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3,87

sur 772 notes

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Un bel et vibrant hommage à cette femme qui a compté dans la vie de l'auteur. Et qui a permis à la lectrice que je suis de renouer avec ma mémé par le souvenir et l'émotion. Un doux moment de lecture.
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Il l'appelait "mémé" c'est un terme certes désuet mais non dénué de douceur. Quel que soit le nom qu'on leur
donne : grand-mère, mamie, ou grand-maman, elles sont le port d'attache on l'on vient accoster pour chercher tendresse et sécurité.

Philippe Torreton rend un bel hommage à sa grand-mère, une femme simple, une dame d'une époque qui n'éprouvait pas de besoins superflus, où l'on ne gaspillait pas " le poulet de mémé nous faisait trois jours : rôti le dimanche midi, froid avec de la mayonnaise le soir, en vol au vent le lundi. Trois repas à quatre ou cinq pour un poulet", et où recyclait tout : "mémé gardait tout, car tout pouvait resservir un jour, les sacs en papier contenant les graines et la poudre de lait veaux, les bocaux pour la confiture, les bouteilles de cidre, les boîtes à oeufs, la ficelle à botteler le foin et la paille"

Au fil des pages, l'auteur égraine ses souvenirs, teintés de nostalgie, comme autant de madeleines... On se sent doucement baladé dans son univers d'enfant, puis d'adulte, qui revient toujours chercher complicité et partage auprès de "mémé" c'est son asile, son havre de petits bonheurs.

Incontestablement, le sujet aurait pu être touchant toutefois, la plume de l'auteur s'enlise dans la banalité... le style monotone, sans relief, finit par provoquer l'ennui. On est loin de la faconde de Pagnol.

On peut être un "grand" comédien sans pour autant être un bon écrivain.
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Il y a un mois maintenant, j'ai perdu ma grand-mère, "mémé". Forcément, lorsque je suis tombée par hasard sur ce petit livre dans la bibliothèque de ma mère, je n'ai pas hésité une seule seconde à le lire. Il n'y aucun doute, plusieurs gestes ou façons d'être de la grand-mère de Philippe TORRETON m'ont rappelé la mienne, comme sa façon de tenir son couteau pour éplucher une pomme. Pour autant, je n'ai pas accroché du tout avec l'écriture de cet auteur (notamment les phrases à rallonge avec 20 virgules et qui tiennent sur une page entière), et donc avec ce livre. A travers ses souvenirs d'enfance dans la maison de "mémé" et des derniers instants à l'hôpital, l'auteur dénonce également la société dans laquelle nous sommes mais un peu aussi celle de sa grand-mère, née au début du XXème siècle. Tout cela est décrit avec des figures de style beaucoup trop nombreuses, ce qui est vraiment dommage. Honnêtement, si j'ai terminé ce livre, c'est uniquement parce qu'il ne faisait que 140 pages.
Lien : https://thebookshebreathes.w..
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Je ne sais plus qui m'a influencé dans le choix de cette lecture, mais pour moi, c'est une déception. J'ai trouvé ce bouquin - proche d'une biographie même si l'auteur s'en défend - dénué d'intérêt. Je n'ai pas accroché du tout.

Normalement, ce genre de livre doit susciter des émotions. Je n'ai rien ressenti lors de ma lecture.

Il apparait, ça, c'est certain, que Philippe Torreton adorait sa grand-mère, une femme simple et généreuse, mais à part ça nada ! Il relate ici la vie de sa grand-mère, faite de travail, de dons de soi, les relations qu'il a nouées avec elle.

Le début du récit est très ennuyant : l'auteur décrit la maison de mémé sous toutes les coutures et fait un inventaire de ce qu'elle contient.

Ensuite, son héroïne apparait...

Voilà, je n'ai rien d'autre à dire. Je n'ai pas du tout été capté par ce récit qui ne fait, heureusement, que 140 pages.
Lien : http://phildes.canalblog.com..
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Oui moi j'ai été déçu mais c'est un livre dont on n'a pas envie de dire du mal. alors je ne dis rien sinon qu'on peut se passer de le lire !
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J'ai été déçue.... mémé aurait été plus doux si certains passages avaient été abandonnés... On sent de la vindicte mais est-elle justifiée à un tel moment?... Elle, dont l'auteur dit très justement, qu'elle était au dessus de ces bassesses... mémé est un très beau personnage en revanche, peu d'entre nous ont eu la chance effectivement de croiser des femmes pareilles (ou des Pépés d'ailleurs) qui nous auront autant marqué...
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