Le Syndrome du spaghetti

Nous avons tous un rêve que l'on souhaite voir concrétiser... Léa, elle, y travaille d'arrache-pied pour y parvenir! Elle sent qu'elle l'effleure du bout des doigts. Et, soudain, tout s'effondre.

Dans cette vie qu'elle n'a pas choisi, elle fait la connaissance d'Anthony qui semble être le seul à parvenir à escalder la muraille qu'elle a construite pour s'éloigner des autres.

Marie Vareille transforme en or les histoires et les mots qu'elle pose sur le papier... Chaque thématique choisie, chaque personnage devient partie intégrante de notre quotidien le temps d'une lecture et plus encore! On s'attache à eux, à leurs fêlures, leur courage et leur détermination. Ils nous renvoient aux émotions les plus pures et cela, quelque soit notre âge.

En effet, pourtant catégorisé comme un ouvrage jeunesse, le syndrome du spaghetti se laisse dévorer par tout amoureux de la lecture friand de belles narrations et retraçant des parcours de vie bouleversant.

Un doux moment de lecture comme seule Marie Vareille sait nous offrir.

Léa Martin vit dans un cocon, entre un père aux petits soins, une petite soeur et une mère débordée. La passion de Léa est le basket ; elle a une vie toute tracée, le "Map", le plan qui inclut les entrainements de basket, le taxi à New York et l'intégration en WNBA dans quelques années. Oui mais voilà, tout est remis en questions quand un terrible accident survient.
J'ai beaucoup aimé l'analogie au basket, le style de l'auteur tout en délicatesse, la perception de l'adolescence par cette plume bienveillante.
Un beau livre !

Un de mes livres préférés que j'offre dès que j'en ai l'occasion. je sais que beaucoup peuvent être touchés par la plume si personnelle et sensible de marie vareille.
bravo à elle, et j'envie tous ceux qui ont encore à découvrir cet ouvrage !!!!!!!!!

Lecture bouleversante.

Lorsque j'ai vu le titre du livre, j'ai été intrigué et attiré par ce syndrome du spaghetti. Je suis vite devenue accroc à l'histoire, autant que Léa est accroc au basket!

Je pense que personne ne peut être prêt à vivre un drame comme celui de Léa. Elle n'a pas forcément eu les bons gestes mais le plus important est d'être entouré de ceux que l'on aime pour faire face et se relever.

Est il possible de rajouter une sixième étoile?

Ce livre restera, c'est certain, un gros gros GROS coup de coeur! C'est le premier roman de cette auteure pour moi, et il m'a complètement cueillie!

Une lecture accessible, pleine de sensibilité et d'émotions!

Je n'ai pas de mots pour décrire ce que ce livre m'a fait. Détruite plusieurs fois...reconstruire sûrement tout autant. Je suis admirative du talent d'écrire une histoire aussi simplement mais d'une manière si juste et profonde.

Je pensais juste passer un bon moment mais quelle surprise ! J'ai souffert au côté de Léa et je me suis reconstruite en même temps qu'elle.

Il y a quelque mois maintenant, j'ai perdu quelqu'un pour la première fois de ma vie, quand j'étais petite je jouais au basket et j'ai une soeur. Je suis très loin d'avoir le caractère de Léa qui inspire le respect mais qui donne aussi envie de la secouer parfois, cependant, je me suis sentie connectée à elle et c'est la force de cette histoire. Elle parle de la vie, du deuil, des rêves, de la famille, de tous ces sujets qui parlent à tous le monde. On peut tous apprendre de cette histoire. Pour moi, ça a été un livre thérapeutique, j'en suis sortie grandi et apaisée.

Je croyais pleurer au moment où on apprenait la perte d'un être cher mais ce n'est pas ça qui m'a fait le plus pleurer. Non, je crois que ce qui m'a le plus touché c'est cette relation que Léa entretient avec sa mère et sa soeur et qui va évoluer pour plusieurs raisons.

A lire sans modération mais je dois vous prévenir, vous avez un risque de vous retrouver tremper sous vos larmes bien avant le dernier chapitre.

J'aime la plume de Marie Vareille mais je n'attendais rien de ce roman classé « young adult » …et bien : je me suis pris une grosse claque avec cette histoire. En effet, les situations sonnent justes, l'héroïne est touchante, les messages sont universels et peuvent résonner en chacun d'entre nous à tout âge. Il n'y a pas de temps mort et malgré une situation plutôt triste le message final est plutôt un message d'espoir. Bref, un livre à recommander à tous.

J'ai emprunté sans trop d'hésitation ce roman, simplement grâce à son autrice. Je l'ai lu sans réellement savoir à quoi m'attendre.
Les deux premiers chapitres ont été désastreux... du moins, selon mon avis : je ne les ai vraiment pas aimé, la manière de présenter les personnages était lourde et peu réaliste, et surtout j'avais l'impression d'entendre Marie Vareille parler (pour avoir assisté il y a peu à une conférence à laquelle elle était conviée, je vous assure que j'entendais sa voix et ses inflexions au moment de la lecture de ces deux premiers chapitres).
Un peu déçue, j'ai assez vite arrêté ma lecture. Puis, je me suis dit "Bon... c'est Marie Vareille quand même. Sa plume est belle. Je ne peux pas m'arrêter à ce début que je n'ai pas aimé." Alors j'ai continué. Et dès le quatrième chapitre, on ne m'arrêtait plus !
Il est fabuleux.
Absolument merveilleux.
On se retrouve tellement propulsés dans l'histoire, dans l'avancée des personnages, qu'il en devient compliqué de les laisser. C'est ce genre de roman pour lesquels ON VEUT la suite. Ce n'est juste pas envisageable autrement.
Léa on la prend rapidement d'affection, ses comportements égoïstes on les lui pardonne, sachant la situation... Et Amel, Nico, Tony, sa famille : tous prennent leur place, apportent quelque chose, font avancer l'intrigue. Léa est loin d'être seule, elle est dans une équipe - même si, ce n'est pas celle qu'elle pensait, avec le basket.
Ce roman c'est une ode à la vie, la transmission d'un message de combat, qui donne envie de dire aux gens que nous aimons que... et bien nous les aimons... Car la vie c'est comme un spaghetti : ça se brise vite.
Merci Marie Vareille pour ce roman, merci pour cette introspection d'une maladie peu connue mais qui vous touche, merci pour les larmes - de tristesse et de joie - au fil des chapitres.

Je viens de refermer ce livre seulement quelques heures après l'avoir ouvert. Impossible de le lâcher tant l'histoire m'a prise aux tripes. C'était fort, c'était fou, c'était vrai. Beau aussi. L'écriture de Marie Vareille m'a une fois de plus prise au dépourvu, avec ce sujet si bien traité (le deuil, le déni, l'abandon des rêves). Loin d'être aussi adolescent que l'estampille jeunesse le laisserait penser. J'ai versé quelques larmes.

Bientôt trois ans qu'il traînait dans ma bibliothèque, et comme je regrette de ne pas l'avoir lu plus tôt.