Dans les bois éternels

Avec Vargas, on passe toujours un bon moment.
Dans les bois éternels est un Vargas dans lequel j'ai eu du mal à me plonger. le début m'a semblé plus laborieux qui prévus.
J'en suis donc à mon quatrième Vargas, le schéma est toujours à peu près toujours le même. Mais comment faire autrement ?
C'est tout de même un livre bien ficeler, nous, perdant sur plusieurs pistes, nous pensons toujours pouvoir réussir à élucider l'affaire, mais nous en sommes bien incapable. Puisque les faits redoubles d'intensité, se précipites pour nous donner à voir une toute autre interprétation, une autre réponse à l'énigme.
Mais le plus succulent de ces policiers, sont encore et toujours les personnages tous plus élaborés les uns que les autres. Ils ont chacun une personnalité bien établie et c'est ce qui est agréable on aurait presque envie de les inviter boire un café en terrasse pour qu'ils nous explique un peu !

Ces "bois éternels" ne resteront pas éternellement dans mon souvenir, si ce n'est comme une histoire très confuse et peu convaincante. Les personnages d'habitude mieux campés s'estompent ici dans un brouillard normand très opaque. Vargas entraine même Camille dans une "aventure" dont on imagine que l'intéressée elle-même se serait bien passé.

Une nouvelle enquête pour Adamsberg qui rrecherche une ancienne criminelle dite dissociée, évadée de sa prison pour venir se venger des policiers qui l'ont arrêtée..........................
Un bon suspens à rebondissement, des légendes, des fantômes et un retour sur la vie du commissaire qui doit régler en même temps un problème de son enfance.
Lecture agréable.

C'est un policier, c'est du suspens, mais c'est aussi poétique et c'est surtout très bien écrit.

le polar selon Fred Vargas : un commissaire à côté de ses pompes mais attachant, et une enquête pas haletante , sans suspense dévorant. cela reste un roman sympa pour ses associations d'idées truculentes, et le récit des sentiments humains. à découvrir.

Un bon polard avec du suspense typique Fred Vargas

Je sortais du dernier Indridason quand j'ai commencé ce Vargas. C'est peut-être pour cela que je n'ai pas été aussi emballée que d'habitude. Pourtant, j'ai beaucoup souri au début, je me suis d'ailleurs dit que l'humour était une vraie différence entre ces deux auteurs. Je me suis même esclaffée dans la rue en écoutant une scène qui révèle la rivalité entre les hauts et les bas-normands, rivalité dont nous jouons parfois, Enna et moi. Parmi les autres points positifs, je noterais le personnage du nouveau, son histoire et les vers de Racine. Pour le reste, je trouve qu'il y a tout de même quelques incongruités dans la manière de résoudre certains problèmes, comme cette histoire du chat et de sa maîtresse et je n'ai pas trouvé l'histoire aussi intéressante que d'habitude. J'ai assez vite deviné l'identité du coupable mais cela n'a pas été une gêne. Je pense que c'est le Vargas que j'ai le moins aimé, mon préféré restant Debout les morts, le premier que j'ai écouté. Il faut préciser que c'est mon quatrième Vargas et que je les ai tous écoutés.

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Merci à Babelio et à Audiolib qui à travers cette dernière Masse critique m'ont permis de découvrir cet ouvrage.

J'ai passé un bon moment, c'est agréable de se faire raconter une histoire. Cela a quelque chose de régressif ! J'ai aimé la voix de Thierry Janssen, elle correspond tout à fait à ce que je pouvais en attendre. Un choix parmi d'autres dans cette Masse Critique qui devient à l'arrivée une bonne surprise!

Quelle étrange enquête ! Les personnages ont pris leur place depuis la dernière fois que je les ai quittés. Il me manque quelques épisodes mais cela ne crée pas de manque pour suivre l'histoire. Un nouveau collègue apparait dans l'équipe d'Adamsberg, un béarnais encore plus farfelus que son chef ! le lieutenant Veyrenc a une chevelure qui interroge tout le monde, équilibre de brun et de roux, mèches causées par un drame. Il a une autre particularité : il lui arrive de parler en vers, mais c'est de famille, alors…

Un univers drôle, que Fred Vargas décrit pour notre plus grand plaisir. Elle a l'art de nous emmener, de nous malmener, nous étourdir et nous tromper ! J'aime découvrir le « méchant » avant d'arriver au bout mais pas trop vite, j'avoue que là, je me suis fais avoir quelques fois ! Un bon moment de lecture, parfait pour les moments farniente qui approchent.

Profitez d'un bon polar, où la nature reprend ses droits et va vous surprendre par ses bizarreries, le tout avec un soupçon de non-dit béarnais, un spectre de derrière les fagots et nous voilà emportés
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Si j'ai retrouvé avec plaisir la patte de Fred Vargas, ce livre m'a moins séduite que ceux que j'ai lus récemment. Par exemple, l'auteur maîtrise souvent l'art de nous faire apprécier les ficelles qu'elle utilise afin de retarder une révélation. Ici, cela n'a pas été le cas. Je parle surtout de l'histoire de Veyrenc qu'elle distille goutte à goutte. Lorsqu'elle esquive, qu'elle passe à autre chose, on sent bien que ce n'est que pour retarder la révélation de toute l'affaire, et c'est fait de manière assez grosse.
Habituellement, elle a l'art d'ajouter des «lourdeurs» qui n'en sont pas, et qui, sous la plume d'un autre, seraient indigestes.
[...]
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Dans les bois éternels est une enquête du commissaire Jean-Baptiste Adamsberg. Celle-ci nous fait aller et venir entre Paris, la Normandie et le Béarn natal du personnage principal.

Comme souvent, Fred VARGAS mélange avec habileté des phénomènes éminemment modernes (le dédoublement de personnalité) avec des résurgences du passé, en l'occurrence un breuvage d'immortalité et des reliques religieuses. Autre marque de fabrique de l'auteure, on y trouve une galerie de personnages secondaires hauts en couleur, et des personnages principaux très attachants.

Le roman n'est toutefois pas le plus marquant de VARGAS. Il est juste le moyen de passer un agréable moment de lecture.