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sur 197 notes
Les personnages de « temps sauvages »

La mère de miss Guatemala appartenait à La famille italienne les Parravicini
Arturo Borrero Lamas jeune juriste professeur de droit et avocat un exercice a demandé la main de la jeune Martha Parra
de cette liaison naquit Martita Borrero Parra miss Guatemala ouais.
Vers 1944 le général Jorge Ubico Castaneda plusieurs fois on tenta de le renverser ce qui réussit la même année avec la fameuse révolution d'octobre par le général Federico Ponce Vaides qui fut lui-même renversé par les manifestants
Jean José Henri Arevalo qui venait de rentrer de son exil en Argentine
Le docteur est Efren Garcia Ardiles
Au cours de la fête de ses 15 ans elle danse avec l'ambassadeur John Patterson junior ambassadeur des États-Unis le docteur Galvan qui était présent en tant que chaperon de sa fille Dolores

Enrique et le Dominicain conversent sur le comptoir d'un café

Myriam Ritcher tenancière d'un bordel

Marie Vilanova salvadorienne (née en 1915) et Jacob Arbenz Guzman (dit le muet - né le 14 sept 1913) mariage en 1939 - suicide de son père pharmacien suisse installé à Quetzaltenango le père en question était marié à Octavia Guzman Caballeros

Virginia Bravo Letelier
Matilde Elena López

Jacob Arbenz et son épouse eurent trois enfants
1. Arabella+++ 1940
2. Maria Leonora 1942
3. Juan Jacobo 1946

Le dictateur général Jorge Ubico Castaneda au pouvoir jq en 1944, quand il céda le pouvoir à Federico Ponce Vaides
Francisco Javier Arana (épouse Odilia Palomo) et Jacobo Arbenz contre la dictature et Vaides démissionna.
Remplacé par une junte –
- Arbenz
- Arana
- Jorge Toriello

Des élections libres eurent lieu.
L'élection de l'instituteur Juan Jose Arevalo de retour d'argentine le 3 sept 1944
Un des coups d'état fut mené par le lieutenant-colonel Carlos Castillo Armas (dit face de hache)
A l'élection de 1950 lui succède Jacobo Arbenz avec pour conseiller Fortuny
Howard Hunt conseiller américain avec la CIA
Nouveau Secrétaire d'État John Foster Dulles
Et le chef de la CIA Allen Dulles son frère et ancien fondé de pouvoir de l'United Fruit
L'Opération PBSuccess
Honduras le Président Juan Manuel Galvez (dit le Déguelasse)
Kevin L. Smith directeur de l'United Fruit au Honduras
Frank Wisner sous-directeur CIA
Le Général Miguel Ydigoras Fuentes (la Sangsue)
Le Général Raphael Leonidas Trujillo (dit l'Araignée)
David Atlee Philips (l'invisible) directeur de la radio « libération »
La première émission le 1er mai 1954
Jerry Fred de Larm (le singlé) contrebandier et faux jeton
Le Colonel Rodolfo Mendoza Azurdia chef des forces aériennes haut responsable du gouvernement d'Arbenz
L'ambassadeur des USA John Emil Peurifoy (le Cowboy)

Les hostilités sont prévues le 18 juin 1954
Au Guatemala le Chef de l'armée Carlos Enrique Diaz (le Schlass)
Le Nicaragua, le Président Anastasio Somoza

Abbes Garcia un mercenaire
Deux fripouilles venues de cuba carlos gacel castro
Ricardo bonachea león
Skinner-klee minister des affaires étrangères
Gilberto morillo soto psychiatre
Crisostomo aide de camp de trujillo
Salvador president oscar osorio
Ricardo bonachea leon homme le plus laid au monde chauffeur d'enrique
Bolivie president paz estenssoro

Concha estevez partisane des president en place
Mexique ambassadeur primo villa michel
Jose bernabe linares police secrete sous jorge ubico castaneda
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La narration de Llosa pour ses temps sauvages est fort spéciale.
On la dirait quelque peu « tournoyante »
Le procédé de se centrer tour à tou sur chaque personnage, quoiqu'avec du « Il » (jamais de « Je ») fonctionne à merveille dans une belle langue et avec ce bon rythme de terminer chaque chapitre par une chute parfois surprenante.
Il est aussi étonnant de créer une héroïne sans toujours vraiment la mettre en avant…En bref, il s'agit d'un vrai kaléidoscope où la temporalité est déboussolante et malmenée.
Mais quel talent d'écriture en toute fluidité chez Llosa !!!
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Le livre retrace un épisode historique du renversement du président Arbenz au Guatemala par des militaires soutenus par la CIA. Intéressant de voir les conséquences tragiques des obsessions américaines anticommunistes des années 50. Même s'il pêche parfois par manque de tension dramatique, c'est un livre intéressant.
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Beau roman d'un écrivain qu'il est toujours plaisant de lire ou relire. Suite ou parallèle de « La fête du bouc » en compagnie des personnages typiquement VargasLLosiens. Un très bon moment de lecture et d'immersion sudaméricaine dont les personnages et personnalités composent le coeur de cet opus.
Comme quoi, quand Mario écrit et ne parle pas de politique (surtout pas…) il demeure un très grand monsieur.
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"Enfin un autre bon roman de Vargas Llosa", ai-je lu dans certaines critiques de journaux. Eh bien, je m'en doute. Ceci difficilement peut être qualifié de roman. Vargas Llosa décrit l'histoire du Guatemala, pays d'Amérique centrale, entre 1950 et 1960. Il n'en a pas fait un simple récit historique, mais plutôt un docu-fiction, axé sur les présidents, les contre-révolutionnaires et les conspirateurs, originaires du Guatemala ainsi que d'autres pays d'Amérique centrale (le Trujillo de la République dominicaine refait surface). Et il a pas mal bousculé sa perspective, avec des sauts constants dans le temps et dans l'espace, donc il faut vraiment garder la tête haute. Intéressant, oui, mais les différents personnages ne prennent pas vraiment vie. Il me semble que Vargas Llosa a surtout voulu faire passer son message moraliste. A savoir que la politique plutôt maladroite et anticommuniste des États-Unis a eu en fait l'effet inverse. Eh bien, je n'avais pas vraiment besoin de ce roman/docufiction pour voir ça.
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La trame narrative est confuse, et la chronologie des évènements laisse parfois le lecteur dans le brouillard. Compte tenu de la complexité des faits rapportés et du grand nombre de personnages, cela nuit à la compréhension de l'histoire. D'ailleurs, dans un certain chapitre on peut noter que plusieurs personnages interviennent à des époques distinctes dans la séquence rapportée. C'est une prouesse littéraire certes, mais elle laisse le lecteur dans un flou total; ce qui ne nous aide pas à nous situer dans la grande brochette de protagonistes qui jalonnent l'histoire.

L'oeuvre recèle d'une panoplie de détails historiques qui nous sont lancés, parfois pêle-mêle. Il faut souligner l'excellent travail documentaire de l'auteur. Par contre, en voulant tant nous informer que nous divertir, il navigue entre la fiction et le document historique, ce qui dessert l'histoire à la longue. Autre point qui irrite, c'est le grand nombre de redites tout au long des pages. le dernier chapitre est une entrevue avec la vraie "Miss Guatemala" de l'histoire, et, bien qu'instructif, il ne parvient pas à nous faire oublier l'inégalité de l'ensemble de cet opus.
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