Cette histoire autobiographique se passe dans notre douce France, berceau et terreau des droits de l’homme, de la femme et de l’enfant, il n’y a pas si longtemps.
C’est cette phrase de Jean Tardieu qui a libéré l’autrice de ses scrupules inutiles : « Il ne faut pas rester emprisonnée à jamais par la souffrance de l’informulé ».
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.