Le Syndrome du spaghetti

Coup de coeur pour le syndrome du spaghetti !

Il faut dire que c'est difficile de résister à Marie Vareille.
J'avais déjà adoré la vie rêvée des chaussettes orphelines et il y a peu, coup de coeur pour désenchantées.

Léa, 16 ans, à la "flamme sacrée" comme dirait son père : un immense talent pour le basket. D'ailleurs, elle ne vit que pour cela. Réveils aux aurores, entraînements 4 fois par semaines, matchs le week-end, replay des matchs américains, bref son monde c'est le basket. Entraînée par son père depuis petite, qui est aussi son confident, son monde va basculer quand le syndrome de Marfan va s'inviter dans leur vie.
Sur sa route, elle va croisé Anthony. Tony pour les intimes. Ce jeune homme de 17 ans qui essaie de garder la tête froide face à l'absence de son père et les gardes à vue de son grand frère.
Deux opposés. Une rencontre. Qui va tout renverser sur son passage.

Le syndrome du spaghetti, comme un tsunami, qu'on ne peut lâcher avant la dernière page. Et encore, on ressort les mouchoirs lorsque l'auteure prend la parole avant les remerciements.
Un livre qui ne devrait pas être classé dans le rayon "adolescent". Il est intergénérationnel et peut plaire à tous les lectorats.

La plume de Marie Vareille, juste, fine, drôle, au meilleur de sa forme !
Alors si une nuit blanche vous tente, lisez le !!!!

Je termine le mois de février (merci l'année bissextile) par la lecture d'un sixième roman, et pas des moindres, puisque c'est avec plaisir que je retrouve l'écriture de @marie_vareille, mon autrice coup de ❤️.
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Le syndrome du spaghetti, c'est l'histoire de Léa, 16 ans, jeune espoir du club de basket de Tarny. Léa est née avec un ballon dans les mains transmis par son père. Ils rêvent tous les deux de la voir intégrer la WNBA et se donnent les moyens d'atteindre cet objectif. le roman est d'ailleurs construit tel un match de basket : 1er et 2ème quart temps, mi-temps, 3ème et 4ème quart temps. Mais Léa, ce n'est pas que le basket. C'est aussi Amel, son « twix » depuis la 6ème ; Nicolas, le copain populaire beau à en crever qui s'intéresse à toutes les filles du lycée sauf à Léa et Amel ; Anaïs, sa soeur de deux ans sa cadette possiblement adoptée selon Léa, à en croire leur totale absence de points communs ; Tony, le basketteur amateur beau-gosse de la cité du Val-Fleuri ; sa maman, qui va devoir lui annoncer la plus horrible des nouvelles qui va bouleverser leur vie et les projets de Léa.
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Ce roman réaffirme mon coup de coeur pour Marie VAREILLE. Son écriture est fluide, pas de mots superflus qui en alourdirait la lecture. Ses personnages sont sincères, attachants et semblent si réels qu'encore une fois, j'ai envie qu'ils deviennent mes amis 💕
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Un roman que je referme avec les larmes aux yeux. Il m'a tellement touchée, remuée. Il est beau et juste. de pouvoir expliquer au monde le syndrome de Marfan qui est encore si méconnu (je ne connaissais pas moi-même jusqu'à présent !). Un roman qui laisse une marque sur mon coeur, c'est certain. Marie Vareille écrit si bien l'amour amoureux mais aussi l'amour amical, l'amour familial et aussi ses complexités. Bref. Si vous ne l'avez pas lu, foncez, vous allez l'adorer ! Et préparez les mouchoirs parce qu'il risque de pleuvoir dans vos yeux ❤

Petite pépite en vue avec ce roman de Marie Vareille!

Léa a 17 ans et un avenir tout tracé. C'est certain, elle sera l'une des prochaines grandes basketteuses internationales. Car Léa s'entraîne dur chaque jour depuis des années pour atteindre son rêve. Un rêve partagé avec son père, entraîneur, qui croit plus que tout en sa fille.

La passion partagée par le père et la fille nourrit une relation fusionnelle, qui est très touchante et qui exclut d'ailleurs les deux autres femmes de la famille : la mère de Léa et sa petite soeur Anaïs, qui, elles sont plus branchées vêtements et maquillage !

Mais on oublie parfois que la vie c'est comme une boîte de spaghettis. La linéarité et la perfection peuvent laisser la place au désordre, à la rupture, au bouleversement en une fraction de seconde.

Que j'ai aimé cette histoire ! Que j'ai aimé la force de caractère de Léa, l'ambivalence de ce personnage qui oscille entre la rébellion de l'adolescence et la maturité de l'adulte. Que j'ai aimé Anthony, Amel, Anaïs, son clan des 3 « A » ses, amis, sa famille, qui forment un cocon protecteur.

Je conseille ?

Ce roman traite de sujets profonds : la passion, la famille, la maladie, le deuil, la résilience, la reconstruction. Et au centre de ce récit, trois colosses aux pieds d'argile qui essayent parfois maladroitement de (sur)vivre. Ce récit est brutal, tendre, très touchant. C'est juste beau
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Léa, 16 ans, sportive de haut niveau, a une destinée bien tracée. L'INSEP, le WNBA… « Le map » comme elle l'appelle avec son père adoré, c'est de viser le top du top du panier. Sauf qu'un drame vient tout chambouler…

J'ai adoré suivre les pas de Léa dans sa reconstruction. le ton est drôle, sensible, pertinent.
J'ai aussi beaucoup pleuré, je ne sais pas pourquoi ce livre m‘a autant touchée. C'est vrai qu'il a quelque chose d'universel, parce qu'on ne peut rien contre les accidents de la vie, si ce n'est trouver la force pour rebondir.

Je ne suis plus une « Young adult » depuis quelques temps, c'est peut-être pour ça que je n'avais pas encore lu le syndrome du spaghetti. C'est un peu bête, les cases, finalement. Et puis, il a fallu qu'on m'offre le livre, sorti il y a peu en poche (merci maman), pour que je me jette dessus.

Encore une merveille signée Marie Vareille.

J'ai lu ce roman dans le cadre du prix des lecteurs Pocket 2024 et c'est une lecture que j'appréhendais. En effet, je suis une grande fan de la plume de Marie Vareille, mais le roman étant paru initialement chez Pocket jeunesse, je craignais de me sentir trop éloignée des problématiques des protagonistes du fait de mon grand âge (bientôt la trentaine mon dieu). Inquiétudes infondées, l'autrice a su me convaincre encore une fois : j'ai adoré !

Léa est une adolescente passionnée de sport dont l'avenir semble radieux. Pourtant, son équilibre va voler en éclat. Comment se relever quand on a 16 ans et que nos rêves sont anéantis du jour au lendemain ? A travers l'histoire de l'adolescente, Marie Vareille nous conte une belle histoire de résilience, de reconstruction, et d'espoir.

Contre toute attente, je me suis énormément attachée à Léa que j'ai trouvée très authentique, parfois agaçante, mais finalement très forte malgré les épreuves. Un vrai personnage bien pensé, imparfait, et surtout très humain. J'ai également beaucoup apprécié les personnages qui gravitent autour de Léa : sa petite soeur que l'on découvre au fil des pages, Nico et Amel, les amis fidèles, Anthony et ce bel attachement qui défie les barrières des classes sociales …

Comme toujours avec l'autrice, la plume est extrêmement fluide et poétique, et bonus, elle ne manque pas d'humour ! Des thématiques lourdes qui se mêlent à un humour léger dont je suis une grande adepte.
« - J'ai rien coincé dans les dents ?
- Un morceau de salade, mais comme c'est depuis hier midi, je pensais que c'était ton nouveau style. »

Petite anecdote : après la lecture de ce roman, je me suis rendu compte que mon amoureux avait une belle phalange de son pouce dépassant de sa paume fermée … Au delà de la belle histoire pleine d'émotions contée par Marie Vareille, ce roman est aussi une mine d'informations sur un syndrome trop méconnu.

Très beau moment avec Léa 😍

Je recherchais un livre feel good pas trop gnangnan et de liste en liste je me suis laissé tenter par ce roman.. merci Babelio

Comment résumer toutes les émotions que j'ai pu éprouver… Je dirais qu'il libère.
Ce livre parle de l'adolescence, de la parentalité, la passion du sport , deuil, la résilience, l'amitié
Il vise juste et décrit toutes les étapes que ressent le personnage principal suite à un choc émotionnel intense…

J'ai reconnu certain comportement de mes proches. C'est un livre miroir qui m'a ramené dans les années lycée, il me rappelle une amie qui a compté..
Miroir inversé, regrets, non-dits, tous les sentiments du déni sont évoqués.

Premier coup de coeur 2024

Léa Martin, à 16 ans, voue sa vie au basket depuis son plus jeune âge, coachée par son père. Ses grands rêves et toute son énergie sont dédiés à cette passion. Cependant, lorsque son père décède tragiquement et qu'elle doit renoncer à son admission à l'INSEP pour des raisons médicales, tout son monde s'effondre. Et si refuser d'accepter la réalité était, sinon la solution, le début du chemin ?

L'autrice aborde ici le thème poignant du deuil et de l'adversité, mettant en scène une héroïne aussi forte que fragile, traversée par les épreuves de la vie.

On est témoin de son déni et de sa colère qui camouflent sa peine, perturbant son discernement au point de l'éloigner de ses proches et de se mentir à elle-même. Elle s'étourdit dans sa rencontre avec Anthony, avec qui elle brave les interdictions, continuant à jouer et à vivre pour le basket. Leur relation, inattendue et séductrice, est teintée de contrastes, suscitant l'adhésion du lecteur pour leurs différences et leurs rapprochements.

Cette citation poignante révèle la profonde connexion émotionnelle de Léa avec le basket, soulignant l'importance de cette passion dans son processus de guérison et de reconstruction après la perte de son père.

L'écriture fluide et émouvante permet de resserrer des liens qui auraient pu être ébranlés. Léa peut compter sur la sincérité de ses amis, qui ne mâchent pas leurs mots et se soucient réellement d'elle. Si la relation avec sa famille est complexe, l'amour n'y est pas à démontrer. Les douloureuses épreuves rétablissent les vérités, démontrant qu'à force de convictions et de résilience, les rêves ne s'éteignent pas lorsqu'ils semblent impossibles ; ils grandissent avec le coeur et se transforment.

Ce récit témoigne d'une belle sensibilité associée à un sens aigu de la combativité. À lire absolument !
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... J'ai été catapulté dans la vie de cette ado de 16 ans au caractère bien trempé et à la volonté de fer. Je me suis très vite attachée à elle, ses rêves et son quotidien, alors que je n'ai, à la base, aucune attirance pour le basket. Et lorsque tous ces drames se déversent sur sa vie, j'ai tremblé avec elle, j'ai ressenti sa colère et sa détresse. Marie Vareille, à travers sa plume, nous immerge entièrement dans son histoire pour que ne la lâche plus une seule seconde. Et c'est ce que j'ai fait. Sans retenir mon souffle. J'ai dévoré chaque page et chaque chapitre avec frénésie, ça a été un vrai déchirement de lire les dernières lignes qui clôturent ce moment de la vie de Léa, de la laisser et de refermer le livre. J'ai eu un énorme coup de coeur pour cet ouvrage que je ne peux que vous inviter à découvrir aussi ! Car on n'y parle pas uniquement de basket et d'ambition, mais aussi de deuil, du syndrome de Marfan (maladie trop peu connue), de famille et d'amitié. Bref il vaut vraiment le détour, vous ne pouvez plus hésiter un seul instant, Léa vous attend pour jouer le match de sa vie.
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✍🏼 𝗟𝗲 𝗽𝗶𝘁𝗰𝗵 : À seulement 16 ans, Léa est promise à un brillant avenir de basketteuse professionnelle. Elle tient cette passion de son père, qui l'entraîne depuis son plus jeune âge. Mais un jour, son monde bascule. Et la seule personne qui semble pouvoir l'aider à surmonter cette épreuve, c'est Anthony, un jeune de cité. de son côté, il fait tout pour ne pas suivre les traces de son frère, qui enchaîne les gardes à vue. La rencontre de ces deux adolescents que tout oppose va bouleverser leur vie.

⭐️ 𝗠𝗼𝗻 𝗮𝘃𝗶𝘀 : Je connaissais l'autrice de nom mais je n'avais jamais lu ses romans. Et puis, au détour d'une librairie alsacienne, celui-ci semblait m'appeler. Pourtant c'est un roman jeunesse, je ne suis pas sûre d'accrocher. Ni une, ni deux, je l'achète et le lis dans la foulée. Déjà, j'ai aimé absolument tous les personnages, qui semblent si « vrais ». L'histoire est écrite du point de vue de Léa, cela nous permet d'être en immersion dans ses pensées d'adolescente. Mon coeur s'est (très) souvent serré. Marie Vareille nous entraîne dans un tourbillon d'émotions en abordant tout un panel de thèmes forts : exigence, résilience, deuil, amour au sens large, etc. Et quand on pense en avoir fini avec ce roman, l'autrice ajoute une note personnelle, en expliquant pourquoi elle l'a écrit. le sens est d'autant plus fort.
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