Astérix, tome 27 : Le fils d'Astérix

J'ai bien rigolé avec cette aventure de nos Gaulois préférés. Un bébé a été déposé devant la maison d'Astérix. Ils doivent alors s'en occuper, et là commencent les problèmes ! Ils vont devoir mener l'enquête, mais qui sont les parents de ce charmant bébé ?

Un des premiers qu'en j ai lu étant enfant... 😊

« le fils d'Astérix », un titre bien original ! L'aventure n'en est pas moins burlesque ! Ici, Astérix se retrouve avec un bébé abandonné devant sa porte, il est bien forcé de l'adopter. Sa situation amoureuse et l'origine du bébé sont au coeur des discussions dans le village, le tout observé de loin par l'oeil hagard des Romains. La BD gravite entre jeux de mots, énigmes, rebondissements, et l'humour de répétition que l'on connaît ! Pas grand-chose à dire de plus, un régal !

Une fois de plus nous retrouvons nos deux Gaulois préférés. le petit et l'enveloppé se réveillent après une bonne nuit de sommeil et que voient-ils ? Un enfant à été abandonné / déposé par la cigogne, devant la porte d'Astérix.

Que fait cet enfant ici, et qui est il ?
C'est ce que vont devoir découvrir les irréductibles.

Dans leur quête, ils comprendront bien vite que vu le nombre de Romains s'intéressant à l'enfant, et les subterfuges qu'ils sont prêt à employer pour le récupérer, il se pourrait bien qu'il soit plus important qu'il n'en ai l'air.

Pas le meilleur des albums d'Astérix mais une histoire qui se laisse lire tout de même et qui nous fera sourire par moment.

Une aventure d'Astérix toujours aussi agréable et légère à lire, un beau dessin. Bon moment de détente !

Uderzo, le papa d'Astérix et d'Obélix a longtemps travaillé avec l'humoriste René Gosciny, dont le décés l'a forcé à faire cavalier seul.
Dans"Le fils d'Astérix", il nous offre deux aventures, une éponyme datant de1983 et l'autre "Astérix chez Rahàzade" de 1987.
Et toujours le même village gaulois breton qui met en pièces les romains, les mêmes personnages expressifs, aux noms faits de jeux de mots, à la gestuelle travaillée et cette potion magique dans laquelle Obélix est tombé lorsqu'il était petit et qui décuple les forces.
Le fils d'Astérix.
Le coq ronfle à cause de ses végétations.
Rooooon! zzz!
Un bébé a été déposé devant la porte d'Astérix.
Ouiiin!
Obélix lui donne le biberon comme s'il n'avait fait que celà de toute sa vie.
Areu! Hi hi ga!
Mais ne voilà t il pas que la gourde employée contenait de la potion magique. Voilà notre bébé inconnu transformé en une force de la nature qui va faire de la bouillie romaine, qu'il laisse ensuite choir comme de vieilles caligae (chaussures romaines.
Mais, il est à qui ce bébé? A Astérix ou à César dont le fils Brutus complote avec Epinedecactus? Quel secret entoure la naissance de cet angelot?
Ouuuuin! Ouuuin!
Et les cigognes, scrontch!! dans tout ça? Scrontch!! interrogera Obélix la bouche pleine d'un cuissot de sanglier face à une Cléopatre altière, entourée des fastes d'un banquet obéligargantuesque!
On rit hi! hi! hi! et on passe à la deuxième histoire!

Astérix chez Rahàzade ou le compte des mille et une heures.
Encore un banquet bien arrosé et des sangliers rotIs;
Le village est flambant neuf, c'est la fête!
Le barde assurancetourix chante "toute la pluie tombe sur moi " et évidemment il déclenche un déluge.
Un fakir venant d'orient sur son tapis volant au courant des exploits du village demande de l'aide.
Les femmes veulent le tapis.
Paf! paf! C'est moi la femme du chef plaide Bonnemine.
Le fakir les départage et après un tour en tapis(tchriii!!!) (Mamaaann!!) et quelques nausées(beurk! beurk!) tout rentre dans l'ordre.
L'hindou s'explique.
Rahazade sera sacrifiée pour que la pluie tombe.
Il faut la sauver. Un barde chanteur et faiseur d'orages aux côtés d'Astérix et Obélix, pourquoi pas?
Kiwaolah, le gourou, complote(hé, hé, hé!), car si la pluie ne tombe pas, ce sera la tête du rajah qui tombera!
S'ensuivent des aventures burlesques dans lesquelles ce ne sera pas une bouillie romaine mais une soupe aux pirates qui surnagera des flots(sic transit gloria mundi!).
A l'abordage, crie t on du tapis avant de piquer droit chez Razade pour un compte à rebours dans lequel Kiwaolah (damnation!) laissera des plumes bien sûr!

Albert Uderzo joue avec l'Histoire en intégrant des personnages historiques tels que César, Brutus ou le fameux chérubin. le dessinateur et auteur se permet quelques écarts avec les faits historiques afin de mettre en forme son histoire pleine d'humour et de douceur. Malheureusement, les gags se répètent beaucoup en peu de pages, atténuant de fait le plaisir de lecture. Ce tome reste tout de même très plaisant à lire et relire.

Même si les gags se répètent beaucoup, Uderzo mélange avec talent les faits historiques et l'humour bon enfant de la saga. On prend plaisir à voir Astérix et Obélix jouer aux papas.
Lien : https://entournantlespages.w..

Quel est l'enfant dans cet épisode : le bébé ou Obélix qui croit encore aux cigognes?
la fin est , on ne peut plus, délirante.

Astérix se réveille avec une sacré surprise: un bébé a été déposé devant chez lui! Qui est-il? D'où vient-il? Pourquoi les Romains semblent si intéressés par cet enfant? Notre héros n'a pas de réponse et en attendant d'en avoir il va falloir qu'il s'occupe de ce bébé, aidé par Obélix. Et notre héros gaulois va vite découvrir que ce n'est pas évident d'élever un enfant. Cela donne d'ailleurs lieu à d'excellents gags! Un très bon album que je prends toujours plaisir à relire.

Eh bien voilà, la fin Juillet est arrivée et les vacances aussi…
Nous partons nous ressourcer dans les montagnes alpines afin d'essayer de fuir un peu la chaleur des plaines. le chalet loué est parfait…. D'autant plus parfait que nous découvrons la collection complète de notre petit gaulois préféré au sous-sol !!! Les souvenirs d'enfance remontent et me voilà déjà en train d'en feuilleter un. Pour ne pas risquer l'overdose, je n'en lirai « que » neuf sur la semaine.
Pour le troisième, ce sera « le fils d'Asterix ». L'ouvrage date de 1983, 27e opus de la série à succès. C'est avec cet album que j'ai découvert la polémique qui existe atour de ses albums. Je parle de la poursuite des albums par Albert Uderzo après le décès de son compère René Goscinny. Cet album, par exemple, a été écrit et dessiné par Uderzo seul…
Après analyse des quelques albums que j'ai lu, d'avant et d'après ce changement, je comprends, un peu, les remarques faites par les amateurs éclairés !, les puristes, je dirais. Il y a effectivement une différence. Je trouve les premiers albums, plus classiques dans leur construction, basés, souvent, sur des événements réels. Par contre, on ne peut pas dire non plus que les albums suivants soient complètement ratés ou inintéressants. Alors plutôt que d'alimenter cette polémique inutile, je ne parlerai que du plaisir immédiat que j'ai eu.
Contrairement aux autres critiques, c'est le premier album où j'ai eu du vrai plaisir à lire. Peut-être le rythme plus rapide ou les gags plus faciles… La fin, un peu abracadabrante ne m'a pas gêné non plus. Un bon album, donc.