armoiries des trois clans qui vont avoir un rôle capital dans cette aventure ainsi qu'une fiche d'identification. Tout cela contribue à une bonne mise en conditions du lecteur.

Et puis vient l'histoire….

Me voilà dans de bonnes dispositions… prête à tout !

Chaque chapitre porte le nom d'un personnage. Bien que le texte soit à la troisième personne, c'est comme si l'auteur éclairait un personnage pour faire avancer l'histoire, ou nous informer sur les lieux et les histoires passées à travers lui. On découvre ainsi les différents clans et les liens entre eux, les guerres qui les ont divisés ainsi que les statuts, rôles et les intentions de chaque personnage : esclaves, héritiers, libres… On découvre un royaume en grand danger. Les manipulations des uns et l'apprentissage des autres font que de nombreuses pistes s'ouvrent au lecteur.

Les premiers chapitres court donnaient l'impression d'une vaste mise en place des protagonistes, mais au fur et à mesure que l'histoire avance les personnages acquièrent des nuances et de la profondeur. On se rend compte que leur complexité joue un rôle dans la stratégie de défense autour de la princesse.

Au départ on a des rôles bien définis et puis on se rend compte que les personnages ne sont pas forcément ce qu'on nous a initialement présenté. Ils sont pour la plupart des pions sur un échiquier mais Adrien Tomas nous balade … à la fin qui est le gentil et le méchant, le traite et l'ami loyal ? Même les personnages entre eux vont faire de drôles de découvertes. Il va y avoir un début un milieu bien développé et une fin même si ce n'est qu'un premier pas

Il y a une histoire parallèle qui s'appelle « projet 68 » que l'on voit en arrière plan mais qui n'est pas trop développé juste ce qu'il faut pour accrocher le lecteur… et comme on dit la suite dans le prochain épisode.

Il y a des scènes étranges et horribles qu'on ne comprend qu'à la fin, Adrien Tomas laisse le lecteur dans l'expectative…

Au début je lisais tranquillement et puis est arrivé un moment où je n'ai plus lâché le livre jusqu'à la fin.

De quoi parle ce roman fantasy… de la fin d'une époque et de la venue d'une nouvelle génération avec une vision plus globale du problème. Ont-ils raison ou tord ? Que vont-ils arriver à faire ? Ils ont entre 13 et 17 ans en face d'eux et autour d'eux des anciens qui s'accrochent au pouvoir.

Il va y avoir des batailles, des combats homériques contre des créatures cauchemardesques. Il y aura des blessés et des morts, des larmes et du sang. Il va y avoir de la violence et de la douceur, du sexe, de l'amitié et des trahisons… Il va y avoir de nombreux rebondissements jusqu'à la dernière page !

Un grand nombre de personnages vont venir interférer dans les projets d'un petit groupe, mais on se repère bien grâce aux titres de chapitre. On a une multitude de pièces de puzzle, nous sommes dans un premier tome et il faut bien asseoir les bases de la trilogie.

Il y a aussi des touches d'humour. Je pense notamment à ce qui entoure le bandit et sa mère qui vraiment n'ont pas de chance. Chamailleries et petites piques vont pimenter la sauce. Il y a des personnages qui connaissent des secrets que nous ne découvrirons qu'en partie à la fin de ce premier tome et qui se délectent de certaines situations.

Il y a toute une thématique sur l'absent et sur l'autre qui rend ce qui nous est conté comme une scène de théâtre. Cette part d'immatériel et ces présences fantomatiques semblent se jouer des personnages et du lecteur. Un jeu de miroir aux alouettes… C'est difficile d'expliquer cette sensation, il faudrait se pencher plus longuement sur le texte pour savoir si ce n'est pas simplement une sensation de lecteur.

Vous l'aurez compris ce roman m'a énormément plu.
Lien : https://latelierderamettes.w..
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Cette trilogie se déroule 1000 ans avant les événements de la geste du sixième royaume, que je n'ai pas encore lu puisque j'ai décidé de découvrir cet univers dans l'ordre chronologique plutôt que l'ordre de parution. Dans ce premier tome, nous suivons les quatre héritiers des clans du nord, ainsi que la jeune Vermine, une sorcière orpheline aux capacités très mystérieuses. A travers une multitude de points de vue, nous allons suivre la tentative d'unification des clans du nord pour créer le Royaume rêvé.

On est ici sur une fantasy assez classique (rien de péjoratif quand je dis ça) puisque le récit se déroule dans un univers d'inspiration médiévale européenne où les humains côtoient différentes créatures comme les nains ou les elfes. Au niveau de la tranche d'âge, je dirais qu'on est à mi-chemin entre du Young Adult et de l'adulte. En effet, on suit majoritairement des ados (entre 13 et 16 ans dans ce tome je pense) tout en abordant des thématiques assez difficiles. Je pense vraiment que cette trilogie peut-être une bonne porte d'entrée pour tous ceux qui veulent commencer la fantasy adulte.

Personnellement j'ai toujours un peu peur avant de commencer des romans de fantasy avec des nains ou des elfes, peur de tomber sur du vu et revu plein de clichés. Il va sans dire que je n'ai pas eu ce ressenti avec ce roman. Bon on suit surtout des humains dans ce premier tome, à l'exception d'un ou deux nains, mais on sent déjà qu'on s'éloigne de la vision un peu classique de ces créatures, notamment en nous parlant de la guerre d'indépendance des hommes qui se sont battus contre les elfes qui les avaient réduits en esclavage pendant des siècles. On rencontre aussi des créatures beaucoup plus originales comme des mandragores, un ange de fer (dont on apprend assez peu de choses dans ce premier tome, un runique dont le but est de chroniquer les événements marquants, et un monstre mystérieux.

Comme dit précédemment, on suit de très nombreux personnages dans ce roman, et j'imagine que ça peut être assez déstabilisant. Personnellement, je n'ai eu aucun mal à naviguer entre tous ces personnages et je n'ai pas spécialement eu de mal à jongler de l'un à l'autre. J'ai d'ailleurs beaucoup apprécié l'ensemble des personnages, y compris ceux dont les intentions n'étaient pas forcément très claires.

En ce qui concerne le rythme du récit, je l'ai trouvé extrêmement bien maîtrisé. de par le nombre de personnages, le début est forcément un peu lent afin de poser le contexte et présenter les uns et les autres. Pour autant, je n'ai trouvé aucun temps mort et j'ai passé un excellent moment du début à la fin.

Évidemment, j'ai aussi adoré la plume d'Adrien Tomas, comme d'habitude, qui est toujours aussi agréable à lire. On a pas mal d'humour dans ce roman, un humour souvent un peu insolent, et aussi beaucoup d'intelligence dans le récit. Certaines scènes peuvent cependant mettre un peu mal à l'aise étant donné l'âge des personnages, notamment une scène qui arrive en fin de récit. J'avoue que pour ma part je visualisais les personnages plus vieux que ce qui était indiqué, ce qui rendait ces scènes plus abordables.
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Une écriture un peu maladroite, au parfum d'anime et de (j)rpg. Pour moi c'est du young adult, ce qui participe au fait que je sois passé quelque peu à côté.
Il se lit facilement, mais j'ai trouvé le tout un peu « léger », le manque de maturité étant le problème principal… L'histoire a lieu dans le même univers que La geste des 6 royaumes (mais se situe chronologiquement avant). Nous avons donc affaire à un univers bien en place que l'auteur semble désireux de vouloir développer. Univers sympathique, mais pas non plus d'un niveau de profondeur auquel on pourrait aspirer pour une saga adulte.

C'est loin d'être mal écrit, mais ce n'est pas bien écrit pour autant.
Vermine n'a aucune consistance, et à la fin du tome je n'avais toujours pas saisit le personnage.
Si ça en restait là, j'aurai peut-être voulu donner sa chance à la suite (encore que la sensation que rien de tout ça me restera en mémoire se fait tenace). Mais il y a un point qui m'a vraiment, vraiment coupé net toute envie de poursuivre : le sentiment persistant d'avoir affaire à une oeuvre pour lolicons.

Explication, avec spoil à la clé :


Alerte aux tentacules : 
De façon générale, le thème du viol est TRES présent, et visiblement très peu renseigné vu l'avalanche d'absurdité de comportement des personnages vis à vis de ça. D'ailleurs toutes les jeunes filles du récit sont concernées. Serait-ce le véritable grand méchant de l'histoire ?
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Ce premier tome de la trilogie du chant des Épines se situe dans le lointain passé de "La Geste du sixième royaume", un siècle s'étant écoulé depuis la révolte des humains contre les elfes qui les avaient réduits en esclavage et qui sont maintenant presque éliminés.


La citadelle de Sveld ayant acquit une fragile supériorité essaye de maintenir la paix en éduquant les héritiers des autres royaumes qu'ils ont pris en otages - ceux-ci âgés entre quatorze et seize ans formeront le noyau des Épines, des jeunes gens de toutes couches sociales aux capacités supérieures réunis pour former une élite destinée à terme à diriger un royaume uni, le but ultime recherché par Sveld, sous l'égide de sa jeune reine de quatorze ans, encore sous tutelle du fait de son jeune âge.


Un monde médiéval, des adolescents réunis dans le but de rendre réel "le royaume rêvé", qui malgré leur jeune âge contrecarreront tous les pièges et survivront à toutes les traîtrises, témoignant d'une force bien supérieure à leurs aînés - du classique, sans vraie originalité, ni profondeur, du roman d'aventure pour adolescents. Des elfes (noirs), des nains, quelques monstres et différentes sortes de magies en conflit, que du classique, même si des nains innovent par leurs connaissances mécaniques et génétiques. Les chapitres souvent très courts, chacun dédié à un personnage, s'égrainent afin de nous fournir une vue globale de l'intrigue, un procédé habituel lorsqu'on désire faire paraître le livre plus complexe et qui aiguise d'avantage la curiosité du lecteur que si l'écriture avait été plus linéaire.
Ce premier tome défini le cadre de l'action de manière superficielle et les personnages ont des personnalités volatiles sans grande cohérence, mais alors que le livre semble se définir comme un livre d'action destiné à l'adolescence l'auteur sème quelques scènes scabreuses de viols de jeunes filles de douze ans qui pouvaient aisément être évitées et n'amènent pas grand chose. le scénario ne détaille pas vraiment le cheminement de l'action et les bouleversements et événements importants ont tendance à surgir ex nihilo.


Un livre avec des côtés un peu niais dont il m'est difficile de définir le lectorat visé, cependant la lecture est facile et peut convenir à ceux qui se satisfont d'aventures sans se poser trop de question …
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Je ne connaissais Adrien Tomas que par le seul roman de lui que j'ai lu jusqu'ici Notre Dame des Loups, un genre de western fantastique que javais bien apprécié.
Ce premier tome du Chant des épines m'a également conforté dans l'idée que l'auteur a une plume solide et une imagination fertile suffisante pour nous livrer là un univers complexe, présentant pas mal d'originalité, et intéressant.
La fabrication de son univers va croissante au fil des pages, l'auteur le développant par le biais notamment du système de magie, incarnée par différents types de personnages. Cette construction laissé présager des bases solides sur lesquelles Adrien Tomas développe son histoire, portée par des personnages hauts en couleur, mais quelque peu stéréotypés.
Un important panel de personnages, tous plus ou moins étoffés, permettent de construire un récit prenant.
J'ai été tout de même gêné par la multitude de personnages et par la brièveté des chapitres qui passent de l'un à l'autre. On finit par identifier chaque protagoniste, ainsi que la place qu'il occupe dans cette gigantesque toile, mais il faudra pour cela plusieurs chapitres. L'on pourrait craindre ainsi un rythme lent mais il n'en est rien. Adrien Tomas réussit à raconter l'essentiel de son histoire en la ponctuant de revirements réguliers ( un peu à la manière de Brandon Sanderson), tout en bouleversant un peu les codes du genre. On vit donc quelques situations inattendues et rafraîchissantes, qui permettent d'engloutir ce bouquin en deux temps trois mouvements.
Je reprocherai également à l'auteur de placer certains de ses personnages ( des adolescentes pour ne pas les citer) dans des situations moralement délicates ou discutables, qui me fait me poser des questions...
En conclusion, c'est là un bon premier tome d'introduction qui ne se contente pas d'une simple présentation, mais qui avance déjà pas mal dans l'intrigue, et qui sait garder son lectorat jusqu'au bout...
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La première partie d'un troisième roman se déroulant dans le monde fantastique du "continent". Ce monde n'a pas de nom, les royaumes, les empires, les états, les nations, les factions, les clans, les tribus qui foulent cette terre ne l'ont jamais nommée.
"Le Chant des Epines" se situe bien longtemps avant "La Geste du Sixième Royaume". Quand ? Je ne le sais pas encore. Je ne le saurai peut-être jamais.
Le jeune auteur reste fidèle à son modèle d'écriture, un chapitre suivant un personnage. le narrateur est toujours omniscient tout en racontant du point de vue du personnage.
Au rythme où arrive les livres de cet univers et étant donnée l'âge de l'auteur, une saga pourrait grandir au fil des années. A condition qu'Adrien Tomas ait toujours de l'inspiration, ce qui n'est jamais facile dans la vie d'un artiste.
Je m'attèle à la lecture de la deuxième partie "Le Royaume Eveillé".
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Une très bonne histoire de fantasy et un bel univers. On suit tour à tour différents personnages. Plusieurs clans s'opposent pour le contrôle d'une région. L'un de ceux-ci dont l'héritière est encore trop jeune pour gouverner a fait prisonniers des héritiers d'autres nations et ils s'entraînent ensemble. de la magie, de l'alchimie, des combats à l'épée, des monstres...une prophétie, des trahisons, des rêves et surtout des personnages très différents les uns des autres, hauts en couleur parfois. Un bon univers. Il se lit très bien, peut-être grâce à l'alternance rapide de personnages. J'ai hâte d'avoir la suite.
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On prend les mêmes (ou presque) et on recommence...
Si vous avez vraiment adoré La geste du sixième royaume et la Maison des mages, vous aimerez sans doute la trilogie du Chant des Epines.
Sinon, cette histoire est largement dispensable. Elle raconte la guerre menée par la légendaire reine Ithaen ( mais si, la reine qui a eu une romance avec Aevar l'ange de fer). Or on sait déjà le principal sur ce conflit dans les précédents romans.
Mais le gros point noir est la présence de personnages déjà croisés. On a vraiment l'impression que certains passages sont trop similaires à la précédente histoire et nombres de "surprises" n'en sont pas vraiment. On n'apprend rien de nouveau sur le monde créé par l'auteur.
Quant à ce que subit Ithaen dans le premier tome... Je n'en comprends pas l'utilité. C'est pour faire vivre un truc atroce à une enfant ? Alors que la majeure partie de l'histoire va porter sur des batailles sanglantes ???
Bref, à réserver aux fans absolus de l'auteur...
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