AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,57

sur 141 notes
5
19 avis
4
20 avis
3
22 avis
2
7 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Très bien documenté, ce roman nous entraine dans un voyage au plus profond de la Russie. A travers les mésaventures de notre héroïne, nous sommes plongés dans la magie et les légendes slaves. Si l'histoire d'amour était pour moi de trop, ce roman reste malgré tout rafraichissant !
Lien : https://unepauselivresque.wo..
Commenter  J’apprécie          20
Carole Trébor nous offre une histoire des plus originales dans le monde de la littérature pour adolescents; un roman historique se déroulant à l'époque des Lumières et dont l'héroïne n'appartient pas à l'aristocratie. de plus, on sort des frontières françaises. C'est très plaisant de découvrir d'autres décors et la culture russe rarement abordée par les auteurs francophones.

La première partie du roman est très plaisante. le narrateur nous décrit une ville sale et puante, fidèle au Paris de l'époque. Au milieu de la fiction, il y a beaucoup de références à des éléments historiques réels : le père de Svetlana a participé à l'élaboration de la fameuse Encyclopédie, Denis Diderot a un rôle secondaire (un ravissement pour moi qui avait adoré Jacques le fataliste)... On est complètement plongé dans cette époque où les Arts et la connaissance avaient une place si importante.
Suite à la lecture d'un courrier de sa défunte mère adoptive, Svetlana va donc entreprendre un voyage dangereux vers la Russie. A partir de là, il est également fait référence à plusieurs éléments et personnages réels (que je ne connaissais pas, cette fois); il n'est pas nécessaire de savoir de quoi il retourne pour suivre l'histoire de Svetlana, mais pour les plus curieux, un index explicatif est présent à la fin du roman. J'aime beaucoup m'instruire en lisant une fiction, et c'est vraiment le gros plus de celle-ci!
J'ai beaucoup aimé le personnage de Guy (le voisin de Svetlana) et Varlaam et Mira forment un couple intrigant et attachant. Svetlana est une héroïne cultivée et courageuse qu'on prend plaisir à suivre dans sa quête.J'ai moins apprécié Aliocha qui ne semble pas avoir de personnalité profonde : il exécute les demandes de Svetlana sans protester, il se précipite dans chaque bataille qui se présente, etc; un personnage qui m'a peu intéressée. J'étais cependant impatiente de voir Catherine II entrer en scène, et j'ai été déçue qu'elle soit si peu importante dans la quête de Svetlana. Dommage également que la vérité concernant Boris se devine à des kilomètres...
Je dois aussi avouer que je n'ai pas été conquise par le côté fantastique de l'histoire. Toute la complexité et les dangers que la magie engendre sont résolus trop facilement. Ceci se fait cruellement sentir dans les vingt dernières pages qui concentrent toute la résolution de l'intrigue à elles seules. Je conçois que le voyage de Svetlana a tout de même été rude (conditions climatiques difficiles, impasses, courses poursuites, etc) mais cette fin est vraiment trop expéditive et certains détails sont même absurdes (faire garder la geôle d'un personnage doté de pouvoirs magiques et accusé de trahison envers l'empire par une petite poignée de soldats, par exemple).

En conclusion, Lumière est un roman en demi-teinte. Laissez-vous néanmoins tenter si vous êtes adepte de bons romans historiques.
Lien : http://livheryn-lecture.ekla..
Commenter  J’apprécie          20
Paris, mai 1774. le roi Louis XV se meurt et Svetlana s'étiole en compagnie de son père adoptif André Horville, un scientifique et ami de Diderot, qui a collaboré à de nombreux articles de L'Encylopédie.

Mais depuis la mort de son épouse Jeanne, trois ans auparavant, André n'arrive plus à travailler et l'argent vient à manquer. Alors Svetlana, qui a été adoptée lors du séjour de ses parents en Russie douze années plus tôt, décide de vendre toutes les toiles de Jeanne afin de retourner à St Petersbourg sur les traces de ses parents biologiques, comme se l'était engagée à le faire Jeanne.

L'argent de la vente en poche, munie d'une lettre de Diderot à la tsarine Catherine II qu'il a pourtant quitté en mauvais terme, aidée de son voisin Guy, et accompagnée de son père, elle quitte Paris pour la Russie dès l'automne…

Vous connaissez mon goût pour le siècle des Lumières et pour la Russie, un roman réunissant les deux sur fond de steppe enneigée ne pouvait que me tenter, au moins sur le papier.

Je ressors pourtant de cette lecture un peu mitigée car si j'ai adoré le contexte historique, j'avoue que l'incursion du fantastique dans le dernier tiers du récit ne m'a pas séduite, l'auteur m'a même carrément perdue à certains moments.

C'est vrai que ce genre ne me séduit en général pas, là il aurait pu en être autrement car j'avoue que les dieux polymorphes ressuscités par Carole Trébor ont de quoi intéresser mais je trouve que cet aspect n'est pas assez développé, tout cela va trop vite, pour nous emporter au coeur de cette mythologie slave, qui je le répète ne manque pourtant pas d'intérêt.

Et puis comment Svetlana peut-elle accepter presque immédiatement son statut de sorcière, combattre des Néfastes sans avoir été instruite, etc ? Ça me semble un peu trop gros pour qu'on y croit vraiment.

Le reste en revanche m'a séduite. A commencer par Svetlana, cette jeune fille des lumières, instruite en philosophie, en physique et en astronomie, qui converse avec Diderot en personne, mon philosophe préféré, m'a beaucoup plu.

Son voyage pour gagner St Petersbourg que je rêve de découvrir un jour, aussi, de ce point de vue Lumière est un très bon roman historique pour la jeunesse, c'est vraiment le dernier tiers du récit, au moment où la tournure fantastique apparaît, que j'ai inexorablement décroché et j'ai même eu du mal à l'achever.

Lire la suite...
Lien : https://deslivresdeslivres.w..
Commenter  J’apprécie          21
J'avais beaucoup aimé la trilogie russe de l'auteure et c'est donc avec joie que j'ai reçu de Babelio et des éditions Rageot (que je remercie au passage) le nouveau roman de Carole Trébor.

On retrouve les plaines enneigées de la Russie éternelle, l'âme slave typique, en suivant la quête de Svetlana qui quitte la France des Lumières pour la Russie de Catherine II à la recherche de ses origines.
On plonge ainsi après une description minutieuse du Paris du XVIIIème siècle dans une reconstitution crédible du Saint-Petersbourg de l'époque.
J'avoue avoir préféré cette partie-là à celle se déroulant dans la campagne russe pas assez détaillée à mon goût.

Cependant, j'ai trouvé que l'intrigue allait trop vite et j'ai eu l'impression de passer d'un événement à l'autre.
Il est vrai que l'histoire de Svetlana ne tient qu'en un seul volume et je pense qu'elle aurait plus eu le temps de se déployer avec d'autres tomes sur cette même intrigue.

D'autre part, j'ai eu du mal à cerner le public auquel ce roman est destiné : certains éléments font qu'il semble réalisé pour de jeunes lecteurs (les illustrations en noir et blanc; le hérisson gardien très mignon qui se transforme en moustique pour piquer la méchante; le merveilleux un peu naïf des aventures de Svetlana; son comportement général même) et à côté de cela, les notes détaillées accompagnant le roman qui montrent le travail de recherche de l'auteure (j'attendais un glossaire général mais il est en plusieurs parties), la violence de certaines scènes et la complexité politique et philosophique qui demande un peu de maturité pour être pleinement appréciée. Moi, en tout cas, je me suis régalée de la langue policée de Svetlana, des références littéraires et culturelles.
Le roman dégage un désir d'authenticité historique qui a fait plaisir à mon esprit tatillon (un petit bémol avec la Charte sacrée qui sonne un peu trop moderne à mon goût par rapport aux autres documents) et même si Svetlana et Aliocha m'ont moins plu par rapport au couple de l'autre saga russe de l'auteure, j'ai dévoré en quelques heures le récit de leurs péripéties.
Par contre, j'ai trouvé la romance inutile à l'intérêt de l'histoire (avis personnel bien sûr, vu je ne suis pas le public-cible).

En bref, un roman d'aventures avec une touche de fantastique dans un cadre historique solide et non fantaisiste. C'est donc une valeur sûre du genre.

A partir de 12 ans
Commenter  J’apprécie          21
Svetlana, jeune fille d'origine russe adoptée dans sa petite enfance dans des conditions mystérieuses par un couple d'intellectuels français, se décide après la mort de sa mère, à suivre les traces de son passé. Elle quitte Paris pour Saint-Pétersbourg dans l'espoir de retrouver sa famille et de percer les secrets de sa véritable nature, entre raison éclairée et magie ancestrale. Au cours de son périple, elle affronte moult dangers et obstacles, se fait de nouveaux alliés et se découvre de dangereux ennemis.

Voilà pour le résumé qui semble particulièrement alléchant. Mais dans les fait, cette lecture fut un peu décevante.
Premièrement, le réalisme historique. le récit se déroule vers 1770 et la description des lieux, des évènements, du contexte est tout à fait correcte. L'autrice historienne a fait un bon travail de recherche et réussi à transporter le lecteur dans le Paris nauséabond des lumières ou la Russie glaciale des tsars. le vrai bémol réside dans l'attitude des personnages. Rien n'est cohérent : on parle, on se comporte, on pense de façon très (trop) contemporaine. Par exemple, l'héroïne est une jeune fille de 15 ans élevée au XVIIIe par une famille de la bourgeoisie mais : elle tutoie son père, se réclame d'une éducation éclairée sans jamais faire preuve d'esprit (et par là j'entend l'esprit des lumières, d'où le titre du livre CQFD), n'a aucune connaissance basique de l'étiquette ou de la mode vestimentaire de la cour mais se dégoute des odeurs ou de l'hygiène d'autrui…

En fait, le traitement du personnage principal est la grande faiblesse du roman. Svetlana pense comme une collégienne moderne (cohérent dans une fiction isekai mais pas dans un roman historique), elle fait des caprices et des manières, et se montre parfois égoïste, irréfléchie et immature.

Dans la vingtaines de pages explicatives présentes à la fin du livre, l'autrice insiste sur son choix de "contemporanéité" et précise que cette manière de "faire agir ou penser" les héros sera plus tard "une source pour l'historien des mentalités de son siècle." Un choix qui explique aussi le style d'écriture, à la première personne et au présent de narration, ce qui rend le récit très personnel et intimiste (on est littéralement dans la tête de l'héroïne) mais qui enlève la dimension "racontée" d'un récit au passé. C'est un texte idéal pour des jeunes lecteurs car très facile d'accès et simple à comprendre.

Quant à la dimension fantastique, elle est survolée, tout comme l'intrigue, et j'ai eu du mal à en saisir les enjeux. Moi qui me passionne pour la mythologie et les religions anciennes, je suis restée mitigée face au traitement des divinités slaves.
Commenter  J’apprécie          10
Au départ , pour moi c'était impossible d'entrer dans l'histoire de ce livre , je la trouvais lente à démarré et il se passait pas grand choses .
Puis j'ai continué ..et là impossible de lâcher ce livre , je me suis totalement prise dans l'histoire , les personnages commençaient à vachement intéressant , on en apprenait plus sur eux . Je conseille vraiment ce livre pour ceux qui aiment l'aventure et qui chercher un livre facile à lire car oui il parait gros mais l'écriture est grosse , en 1 semaine et demi je l'avais terminé . J'ai beaucoup aimé le personnage d'Aliocha car il n'attire pas l'attention , il a vécu des choses compliquées dans son enfance et m'a beaucoup fait rire lors de ses prières .J'ai par contre détester le personnage de Boris car lui chercher trop à attirer l'attention , il se rapprochait de de Svetlana seulement sous ordres de la reine et pas par amour .
LanaG
Commenter  J’apprécie          13
Cette histoire se passe en Russie où une fille vit... Svetlana, une fille qui a perdu sa mère adoptive. Son père est veuf. Un jour Svetlana décide d'aller retrouver sa mère biologique en Russie. Mais, malencontreusement, pendant leur voyage, le père de Svetlana décède. A cet instant, Svetlana ne sait pas qu'une incroyable aventure est en train de lui arriver...Ce livre ne m'a pas vraiment plu car à des moments, ils racontaient la même chose et ça mettait trop longtemps avant de changer de sujet.
Alyssa
Commenter  J’apprécie          10
Mise en place un peu longue dans ce roman au contexte historique complexe. Il faut attendre 70 pages avant le départ attendu pour la Russie... Certes l'auteur pose le cadre de l'intrigue - la philosophie des lumières et les intrigues à la cour de Catherine II -, et c'est nécessaire vu que le lecteur risque de ne pas avoir les références indispensables à la compréhension de l'histoire. Mais cet effort d'assimilation finit par être pesant, d'autant plus que l'écriture manque de style et les premiers chapitres de dialogues, enfin que l'expression parfois maladroite ne rend pas les personnages attachants.

C'est avec l'entrée en scène de Vaarlam et Mira, le couple russe servant de contact à Svetlana, que le récit prend une tournure intéressante : l'histoire se dote d'une dimension fantastique venant remettre en question la rationalité de l'héroïne élevée dans l'esprit des lumières : "Je n'ai jamais rien lu de tel dans l'Encyclopédie". le personnage représentant le mieux cette dualité est celui de Aliocha, jeune cosaque survivant dans la forêt qui vient en aide à l'adolescente dans ce pays inconnu et hostile. Fils de serfs, Aliocha n'a pas reçu l'éducation raffinée de la jeune Parisienne : "Je viens d'une famille parisienne éclairée et lui d'une famille d'esclaves du fond de la Russie", et le choc des cultures est rude ! Mais n'est-ce pas là la vocation de l'Encyclopédie, mettre les connaissances à portée de tous pour lutter contre l'ignorance du peuple et lui donner accès à l'esprit critique ? D'un autre côté, toutes les certitudes de Svetlana vont voler en éclat au fur et à mesure qu'elle découvre les étranges pouvoirs de sa famille russe dont elle est l'héritière...

La réflexion sur les croyances religieuses est elle aussi pertinente : si Aliocha, qui croit en des dieux païens, a l'habitude de lire des présages dans les manifestations de la nature, il n'en dispose pas moins de son libre arbitre : "Tu sais Svetlana, les dieux, ils m'envoient des signes mais si tu crois qu'ils me dictent tous mes actes, tu te trompes". Mais une fois de plus, les références historiques viennent quelque peu alourdir le récit : il y est question d'une révolte (de Pougatchev) liée à l'orthodoxie imposée par la tsarine, de complots et de traîtrises. Et tout le roman se déroule ainsi, dans l'opposition Paris/Saint-Pétersbourg France/Russie, entre une aventure qui peine à captiver malgré quelques bonnes idées, un style un peu plat, et des références culturelles intéressantes mais un peu pesantes pour qui ne les maîtrise pas. Plutôt à réserver aux (bons) lecteurs avertis.
Lien : https://www.takalirsa.fr/lum..
Commenter  J’apprécie          10
Littérature Jeunesse

1774 - Svetlana a 15 ans et vit à Paris avec son père adoptif, chercheur en astronomie, qui écrit de articles pour l'encyclopédie de Diderot. La mère adoptive de Scetlana est morte des suites de la grippe. Après avoir lu les carnets de sa mère, Svetlana décide de partir en Russie à la recherche de ses vrais parents. Elle est aidée en cela par Guy, un ami de la famille.
Sur laroute vers Saint Pétersbourg, des bandits attaquent leur berline .....

Voilà un roman jeunesse qui change des romans actuels, d'abord par l'époque : le Paris des Lumières et la Russie des Tsars, de Catherine II en particulier.
Svetlana est attachante, opiniâtre , un brin naïve .. Et un vrai coeur d'artichaut ...
Elle rencontre Aliocha, un jeune paysan et Boris, un militaire inquiétant. Elle va apprendre à relativiser et remettre en cause tout ce qu'elle tient pour acquis : en particulier la science mais aussi la religion catholique.
Après un début très réaliste, le roman vire au fantastique : magie, Incantations, forces surnaturelles...

J'ai beaucoup aimé ce livre qui mêle réalité et magie. Un seul bémol, Boris est un brin caricatural et cela m'a énervée de voir Svetlana s'amouracher de cette caricature (en même temps, je n'ai pas quinze ans, comme le public à qui s'adresse ce livre jeunesse). Aliocha , par contre, est un personnage plus fouillé et crédible (avec un côté sombre et un côté très gentil).

Hormis ce bémol, Carole Trebor, l'auteur de U4-Jules m'a charmée à nouveau en créant un roman à la fois historique et fantastique.

J'ai aimé également les illustrations en noir et blanc de Sébastien Pelon ainsi que les annexes : la carte du voyage de Svetlana da Paris à Saint Pétesbourg et le glossaire final avec le vocabulaire et quelques notes biographiques des personnages historiques (Diderot, Catherine II...)
Commenter  J’apprécie          10
On va commencer par les points positifs. L'utilisation d'un contexte historique m'a beaucoup plu. L'auteure a fait bien des recherches mais elle a également fait ce qu'elle voulait de ses personnages historiques comme Diderot ou Falconnet. J'ai vraiment apprécié que l'auteure "s'amuse" avec l'histoire.

De plus, pour étayer ses propos et son roman, on retrouve un dossier historique à la fin du roman qui vient étayer le tout. Des cartes, des biographies de personnages ou extraits de textes. On replaçait vraiment bien le roman dans son contexte.Les aventures de Svetlana cependant... ne m'ont pas vraiment touchées... Il lui arrive beaucoup trop de chose mais (presque) rien de très grave et très creusé. C'est bien cela qui m'a manqué : le côté creusé des choses. L'auteure a beaucoup d'imagination et a peut être voulu faire rentrer trop d'éléments dans son roman. du coup rien n'est très approfondi : sa relation avec Aliocha, le danger qui pèse sur elle, le caractère des personnages... Et surtout surtout, j'ai eu envie de hurler de frustration devant son stupide coup de foudre absolu et soudain pour le garde de la reine. Non mais sérieusement ?! Elle qui était éduquée, si peu futile ! Et pourtant elle est gaga devant cet homme qui s'avère être une vraie brute ! Ca ne collait vraiment pas pour moi, c'était comme un cheveux sur la soupe, vraiment, j'ai trouvé ça aberrant...

Ensuite, on a le fantastique, un monde de mythe et de légende qui entre en jeu. Pourquoi pas. Cependant ce monde était trop jeunesse, trop simple pour moi. Je dois avoir des attentes plus grandes après des univers comme Harry Potter, Eragon ou La Croisée des mondes. du coup la fantasy ici m'a parue beaucoup trop enfantine.

Dans l'ensemble c'est un roman sympa, qui se lit vite mais trop jeunesse pour moi. Par contre je recommande vivement cette lecture pour les jeunes de 12/13 ans !
Lien : https://aloiseuseo.wixsite.c..
Commenter  J’apprécie          00




Lecteurs (253) Voir plus



Quiz Voir plus

Nina Volkovitch

Quel est le nom de l’héroïne?

Nina Alkavitch
Nina Volkovitch
Trina Volkovitch

10 questions
14 lecteurs ont répondu
Thème : Nina Volkovitch, tome 1 : La Lignée de Carole TréborCréer un quiz sur ce livre

{* *}