Astérix, tome 27 : Le fils d'Astérix

C'est une merveilleuse journée qui s'annonce... Sauf que le coq a du mal à se réveiller pour chanter... Et Astérix trouve un bébé sur le pas de sa porte... Pourtant, on ne le voit jamais avec une fille... Tu crois que les Cigognes qui livrent les bébés peuvent se tromper... Lui dit Obélix... Alors il faut gérer... et quand on est aidé par Obélix, le résultat est parfois curieux... Et les pénibles insinuassions de la femme du chef n'aide pas... Sans compter que le bébé leur réserve de belles bêtises ..... Un album hilarant ... Pour petits et grands...

L'épisode du bébé abandonné a résisté à l'usure et redonne à Astérix une nouvelle jeunesse, au sens propre comme au figuré ; les gags comme les jeux de mots sont bons, le scénario est de bon niveau. La fin est un peu bâclée et on se demande ce que les pirates peuvent bien faire à quelques encablures du village, et plus encore Cléopâtre avec son immense char en or.!
Un bon moment de relectures, on sourit plutôt souvent.

Je ris encore !

Quelle bonne blague de déposer devant la chaumière d'Astérix le guerrier un joli bébé blond qui bien sûr n'a pas été déposé par une cigogne quoi qu'en pense Obélix et c'est le début d'une aventure riche en événements aussi désopilants les uns que les autres. Faut dire qu'Astérix et Obélix transformés en parents ça vaut son pesant d'or ;-)

Un album qui traite d'un point d'Histoire qui mérite d'être rappelé à savoir l'existence d'un fils légitime entre César et Cléopâtre ; fils légitime qui devait réellement faire de l'ombre au fils adoptif de César, le fourbe Brutus !

Pour terminer, un hochet ou un sanglier ? Bon, la question ne se pose même pas, le sanglier est à la fête ce soir encore :-)

A qui appartient ce charmant nouveau-né que trouve Astérix devant sa porte, un beau matin?? Mystère ;) cet épisode d'Astérix m'a pas mal fait pensé à trois hommes et un couffin sauf que là il n'y en a que deux!^^ La légendaire potion magique reste d'actualité ;) je n'en dis pas plus pour ceux qui ne l'auront pas lu :)

Le fils d'Asterix m' a toujours laissé dubitative !
Meme si graphiquement, je n'ai rien à reprocher à l'album, le scenario me laisse plus que sur ma faim.
Un bébé mystérieux est abandonné devant la hutte d'Asterix : je me suis toujours demandé comment on avait réussi à faire cela sans se faire repérer par les gardes aux portes du village...
De plus que ce bébé arrive à boire non pas une mais deux fois de la potion magique m'agace, je trouve qu'on tourne un peu en rond !
Et puis, j'aimerais bien savoir comment Cléopâtre a réussi à venir avec son char jusqu'au village...
Bon, autrement, quelques bons moments avec la fausse nourrice et Bonemine aux prises avec le bébé.

Une erreur de livraison de cigogne et tout le village est sens dessus dessous. le bébé d'Astérix ne manque pas d'éveiller les soupçons et les commérages dans le village.
J'adore cet épisode et je ne me lasse pas de le relire de temps à autres.
Les Astérix et Obélix sont une véritable madeleine de Proust pour moi.

J'aime toujours beaucoup cet album où Astérix n'est pas loin de perdre son sang froid. Entre le bébé gavé de potion magique, le mystère de son identité à élucider et les rumeurs qui courent dans le village, Astérix est sérieusement débordé par tout ce qui lui arrive. Obélix est presque serein (et plus efficace) dans son rôle de père adoptif...
Lien : http://lecturesdestephanie.b..

Un des titres qui m'ont le plus déçu, même si les situations sont cocasses et qu'Astérix en père adoptif nous tire quelques sourires.
On ne retrouve pas la finesse des mots de Goscinny ni les plusieurs niveaux de lecture que les précédents épisodes nous ont offert.

Les débuts de cette vingt-septième aventure sont très prometteurs : Astérix trouve à sa porte un joli bébé tout rose. Pas le temps de savoir à qui est cet enfant que le petit ingurgite malencontreusement de la potion magique ! le bébé va alors donner du fil à retordre à Obélix, Astérix et Idéfix pour notre plus grand plaisir.

Mais très rapidement l'histoire s'essouffle, Uderzo recyclant les mêmes gags (le bébé qui s'enfuit, les romains déguisés) jusqu'à un final totalement absurde dans lequel César et Cléopâtre auront une place aussi inattendue que grotesque.

Le seul élément positif, à mes yeux, est le graphisme de l'album toujours enchanteur avec une mention spéciale pour le bébé et Idéfix qui n'a jamais été aussi craquant.

Mais qui est donc ce petit enfant qui semble bien précieux pour les romains, au point d'être confié au plus valeureux guerrier du village gaulois?
Un épisode dans lequel Astérix, éternel célibataire, se confronte à l'un de ces plus redoutable adversaire, un nourrisson aussi mignon qu'amateur de potion magique ( tiens, tiens).
Que dire des femmes qui dans cet épisode, apparaissent comme des commeres impulsives et jalouses. Mais c'est fait avec tellement de tendresse que ça passe.