Le Syndrome du spaghetti

J'ai emprunté sans trop d'hésitation ce roman, simplement grâce à son autrice. Je l'ai lu sans réellement savoir à quoi m'attendre.
Les deux premiers chapitres ont été désastreux... du moins, selon mon avis : je ne les ai vraiment pas aimé, la manière de présenter les personnages était lourde et peu réaliste, et surtout j'avais l'impression d'entendre Marie Vareille parler (pour avoir assisté il y a peu à une conférence à laquelle elle était conviée, je vous assure que j'entendais sa voix et ses inflexions au moment de la lecture de ces deux premiers chapitres).
Un peu déçue, j'ai assez vite arrêté ma lecture. Puis, je me suis dit "Bon... c'est Marie Vareille quand même. Sa plume est belle. Je ne peux pas m'arrêter à ce début que je n'ai pas aimé." Alors j'ai continué. Et dès le quatrième chapitre, on ne m'arrêtait plus !
Il est fabuleux.
Absolument merveilleux.
On se retrouve tellement propulsés dans l'histoire, dans l'avancée des personnages, qu'il en devient compliqué de les laisser. C'est ce genre de roman pour lesquels ON VEUT la suite. Ce n'est juste pas envisageable autrement.
Léa on la prend rapidement d'affection, ses comportements égoïstes on les lui pardonne, sachant la situation... Et Amel, Nico, Tony, sa famille : tous prennent leur place, apportent quelque chose, font avancer l'intrigue. Léa est loin d'être seule, elle est dans une équipe - même si, ce n'est pas celle qu'elle pensait, avec le basket.
Ce roman c'est une ode à la vie, la transmission d'un message de combat, qui donne envie de dire aux gens que nous aimons que... et bien nous les aimons... Car la vie c'est comme un spaghetti : ça se brise vite.
Merci Marie Vareille pour ce roman, merci pour cette introspection d'une maladie peu connue mais qui vous touche, merci pour les larmes - de tristesse et de joie - au fil des chapitres.

Je viens de refermer ce livre seulement quelques heures après l'avoir ouvert. Impossible de le lâcher tant l'histoire m'a prise aux tripes. C'était fort, c'était fou, c'était vrai. Beau aussi. L'écriture de Marie Vareille m'a une fois de plus prise au dépourvu, avec ce sujet si bien traité (le deuil, le déni, l'abandon des rêves). Loin d'être aussi adolescent que l'estampille jeunesse le laisserait penser. J'ai versé quelques larmes.

Bientôt trois ans qu'il traînait dans ma bibliothèque, et comme je regrette de ne pas l'avoir lu plus tôt.

Ce roman est une véritable leçon de vie ! Déjà très fan de la plume de Marie Vareille, celui-ci ne fait ne confirmer. C'est puissant en terme de messages véhiculés, et ce dans différents domaines : résilience, amour, amitié, persévérance, valeurs du sport.... et j'en passe. c'est la vie, la vraie, avec ce qu'elle réserve de bon et de moins bon, pas "un film américain avec une happy end" :) A lire.

Histoire touchante de l'auteure. A la base à destination d'un public adolescent, il est tout autant accessible à un public adulte. Cette histoire est touchante, prenante, elle m'a fait vibrer. Elle m'a permis également d'apprendre de nombreuses choses. Tout ce que j'aime!

La vie c'est ce qui t'arrives pendant que tu es occupé à faire d'autres plans disait John Lennon

J'ai donc eu 3h pour réfléchir à la question en lisant cet excellent ouvrage.

Probablement davantage à destination d'adolescent ou de jeunes adultes j'ai pourtant beaucoup aimé l'histoire de Léa, future reine des parquets dont le rêve est d'intégrer la WNBA. Elle a tout pour ça,et ce n'est pas son père ou son parrain tout deux coach de basket qui la detromperont.

Pourtant la vie peut se jouer bien différemment de ce que l'on projette et c'est d'autant plus difficile quand cela arrive adolescent alors qu'elle ne devrait être que légère.

J'ai de nouveau été happé par l'écriture de Marie varreille son talent a faire des chapitres percutant, transposant la psychologie des personnages.

C était émouvant, beau et la résilience est une fois encore décrite comme le moyen d'avancer, de vivre

Un livre, pris au hasard.
Pas ma came mais parfait pour attendre mon kiné 2 fois par semaine.
Sauf que le hasard n'existe que dans "les séries américaines avec un happy end à la con."

L'histoire d'une ado, têtue comme une mule, qui ne supporte pas de voir son rêve de devenir joueuse pro de basket, s'écrouler.
Une ado classique.
Une histoire plus complexe que ça en a l'air.
Qui parle de deuil.
De ces foutues étapes à traverser.
De la douleur indicible qui absorbe et laisse KO.
Qui parle aussi d'une maladie génétique, le syndrome de Marfan.
S'il n'est pas pris à temps, il mène à la mort.
Que personne ne connaît tant qu'un des proches n'en est pas gravement atteint. Je ne vous le souhaite pas.

C'est l'histoire d'une ado et c'est bien plus que cela.
Tout est juste, criant de vérité.
Je peux vous l'assurer.
Mon père est décédé de ce syndrome.
Je commençais ma vie d adulte.
Mon frère en est atteint.
Quand je disais que le hasard n'existe pas.

Je vous conseille ce livre, qui est beaucoup plus qu'un livre de salle d'attente.
Merci @marie_vareille de ce roman lumineux et d'avoir mis la lumière sur ce syndrome, que tout le monde devrait connaître avant qu'il ne soit trop tard.

quelques paniers pour bien commencer la journée ça vous dit ? Ce sera l'occasion de rencontrer Léa, qui n'aspire qu'à être joueuse en NBA grâce à son père qui est coach. Elle a beaucoup de talent, elle a réussit à se faire accepter chez les garçons à force de travail. Elle se voit déjà en haut de l'affiche sauf qu'un jour tout s'écroule. Comment apprendre à vivre autrement elle qui ne vit que pour sa passion ? Peut- être que le destin a mis sur sa route Anthony, ce jeune homme qui n'appartient pas à son milieu mais qui partage avec elle sa passion du basket.
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Il vous arrive de finir un livre et de vous dire mais pourquoi celui-ci je ne l'ai pas lu avant. Par un heureux hasard il fait partie de la sélection Pocket pour le prix 2024, je l'ai lu très rapidement tout d'abord car la plume de Marie Vareille est un oscillogramme qui colle aux émotions de ses personnages, tantôt douce et bienveillante, tantôt amère et triste, dés les premières pages on sait si on va accrocher à l'histoire de Léa, cette jeu fille dont les rêves vont se briser avant de marquer le panier à trois points. Dribbler par la vie elle va devoir continuer son match et repartir à l'assaut de ses rêves après une période au repos. Même si l'histoire tourne autour du sport, on découvre une jeune fille aux portes des premiers émois, qui va devoir découvrir ou redécouvrir son entourage que le basket avait occulté.
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L'autrice nous livre une tranche de vie, celle qui peut tous nous attraper en plein vol, ce qui va faire la différence c'est ce que l'on choisit de faire après. On est seul maître de notre destin et la reconstruction est propre à chacun. Nos rêves ne vont pas disparaître du jour au lendemain quand on est passionné, ils ont besoin de mûrir, changer de trajectoire, évoluer, il faut se donner le temps et pourquoi pas trouver du réconfort avec un plat de spaghettis.
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Bonne lecture.

Coup de coeur !
Quel plaisir !
Un roman très touchant, des personnages attachants.
L'auteure, qui a choisi le Basket-ball, la NBA, la WNBA en toile de fond, m'a totalement conquis !
La NBA est une autre de mes passions. Comme votre mari, Mme Vareille, il m'arrive de me lever la nuit pour regarder les matchs !
J'ai adhéré totalement à la construction du roman. Comme un match de Basket. Judicieux !
J'ai donc apprécié les références à cet univers.

On y suit Léa, bouleversée par les événements tragiques qui viennent de s'abattre sur elle et ses proches. Dans sa douleur, elle passe du déni, à la colère, en passant par les mensonges. Ses ambitions et ses rêves s'effondrent.
Une rencontre va la bouleverser, et l'aider dans l'acceptation, et sa reconstruction. Et, peut-être, raviver le feu sacré !
Merci pour le sujet traité. Je ne connaissais pas ce Syndrome de Marfan. Il faudrait d'ailleurs qu'il nous soit moins inconnu. D'autant plus qu'un dépistage précoce éviterait certaines tragédies.

L'écrivaine a confirmé tout le bien que je pensais de sa plume, depuis ma lecture "des chaussettes orphelines"

"Tu peux en faire ton excuse, ou tu peux en faire ton histoire", une bien belle citation du livre !

Mais ce que je retiendrai en particulier, c'est :
"La seule chose qu'on peut faire avec ses rêves perdus, c'est les offrir à ceux qu'on aime, a d'autres qui auront le droit de les vivre"

Une immersion qui m'a plu sur tous les points ! Je comprends mieux ce qui a fait sa popularité !

Pour moi c'est une très belle histoire sur le deuil et Léa en aura plusieurs à surmonter. C'est aussi l'histoire d'un autre élément mais je n'en parlerai pas pour ne pas trop dévoiler l'histoire.

En fait, ce n'est pas vraiment l'histoire d'un deuil, c'est surtout l'histoire de Léa, jeune fille heureuse, avec un but dans la vie et qui se donne à fond pour arriver à le concrétiser jusqu'à l'effondrement de sa vie de jeune adulte.

J'ai vraiment été touchée par ce qui arrive à cette famille bien que c'est vers Léa que se portait ma préférence. Je l'ai aimée pour sa force de caractère même si celle-ci dans le cas de Léa ne lui était pas forcément favorable dans un premier temps. J'ai aimé aussi l'histoire entre Anthony et Léa pourtant si différents mais unis par une même passion.

Bref, une très belle histoire dont il est difficile de parler de peur d'en dire trop et de gâcher découverte de ce roman. Marie Vareille une autrice à suivre

Emballé par ce roman !
Pour changer de style suite à des lectures « polar-thriller » et quelques essais, j'avais envie d'un feel good et après une petite recherche auprès des lectures des ami(e)s Babélio, j'ai choisi « le syndrome du spaghetti ».
Grand bien m'en a pris. Une lecture 100% addictive, classée « ado-jeune adulte », mais parfaite pour un « adulte » tout court. le style est très agréable, les personnages très attachants, les situations réalistes, les dialogues tombent justes. Il y a de l'émotion toujours très bien amenée et on ne tombe pas dans le patho. Très franchement, ce fut un vrai moment de plaisir et j'ai dévoré ce roman.